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La Business Software Alliance (BSA), qui se définit comme une organisation « consacrée à la promotion d'un monde numérique légal et sûr », présente le bilan des contrôles effectués au cours de l'année 2005 auprès d'entreprises françaises pour vérifier la légalité des logiciels installés sur leurs ordinateurs. « Sur l'ensemble de ces contrôles le taux constaté de logiciels illégaux s'élevait à 71.1%. Le taux de logiciels pirates le plus haut représentait 91% du parc de logiciels de l'entreprise concernée, tandis que le plus faible s'élevait à 40% », explique BSA dans un communiqué.
Les chiffres avancés par BSA n'ont rien de comparable avec ceux que l'on relève dans un pays comme la Chine mais ils témoignent de la pratique généralisée du piratage de logiciels en entreprise. En France, 47% des logiciels utilisés en entreprise le seraient illégalement, estime BSA.
Elle en profite pour lancer un rappel à l'ordre. Elle évoque le manque à gagner imputable au piratage pour l'économie du logiciel, qui serait de 3,19 milliards de dollars, et se dit décidée à axer sa communication sur les risques encourus par les contrevenants. Elle précise par ailleurs qu'il faut s'attendre à « une intensification des contrôles dans les mois à venir ».
Les chiffres avancés par BSA n'ont rien de comparable avec ceux que l'on relève dans un pays comme la Chine mais ils témoignent de la pratique généralisée du piratage de logiciels en entreprise. En France, 47% des logiciels utilisés en entreprise le seraient illégalement, estime BSA.
Elle en profite pour lancer un rappel à l'ordre. Elle évoque le manque à gagner imputable au piratage pour l'économie du logiciel, qui serait de 3,19 milliards de dollars, et se dit décidée à axer sa communication sur les risques encourus par les contrevenants. Elle précise par ailleurs qu'il faut s'attendre à « une intensification des contrôles dans les mois à venir ».
