Il n'y a pas que les constructeurs de mobiles qui désirent mettre en avant des logiciels, gratuits ou payants, pour les plateformes qu'ils exploitent. Trois mois après SFR et son Appli Store, c'est au tour de Bouygues Telecom de se lancer dans le monde des kiosques de téléchargement de logiciels.
Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, a officiellement dévoilé la nouvelle version 6.5 du système Windows Moble au salon télécom de Barcelone. En plus des mises à jour d'ordre esthétique, ce sont également de nouveaux services associés qui ont été mis en avant : le kiosque de téléchargement de logiciels « Marketplace » et le service de synchronisation en ligne « MyPhone ».
C'est sans doute l'une des plus importantes annonces du salon télécom de Barcelone cette année. Après Apple avec son App Store, Palm avec son App Catalog, Samsung avec le Mobile Applications, Microsoft avec le Marketplace, Google avec le Android Market ou encore RIM avec le Application Center, c'est au tour du premier acteur mondial des mobiles de lancer à son tour un kiosque de téléchargement de programmes gratuits ou payants pour smartphones et mobiles de la marque.
Leader mondial de la téléphonie mobile, Nokia profite du Mobile World Congress, qui se tient cette semaine à Barcelone, pour annoncer le lancement de « l'OVI Store », un kiosque de téléchargement de contenus et d'applications.
L'App Store d'Apple, le kiosque de téléchargement de logiciels tiers pour iPhone et iPod Touch, est définitivement un succès. Mais il ne plait pas à tout le monde.
Fort de plus de 500 millions de téléchargements des 15 000 applications référencées pour iPhone et iPod Touch, l'App Store d'Apple est un vrai succès, à la fois d'estime et commercial.
Après Apple (App Store), Google (Android Market), Microsoft (Skymarket), RIM (Application Center), Palm (App Catalog) ou même Sony Ericsson (Playnow), c'est au tour du sud-coréen de lancer son propre kiosque de téléchargement de logiciels.
C'est en mars prochain que la canadien Research In Motion doit officiellement ouvrir son « Application Center », le kiosque de téléchargement de programmes tiers de la marque, pour tous les smartphones équipés d'un système 4.2.1 ou supérieur.
Une fois n'est pas coutume, les éditeurs de jeux et d'applications confirment le succès commercial rencontré par certains de leurs programmes pour iPhone et iPod Touch téléchargeables depuis l'App Store d'Apple.
Apple annonçait fièrement avoir passé le cap la semaine dernière des 15 000 applications référencées sur son App Store. Google vient d'en faire de même en officialisant la sortie de... 800 applications - toutes gratuites pour l'heure - sur son Android Market.
En tout juste six mois, Apple a fait de sa plateforme de téléchargement de programmes tiers pour iPhone et iPod Touch un véritable standard du marché.
Apple souhaite passer à la vitesse supérieure pour démocratiser son App Store, le kiosque de téléchargement de logiciels tiers pour iPhone et iPod Touch. En effet, la firme à la Pomme vient d'autoriser la publication de logiciels alternatifs déjà intégrés de base dans les terminaux à écran tactile de la marque. Si la société ne voulait pas au départ que ses programmes publiés en interne soient concurrencés par ceux d'autres marques, Apple est revenu semble-t-il sur cette décision.
Alors que Palm avait annoncé à demi mot que son nouveau système mobile, « Web OS », devait au départ être rétro compatible avec une grande partie des applications développées pour le précédent système Palm OS, il semble qu'il n'en sera finalement rien.
Depuis le 24 décembre au soir, bon nombre de développeurs pour iPhone et iPod Touch ont remarqué une explosion du nombre de téléchargements de leurs programmes sur l'App Store, le kiosque de téléchargement de logiciels tiers pour la plateforme mobile d'Apple.
Les grands groupes médias français commencent à s'intéresser de près à l'iPhone d'Apple. Alors qu'il est déjà possible de noter nom nombre d'applications permettant d'accéder aux contenus proposés par des quotidiens nationaux, ce sont désormais les radios qui s'invitent sur l'App Store.
Oui l'App Store, le kiosque de téléchargement de logiciels tiers pour iPhone et iPod Touch, est un véritable succès avec plus de 10 000 applications référencées et 300 millions de téléchargements en moins de six mois.
Appli Store sur le M! PC Pocket Avec près d'un mois de retard sur sa date de sortie prévue, SFR vient d'ouvrir, pour le moment en version bêta, son Appli Store, le kiosque de téléchargement de programmes pour les terminaux mobiles de l'opérateur.
Apple a décidément eu une très bonne idée en lançant en juillet dernier l'App Store, la place de marché permettant de télécharger des logiciels tiers pour ses iPhone et iPod Touch.
Assez discrètement, le cap des 10 000 applications référencées sur l'App Store d'Apple vient d'être franchi, moins de 6 mois seulement après son ouverture ! Véritable boutique en ligne mobile permettant de télécharger gratuitement ou d'acquérir des logiciels tiers pour les iPhone ou iPod Touch, Apple a été le premier à l'intégrer dans toute sa gamme de terminaux à écran tactile.
C'est le 19 novembre dernier que l'opérateur SFR devait lancer son « Appli Store », un kiosque de téléchargements de programmes tiers pour ses netbooks sous Linux, des EeePC d'Asus au M! PC Pocket dévoilé il y a quelques semaines.
Après quelques jours de retard par rapport à sa date de sortie estimée, un nouveau logiciel mobile de Google pour iPhone vient de voir le jour.
Pour la première fois, Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, vient de parler officiellement de la prochaine mise à jour du système d'exploitation mobile de la marque. Alors que jusqu'à présent les mobinautes se tournaient vers la version 7 du système Windows Mobile, c'est bel et bien sa version 6.5 qui devrait être disponible dans le courant de l'année prochaine.
La version mobile du navigateur web Safari est sans doute l'un des meilleurs navigateurs du marché, permettant sur l'iPhone ou sur l'iPod Touch d'Apple de surfer sur l'internet mobile facilement et rapidement.
Alors que des rumeurs annonçaient en septembre dernier que le service en ligne Deezer allait être disponible en version iPhone, rumeur infirmée quelques jours plus tard par la jeune pousse française à l'origine du service, il semble que cette dernière soit revenue sur sa décision.
Introduction En l'espace d'une année à peine, le Smartphone d'Apple (ainsi que par extension, l'iPod touch) est parvenu à détourner les regards de nombreux Mobinautes. Il faut bien avouer que l'excellente ergonomie de l'interface tactile de ces mobiles tranche radicalement avec ce que l'on avait l'habitude de voir. Cet appareil semble avoir été conçu en tenant compte d'une contrainte majeure : la simplicité d'utilisation. Les différentes rubriques et menus du téléphone de Cupertino ne sont pas les seuls à bénéficier de cette ergonomie hors pair. En effet, Apple a jeté un pavé dans la marre en intégrant l'App Store, un programme capable d'effecteur des recherches d'applications et des installations directement depuis le mobile lui-même !
A l'image des « Application Center » de RIM, « App Store » d'Apple ou « Android Market » de Google, l'opérateur SFR va lancer à son tour un kiosque de téléchargements de programmes gratuits et payants pour certains des terminaux commercialisés avec un abonnement associé. C'est le second opérateur à dévoiler ses ambitions dans ce sens, quelques semaines après l'annonce de T-Mobile qui va lancer un service similaire aux Etats-Unis.
Après l'App Store d'Apple ou le Android Market de Google, c'est au tour du canadien RIM, avec son « Application Center », de proposer un kiosque de téléchargement de programmes tiers pour sa propre plateforme mobile.
Déjà disponible officieusement pendant un temps pour les iPhone et iPod Touch piratés (Jailbreak), le logiciel Fring est désormais officiellement disponible via l'App Store d'Apple (lien iTunes), la plateforme de téléchargement de logiciels tiers pour ces mêmes terminaux.
Peur des conséquences en matière d'image de marque ? Alors que chaque application refusée sur l'App Store défraie la chronique, Apple indique maintenant, en toutes lettres et en majuscules, aux développeurs qui voient leurs créations rejetées que les modalités, conditions et éventuelles raisons du refus sont soumis aux mêmes accords de non divulgation qui sont censés protéger le contenu du kit de développement (SDK) fourni par la firme.