NRJ Mobile ajuste finalement le tarif de son forfait Ultimate Illimité, qui n'en finit plus de connaitre des revirements. En passant de 50 à 40 euros/mois, l'offre tout illimité comble son retard... en partie seulement.
Le contenu et les conditions inchangés de l'offre restent comparables à ceux des nouveaux forfaits sans engagement facturés une vingtaine d'euros :
appels et SMS inclus à hauteur de 3 h/appel et de 129 correspondants par mois, facturation hors forfait au-delà
Internet 3G+ à 3,6 Mb/s jusqu'à 1 Go/mois, bridage à un débit non communiqué au-delà, voix sur IP interdite et partage de connexion (modem) éludé
Pourtant le coût de revient au terme de l'engagement de 24 mois reste sensiblement supérieur à celui d'une offre sans engagement. Même avec le Samsung Galaxy Ace recommandé par l'opérateur virtuel, facturé 30 euros avec l'honorable subvention, le solde est de 990 euros, contre 700 euros avec un forfait à 20 euros/mois et ce téléphone acheté nu à 220 euros.
Le forfait Ultimate Illimité sera donc disponible à partir du 15 février, facturé 40 euros/mois avec un engagement de 24 mois et un nouveau téléphone, 6 euros/mois de plus pour un engagement de 12 mois. Il ne sera ni proposé sans téléphone, ni sans engagement.
L'opérateur virtuel, qui proposait l'une des offres tout illimité les plus alléchantes jusqu'à l'avènement de Free Mobile, avait indéniablement manqué le coche depuis. À la veille du lancement du quatrième opérateur, alors que l'heure était plus que jamais au tout illimité, NRJ Mobile mettait fin au sien, avant de revenir sur sa décision, mais à un prix en décalage avec le marché. Il semble en avoir pris conscience, mais l'ajustement du jour reste insuffisant.
NRJ Mobile assure quoi qu'il en soit que ce nouvel Ultimate Illimité est le premier représentant d'une gamme cohérente qu'il lancera prochainement. Gageons que l'une des futures offres sera compétitive, elle.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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