Toshiba décline déjà sa nouvelle gamme de tablettes en annonçant la « Thrive 7" », variante ultra-compacte de son premier modèle Honeycomb qu'il a annoncé mi-juin, qui met l'accent sur la mobilité et le confort de lecture.
L'écran d'une diagonale de 7,0 pouces de la nouvelle « Toshiba Thrive 7" » présente pour ce faire la particularité d'être à la fois le plus petit et le mieux défini du segment. Il offre effectivement la même définition de 1280 x 800 pixels que celui du modèle de 10,1 pouces, mais sur une surface moitié moindre. La résolution culmine ainsi à 225 pixels par pouce. À titre de comparaison sa principale rivale, la Galaxy Tab 7,7, affiche la même définition mais sur un écran plus grand.
Elle n'est en revanche pas aussi légère et fine que cette dernière, bien qu'elle reste très mobile avec un poids de 400 g (contre 335 g), pour une épaisseur modeste de 12 mm (contre 8 mm), vraisemblablement en raison de son capot « Easy Grip » qui est en contrepartie antidérapant et résistant.
On retrouve enfin une fiche technique courante pour une tablette Android 3.2 Honeycomb, avec un SoC Nvidia Tegra 2 (bi-cœur cadencé à 1 GHz), une quantité non communiquée de mémoire vive, 16 ou 32 Go de mémoire interne extensible par le biais d'une carte microSDHC, une caméra frontale et dorsale de respectivement 2 et 5 millions de pixels, du Wi-Fi, du Bluetooth, un GPS, un port mini USB (et non micro) et une sortie micro HDMI standard.
La « Toshiba Thrive 7" » sera commercialisée aux États-Unis à partir du mois de novembre pour un prix non communiqué. À titre indicatif, la « Thrive 10" » y est quant à elle facturée 380, 400 et 480 dollars en capacité de 8, 16 et 32 Go. Aucune information n'est fournie pour l'Europe, où on attend le modèle de 10 pouces pour Noël.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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