Test Alienware m16 R2 : un nouveau modèle encore meilleur ?

Nathan Le Gohlisse
Spécialiste Hardware
22 mai 2024 à 11h34
5
Voici l'Alienware m16 R2 © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Voici l'Alienware m16 R2 © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Testé par nos soins il y a un peu moins d'un an, l'Alienware m16 faisait figure de bonne pioche dans le milieu de gamme avec son placement tarifaire « raisonnable » et ses performances solides pour jouer, y compris en QHD. En début d'année, la filiale de Dell renouvelait ce modèle en modifiant son châssis et en procédant à quelques ajustements épars. C'est cette version « R2 » de l'engin que nous avons reçue en test. Voici nos impressions.

Alienware m16 R2
  • Possible de jouer en QHD+ sans se poser de questions
  • Reconnaissance faciale
  • Bonne évolutivité (SSD, RAM, carte Wi-Fi, batterie remplaçables facilement)
  • Bonne qualité d'affichage dans l'ensemble…
  • … même si l'écran ne suffira pas à tout monde
  • Beaucoup de bruit en jeu
  • Connectiques mal réparties
  • Trackpad trop petit, haut-parleurs et webcam ratés

Beaucoup moins dispendieux que l'Alienware X16, son cousin plus haut de gamme, le m16 R2 se positionne dans le catalogue de Dell comme une alternative un peu plus classieuse au modèle « G16 » que nous testions il y a quelques mois. La différence entre les deux PC portables se joue à première vue sur l'intégration du processeur (13e génération d'Intel sur le G16, contre des Core Ultra chez Alienware), sur la qualité de conception du châssis (plastique majoritairement d'un côté, contre aluminium de l'autre), sur le niveau des finitions, ou encore sur quelques agréments propres à la gamme Alienware (on pense notamment à la partie logicielle ou à l'intégration des RGB).

Sur le plan technique, et en ce qui concerne ses performances graphiques, nous ne nous attendons néanmoins pas à un fossé trop important entre ce nouvel Alienware m16 R2 et le dernier Dell G16. Nous allons voir ce qu'il en est dans la réalité… après un rapide tour du propriétaire du m16 R2 que Dell France nous a fait parvenir en prêt.

Notre configuration de prêt est disponible en France à un tarif de 2 150 euros sur le site officiel d'Alienware. Il existe toutefois une version plus accessible de l'appareil (Core Ultra 7, 16 Go et RTX 4060) proposée dès 2 000 euros dans l'Hexagone, tandis que la mouture la plus haut de gamme de l'engin se négocie cette fois à plus de 2 600 euros (Core Ultra 9, 32 Go de RAM et RTX 4070).

L'appareil est relativement trapu © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'appareil est relativement trapu © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Design : des changements (judicieux ?) visibles au premier coup d'œil

Avec 363,90 x 249,40 x 23,50 millimètres pour 2,61 kilos, le m16 R2 est plutôt à contre-emploi sur un marché qui tend de plus en plus vers la compacité. Il est néanmoins un peu plus fin et nettement moins lourd que le Dell G16. Ce n'est, à vrai dire, pas difficile, puisque ce dernier ne fait aucun effort pour limiter son épaisseur et son embonpoint. Sans être un modèle de compacité, et s'il est loin de pouvoir se faire oublier au fond d'une sacoche, l'engin d'Alienware se montre donc un chouia plus compact et plus agréable à transporter que son acolyte de chez Dell.

L'appareil profite par ailleurs, effectivement, d'une qualité d'assemblage supérieure et de finitions plus méticuleuses que celles du G16. Nous ne sommes pas tout à fait sur la même gamme de prix, et cela se ressent. Nous profitons du savoir-faire d'Alienware en la matière, avec un châssis en aluminium anodisé élégant, et une partie clavier dotée d'un revêtement peau de pêche, semblable à celui des anciens XPS 15/17.

La charnière permet une ouverture du capot à 180 degrés © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
La charnière permet une ouverture du capot à 180 degrés © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

L'ordinateur ouvert et fermé © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Alienware a également jugé bon de faire évoluer assez sensiblement le design de son produit par rapport à son prédécesseur. La forme du châssis est différente, notamment lorsqu'on regarde le m16 R2 de l'arrière. L'écran est intégré différemment, les charnières sont plus discrètes, les grilles d'aération arrière un peu plus petites, et le pourtour RGB qui mettait en valeur l'arrière-train du modèle 2023 a cette année disparu. Désormais, seuls les logos Alienware sont dotés de RGB, au même titre que les touches du clavier (avec un rétroéclairage « per key ») et le pourtour du pavé tactile.

Dans l'ensemble, l'appareil gagne légèrement en sobriété par rapport au m16 initial. Il perd aussi presque 400 grammes face à son grand frère, ce qui est loin d'être négligeable en l'état. On retrouve en revanche le même clavier et un trackpad à peine plus grand. Le clavier de notre m16 R2 s'avère donc à nouveau très confortable, silencieux et précis. La profondeur de course est bonne, et le retour suffisamment ferme, d'après nous.

Ce n'est pas le meilleur clavier du marché, mais il fait tout à fait l'affaire pour travailler et jouer. Nous restons toutefois beaucoup plus dubitatifs en ce qui concerne le pavé tactile. Ridiculement étroit, et en comparaison de ce que l'on trouve sur de nombreux modèles concurrents, ce dernier servira surtout en dépannage. Nous regrettons que la filiale de Dell ne fasse pas un petit effort sur ce point… même s'il est vrai que ce genre d'appareil s'utilise 9 fois sur 10 avec une souris externe.

Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Les touches RGB ont une bonne profondeur de course © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Le clavier est agréable © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le clavier est agréable © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Même constat en ce qui concerne les haut-parleurs. Installés sur les côtés du châssis, et donc plutôt bien situés, ces derniers délivrent pourtant une expérience audio qui manque sérieusement de relief et de puissance. Leur volume maximal couvre d'ailleurs tout juste le bruit des ventilateurs lorsque le système de dissipation est lancé à plein régime. Dommage, d'autant que la webcam 1080p n'est pas vraiment bonne non plus. Même en pleine journée et dans une pièce bien éclairée, le rendu est pataud, peu détaillé, et les couleurs complètement délavées. Le principal intérêt de ce capteur est toutefois d'être compatible avec l'identification faciale grâce à Windows Hello.

Cam
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Le webcam permet l'identification faciale © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Sur le plan des connectiques, ce nouvel Alienware m16 R2 souffle enfin le chaud et le froid. D'un côté, on retrouve cette année une sélection d'entrées et sorties généreuses, avec un port USB-A 3.2 Gen 1 doté de PowerShare, un port USB-A 3.2 Gen 1, un port USB-C Thunderbolt 4, un port USB-C 3.2 Gen 2, une sortie HDMI 2.1, une entrée Ethernet RJ45, un lecteur micro SD et une prise jack de 3,5 mm.

Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

On trouve les différents ports des deux côtés, mais… © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

... les connectiques sont mal réparties © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
... les connectiques sont mal réparties © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

De l'autre, on peste souvent contre la répartition très peu pratique de ces différents ports. Nous aurions notamment aimé trouver les prises USB-C sur les flancs, plutôt qu'à l'arrière du châssis, où elles sont difficiles à localiser à l'aveugle. Un problème d'autant plus pénible que ces ports USB-C sont souvent utilisés tous les jours. Par ailleurs, la présence d'un lecteur micro SD en lieu et place d'un lecteur de cartes SD pleine taille est incompréhensible sur un produit de 16 pouces.

Cela dit, l'Alienware m16 R2 fait bonne impression en matière d'évolutivité. L'accès aux composants se fait facilement après avoir retiré quelques vis cruciformes à l'aide d'un tournevis de précision. On découvre alors deux emplacements pour SSD M2 2280 (un seul est occupé sur notre modèle de prêt) tandis que la mémoire vive est installée sous la forme de deux barrettes SO-DIMM. La carte Wi-Fi peut aussi être remplacée, au même titre que la batterie.

L'intérieur de la bête © techknowlux
L'intérieur de la bête © techknowlux

Écran : un bon écran IPS, surtout pensé pour les joueurs

L'Alienware m16 R2 embarque un écran QHD+ de 16 pouces (2 560 x 1 600 pixels), avec 240 Hz et offrant 3 ms de temps de réponse. Cette dalle LCD IPS, fabriquée par le Chinois BOE, arbore un format 16:10 désormais très courant, y compris sur les laptops gaming, et profite d'une certification NVIDIA G-Sync. Dell évoque pour le reste une prise en charge à 100 % de l'espace de couleur sRGB sur la fiche technique de son PC. Cette dalle est d'ailleurs commune à toutes les configurations de l'appareil commercialisées en France.

Ce que l'on retient de notre côté, c'est que si cet écran conviendra sans doute à une majorité de joueurs, il laissera clairement les utilisateurs avancés, et a fortiori les créatifs, sur leur faim. Voici pourquoi.

En premier lieu, la luminosité de ce panneau LCD est loin d'être irréprochable. On plafonne ici à 343 cd/m2 en pic de luminance. C'est suffisant dans la plupart des cas pour un usage en intérieur, d'autant que l'on profite ici d'un traitement anti-reflet efficace, mais en extérieur ou dans une pièce très éclairée, on en vient vite à plisser les yeux et froncer les sourcils. Sur un produit à plus de 2 000 euros, nous sommes en droit d'attendre mieux d'Alienware.

L'écran est bon pour jouer, mais insuffisant pour les utilisateurs les plus exigeants © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'écran est bon pour jouer, mais insuffisant pour les utilisateurs les plus exigeants © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

La calibration de cet écran est néanmoins de bon niveau, avec des indicateurs dans les clous côté DeltaE et température. Dommage cependant que cette dalle ne fasse pas meilleure impression sur la prise en charge des espaces colorimétriques. Comme promis par le constructeur, le spectre sRGB est bel et bien couvert à 99,8 %, mais l'espace DCI-P3 n'est pour sa part supporté qu'à hauteur de 78,9 %. Insuffisant pour les créatifs et les professionnels de l'image, qui devront se tourner vers une autre machine pour mener à bien leurs projets dans les meilleures conditions.

Cela étant dit, la réactivité de cette dalle IPS 240 Hz est très satisfaisante en jeu. Cette fréquence d'affichage élevée contribue à permettre un temps de réponse très faible, pas autant que sur un panneau OLED, certes, mais suffisamment pour une majorité d'utilisateurs. Dans une moindre mesure, notre écran est aussi viable sur le plan du contraste, avec un ratio mesuré à 1413:1. Ce n'est pas extraordinaire en 2024, mais pour la technologie IPS, c'est honnête.

Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Sans être excellentes, les mesures sont correctes © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Performances : le bruit et la fraîcheur ?

Bien entendu, les performances restent le point le plus important sur un PC portable gaming, et en la matière, l'Alienware m16 R2 fait sur le papier bonne impression. Contrairement au Dell G16, qui se contente toujours d'un processeur Intel d'ancienne génération, le m16 R2 profite des dernières puces du géant californien, avec un processeur Intel Core Ultra 7 155H aux commandes. Un processeur que l'on retrouve décliné à toutes les sauces sur une foule de machines en cette année 2024, puisqu'il équipe aussi bien certains PC ultraportables, comme l'ASUS Vivobook S14, que des mastodontes de 16 pouces, à l'instar du modèle qui nous intéresse présentement.

Cette puce de dernière génération regroupe 16 cœurs et 22 threads, cadencés à un maximum de 4,8 GHz en mode turbo, et 24 Mo de cache pour un TDP pouvant atteindre 115 W. Ce processeur intègre aussi une partie graphique intégrée Intel ARC (avec 8 cœurs Xe à 2,25 GHz), mais il est couplé à un GPU dédié nettement plus intéressant sur notre m16 R2 : la GeForce RTX 4070 de NVIDIA, ici configurée en 140 W. Sur notre unité de test, l'ensemble est épaulé de 32 Go de mémoire vive (DDR5 à 5 600 MHz). Voyons ce dont tout ce beau monde est capable.

L'appareil se comporte bien en QHD+ © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'appareil se comporte bien en QHD+ © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Commençons sans plus attendre par les résultats obtenus par le Core Ultra 7 155H sous Cinebench R23. Sur notre Alienware m16 R2, la puce récolte 18 987 points en calcul multi-core, contre 1 766 points en single-core. À titre de comparaison, le même CPU obtenait 15 408 points en multi-core et quelque 1 796 points en single-core sur le modèle compact ASUS Vivobook S14. Le gabarit de notre m16 R2 et son plus gros système de dissipation permettent donc au processeur d'Intel de développer un bien meilleur potentiel sur les opérations réalisées sur plusieurs cœurs à la fois.

Toujours pour vous donner un ordre de grandeur, le Ryzen 9 8945HS du dernier Razer Blade 14, par exemple, montait à 16 182 points en multi-core, contre 1 771 points en single-core. La puce Apple M3 Max du dernier MacBook Pro 16 glanait de son côté quelque 23 785 points en multi-core et 1 892 points en single-core… le tout sur batterie et avec des ventilateurs loin d'être actifs à plein régime. Un autre monde, même si l'Intel Core i9-14900HX fait encore mieux sur le plan des performances brutes, à défaut d'être un modèle de maîtrise énergétique.

Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Alienware m16 R2 © © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Le m16 R2 embarque un Core Ultra 7 155H © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Si l'on taquine l'Alienware m16 R2 en matière de dissipation, c'est parce que ses ventilateurs sont très bruyants. Vraiment. À plein régime, le souffle émis par la ventilation est fatigant, au point de rendre le port d'un casque indispensable pour jouer. Ce système de refroidissement bruyant a par ailleurs pour inconvénient majeur d'être modérément efficace.

Si la chaleur se ressent peu au niveau du clavier ou du châssis, les températures atteintes sur le processeur ne sont pas vraiment contenues. Le cap des 100 °C est régulièrement approché en début de stress test sur AIDA64, et le thermal throttling est important sur notre Core Ultra 7 155H… ce qui affecte son potentiel, en fin de compte.

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
© Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Cyberpunk
Dying Light

© Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Quoi qu'il en soit, le bilan en jeu reste flatteur, avec environ 50 FPS en moyenne sur Cyberpunk 2077, avec les préréglages ray-tracing Ultra, le DLSS 3.0 désactivé et en définition QHD+ (2 560 x 1 600 pixels). Dans les mêmes conditions, on monte à un peu plus de 80 FPS en moyenne sur Dying Light 2. Pas mal. Même constat sur 3D Mark Time Spy Extreme, où notre RTX 4070 obtient un score graphique de 5 940 points. La même carte graphique obtenait 5 966 points sur le Razer Blade 14… vendu presque 850 euros plus cher que notre Alienware m16 R2.

Terminons par un point sur les performances du SSD. La barrette M2 PCIe Gen 4 de 1 To installée à bord de notre unité de prêt s'avère suffisamment véloce, avec 7 052 Mo/s en lecture et 5 217 Mo/s en écriture.

Cinebench
SSD
Blender

Autonomie : pas si mal !

Sans battre un record d'endurance, l'Alienware m16 R2 parvient à se placer avantageusement face à ses pairs. Sa batterie de 90 Wh lui permet en effet de tenir 5 à 6 heures avant de baisser pavillon. Pour un PC portable gaming, c'est honnête.

En résumé, un bon PC milieu de gamme, mais avec des points qui auraient pu être améliorés © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
En résumé, un bon PC milieu de gamme, mais avec des points qui auraient pu être améliorés © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

En lecture vidéo, dans le cadre de notre test habituel (luminosité de l'écran à 100 %, casque branché, paramètres favorisant d'alimentation l'économie d'énergie, rétroéclairage coupé), nous avons d'ailleurs réussi à enchaîner les vidéos en 1080p sur YouTube (par Edge) pendant 5 heures et 50 minutes tout rond avant que le chargeur ne nous soit expressément demandé.

La recharge se fait pour sa part en plus ou moins 2 heures à l'aide du bloc secteur de 240 W fourni.

Alienware m16 R2 : l'avis de Clubic

7

Face à un Dell G16 très séduisant sur le milieu de gamme du constructeur texan, l'Alienware m16 R2 peine à convaincre pleinement. À vouloir un peu trop maîtriser ses coûts, la filiale de Dell en vient à nous délivrer un produit moins bon que par le passé, et qui ne profite pas, d'après nous, de ce « petit quelque chose en plus » qui pousse à l'achat. L'engin commet par ailleurs une succession de petites erreurs qui lui portent finalement préjudice.

Il reste néanmoins un PC gamer capable, grâce à ses solides performances en QHD+, mais aussi grâce à sa bonne évolutivité et à sa construction sérieuse. Alienware reste sur la bonne voie avec sa lignée m16, il doit juste aller un peu plus loin… et se positionner de manière plus agressive encore face à la concurrence.

Les plus

  • Possible de jouer en QHD+ sans se poser de questions
  • Reconnaissance faciale
  • Bonne évolutivité (SSD, RAM, carte Wi-Fi, batterie remplaçables facilement)
  • Bonne qualité d'affichage dans l'ensemble…

Les moins

  • … même si l'écran ne suffira pas à tout monde
  • Beaucoup de bruit en jeu
  • Connectiques mal réparties
  • Trackpad trop petit, haut-parleurs et webcam ratés

Design 7

Écran 7

Performances 8

Autonomie 6

Prix 7

Dell 1699,5€ Voir l'offre
Dell 1699,5€ Voir l'offre

Concurrence : quelles alternatives à l'Alienware m16 R2 ?

Dell G16 2023
  • Un prix attractif
  • L'écran IPS QHD+ de qualité
  • Les performances, y compris au-delà de la Full HD+
  • Clavier convaincant et dissipation assez silencieuse
  • Bonne évolutivité
  • Appareil encombrant et lourd, avec un chargeur XXL
  • Répartition des connectiques peu pratique et trackpad raté
  • Tendance à la chauffe
  • Pas d'identification biométrique
Framework Laptop 16
  • Le concept modulaire et réparable encore plus abouti
  • Un véritable fantasme pour les "bidouilleurs"
  • Un appareil élégant et globalement bien conçu
  • Excellent écran IPS
  • Aucune option pour obtenir un GPU NVIDIA
  • Léger manque de puissance de la Radeon RX 7700S
  • Quelques bugs de jeunesse (en bonne partie corrigés)
  • Prix tout de même un chouia élevé

Fiche technique Alienware m16 R2

Résumé

Processeur
Intel Core Ultra 7 155H
Taille de la mémoire
32Go
Carte graphique
Nvidia GeForce RTX 4070
Mémoire vidéo
8Go
Taille de l'écran
16 pouces
Taux de rafraîchissement
240Hz

OS

Système d'exploitation
Windows 11

Processeur

Processeur
Intel Core Ultra 7 155H
Type de processeur
12 coeurs / 22 threads
Fréquence du processeur
4,8GHz
Finesse de gravure
7nm

Mémoire vive

Taille de la mémoire
32Go
Type de mémoire
DDR5
Fréquence(s) Mémoire
5 600MHz
Nombre de barrettes
2

Graphismes

Carte graphique
Nvidia GeForce RTX 4070
Max-Q
Oui
Mémoire vidéo
8Go
VR Ready (réalité virtuelle)
Oui
Type mémoire vidéo
GDDR6

Écran

Taille de l'écran
16 pouces
Taux de rafraîchissement
240Hz
Type de dalle
Dalle IPS
Type d'écran
LED
Résolution d'écran
QHD+
Format de l'écran
16/10
Dalle mate / antireflet
Oui
NVIDIA G-SYNC
Oui
Écran tactile
Non

Stockage

Configuration disque(s)
SSD
Disque principal
1 To
Disque secondaire
1 slot M.2 NVMe
Lecteur optique
Aucun
Emplacement mSATA/M.2
M.2 (libre), M.2 (occupé)
Lecteur de carte mémoire
Micro SD

Connectique

Connectiques disponibles
Ethernet - RJ45 Femelle, Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1

Réseau sans-fil

Wi-Fi
Oui
Version Wi-Fi
7
Bluetooth
Oui
Version Bluetooth
5.4

Équipement

Webcam
Oui
Haut-parleurs
Intégrés
Clavier
Azerty
Clavier rétroéclairé
Oui - RGB
Pavé numérique
Non
Lecteur d'empreinte digitale
Non

Caractéristiques physiques

Épaisseur
23,5mm
Longueur
363,9mm
Largeur
249,4mm
Poids
2,61kg

Nathan Le Gohlisse

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Passionné de nouvelles technos, d'Histoire et de vieux Rock depuis tout jeune, je suis un PCiste ayant sombré corps et biens dans les délices de macOS. J'aime causer Tech et informatique sur le web, i...

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Commentaires (5)

fabfue
Le bruit des pc portable gamer est juste insupportable ,faut être isolé et avoir un casque a réduction de bruit …Sinon c’est une punition.
Thierry_Arttek
faut pas abuser ça fait pas trop de bruit, même sous hwinfo64 ventilo a fond de rpm en plein jeu ça va <br /> je suis encore sur MON M11X R3 16GO MEM GT540 gfx, (je joue a titanfall 1 depuis plus de 10ans ^^ ) j’ai une carte mère neuve au cas ou dans le placard et SSD installé bien sur avec sortie PROJO
userresu
Du Thunderbolt 4 ; je ne comprends pas que TOUS les laptops orientés «&nbsp;Gaming&nbsp;» n’en soient pas équipé ; je crois que seulement les cartes RTXxx70 en sont équipé ; il n’est pas dispo sur les RTXxx60 ou RTXxx80 (je mets «&nbsp;xx&nbsp;» car cette limitation existait déjà sur les RTX 3000) et je trouve ça vraiment dommage
Pernel
Ça existe encore Aliencher ?
fabfue
Un PC Gamer actuel équipé au moins d’une RTX 3060 a 140w fait du bruit ,clairement …Beaucoup de bruit ,quelque soit la marque.
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