Le « Sony Ericsson Liveview » fait aujourd'hui ses premiers pas sur le marché français. Le prix et la date de lancement en France de cette télécommande pour smartphone Android, annoncée fin septembre, ont effectivement été annoncés hier. La chaîne de distribution The Phone House le commercialisera donc en exclusivité jusqu'à la fin du mois de novembre, au prix public de 59 euros.
Son lancement en France est l'occasion d'en préciser le fonctionnement. Le « Liveview » se présente pour rappel sous la forme d'un petit écran OLED de 35 x 35 mm à porter à la ceinture ou sur un bracelet à la manière d'une montre. Son écran n'est pas tactile mais ses quatre bordures sont autant de touches tactiles. Il communique en Bluetooth 2.1 avec n'importe quel smartphone embarquant Android 2.1 ou ultérieur et l'application dédiée. Sony Ericsson revendique d'ailleurs une autonomie d'une semaine avec sa batterie se rechargeant au moyen d'un connecteur micro USB standard.
Le « Liveview » affiche donc toutes sortes de notifications ou d'informations provenant du smartphone. Il peut par exemple afficher le nom ou le numéro de téléphone de l'appelant, un extrait d'un SMS, des notifications Facebook et Twitter, la télécommande du lecteur multimédia ou encore un rappel du calendrier.
Et pour ne rien gâcher, il affiche l'heure !
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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