Le fabricant d'équipements réseau D-Link s'immisce un peu plus sur le marché de la maison connectée avec le lancement d'une prise de courant télécommandable, la Wi-Fi Smart Plug.
Après les caméras de télésurveillance, D-Link lance une première prise de courant télécommandée. La Wi-Fi Smart Plug, répondant à la référence DSP-W215, est comme son nom l'indique une prise Wi-Fi intelligente.
On l'intercale entre une prise murale et un appareil à télécommander, on la connecte à son réseau Wi-Fi existant à l'aide du WPS, en appuyant sur le bouton d'association de l'appareil puis sur celui de son point d'accès Wi-Fi (qu'il soit de marque D-Link ou non), puis on peut télécommander la prise à l'aide d'une application mobile, depuis son réseau domestique mais aussi via Internet.
Il faut rappeler qu'on ne peut que couper ou restaurer l'alimentation électrique, et pas réellement télécommander l'appareil branché. On peut donc télécommander une lampe conventionnelle sur laquelle on laisserait l'interrupteur enclenché. Toutefois rétablir l'alimentation est sans effet sur de nombreux appareils éléctroménager ou audiovisuels modernes, tels qu'une machine à café ou un téléviseur.
Néanmoins par rapport à d'autres produits équivalents comme le Belkin WeMo Switch, le produit de D-Link présente l'intérêt de mesurer la consommation, et d'intégrer un thermomètre, pour couper automatiquement un fer à repasser ou un fer à lisser oublié par exemple.
La D-Link Wi-Fi Smart Plug est disponible dès à présent aux États-Unis au prix public de 50 dollars. Aucune information n'a encore été communiquée pour le reste du monde, mais rares sont les produits de ce fabricant qui restent réservés aux américains.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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