Le lancement ce matin de l'Apple Watch a ouvert la voie à quelques nouvelles découvertes, tout particulièrement sur des aspects relatifs à la longévité de la montre.
L'équipe d'iFixit, le site Internet américain qui milite pour la « réparabilité » des appareils électroniques, a traversé l'océan Pacifique et franchi la ligne de changement de date pour récupérer l'une des premières Apple Watch livrées ce matin à l'Orient, en Australie. Ils se sont aussitôt livrés au traditionnel démontage. Ils ont ainsi levé l'une des dernières inconnues entourant la montre connectée d'Apple : les caractéristiques de sa batterie.
Les deux Apple Watch de 38 mm qu'ils ont reçues en premier abritent ainsi une batterie au lithium-ion polymer délivrant une tension de 3,8 V, une énergie de 0,78 Wh et disposant d'une capacité de 205 mAh. C'est une capacité fort modeste comparée aux sept montres Android Wear du marché, dont les batteries font 300 à 420 mAh, soit 50 à 100 % de plus.
Le modèle de 42 mm dispose selon Apple d'une batterie plus généreuse, mais on ne sait pas encore dans quelles proportions.
Crédit : iFixit
En décernant un score de réparabilité de 5/10, iFixit a quoi qu'il en soit noté que le remplacement de cette batterie serait assez facile. C'est le premier composant auquel on accède après avoir décollé l'écran, et il est simplement légèrement collé. Les bricoleurs ou à défaut les boutiques spécialisées pourront donc redonner un nouvel élan à une Apple Watch fatiguée.
Apple avait d'ailleurs révélé les coûts de réparation des Apple Watch deux semaines plus tôt. Le remplacement de la batterie est ainsi facturé 97 euros, quel que soit le modèle. Le coût maximal d'une réparation hors garantie varie quant à lui en fonction du modèle, il est de 261 euros pour la version Sport, de 361 euros pour la version en acier et de 3 049 euros pour la version Edition.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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