Invoxia donne une seconde vie à l'un de ses produits en le dotant finalement d'une fonction élémentaire. Le Voice Bridge s'enrichit effectivement d'une fonction baptisée « Follow Me », avec laquelle il redouble d'intérêt.
Lancé il y a un peu plus d'un an, le Voice Bridge est pour rappel un appareil qui permet d'utiliser sa ligne de téléphone fixe depuis son iPhone ou son téléphone Android. Il souffrait jusqu'à présent d'une limitation regrettable : il ne fonctionnait qu'à domicile.
Il constituait néanmoins une solution pour ceux qui hésitaient entre s'encombrer d'un téléphone fixe et profiter des avantages d'une ligne fixe. Même si la téléphonie IP telle qu'elle est mise en œuvre par les fournisseurs d'accès à internet est souvent moins fiable que l'ancienne téléphonie analogique de France Telecom, elle reste souvent préférable à la téléphonie mobile. Elle résout parfois des problématiques de qualité sonore, de couverture ou de tarification (communications internationales incluses).
À l'heure du tout connecté, on pouvait néanmoins regretter que l'application Voice Bridge ne fonctionne que depuis le réseau domestique.
Invoxia comble enfin cette lacune en apportant une fonction baptisée Follow Me. Comme son nom l'indique, elle permet d'emporter sa ligne fixe avec soi. Après une mise à jour automatique de la passerelle, on peut émettre et recevoir des appels sur sa ligne fixe via internet, qu'on soit connecté en Wi-Fi ou en cellulaire (3G ou 4G).
Le Voice Bridge s'ouvre ainsi à de nouveaux usages. Lors d'un déplacement à l'étranger par exemple, on peut téléphoner à moindre frais à ses proches restés au pays, via un forfait mobile incluant de l'internet depuis l'étranger, une carte SIM locale ou un accès Wi-Fi. La ligne fixe peut aussi servir de second numéro, pour séparer ses communications personnelles et professionnelles.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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