De même, il promet une meilleure rapidité pour le démarrage des machines. Une mise en route classique ne prendrait que quelques secondes et serait bien plus rapide que pour le BIOS « classique ».
Ces arguments en faveur de l'UEFI ont d'ailleurs déjà été intégrés par les éditeurs. Outre certains systèmes fonctionnant sur une base Linux qui le gèrent depuis quelques années déjà, Microsoft a intégré ce système de fonctionnement depuis la version SP1 de Vista, tout comme Apple. Selon certaines informations, il serait même pris en compte dans la conception du successeur de Windows 7, Windows.Next.
Créé en 1979 par Intel, le BIOS pourrait donc être amené à disparaître dans les prochaines années. Dans cette même optique, l'an dernier, certains fabricants de cartes mères publiaient des mises à jour beta pour remplacer le BIOS par un UEFI...