Samsung a annoncé la semaine dernière une déclinaison S Pen de la Galaxy Tab A, c'est-à-dire une tablette milieu de gamme avec un stylet.
Samsung est l'un des rares fabricants à encore proposer des appareils mobiles avec des stylets. Du temps des premiers Pocket PC reposant sur Windows Mobile, le stylet facilitait l'utilisation des petits écrans tactiles résistifs de moins de 3 pouces alors en vigueur. Depuis, les écrans sont devenus tactiles capacitifs, se sont agrandis et sont devenus utilisables au doigt.
De nos jours, le stylet répond ainsi à des usages complémentaires, principalement la prise de notes à la volée. Le communiqué de presse ne le précise pas, mais il y a fort à parier que le S Pen qu'abrite cette nouvelle Galaxy Tab A rend les mêmes services que celui du fameux Galaxy Note 4, sur lequel il permet d'ouvrir un menu contextuel, d'afficher des extraits au survol, d'afficher deux applications en parallèle, etc.
La « Galaxy Tab A avec S Pen », c'est son nom, affiche par ailleurs les mêmes caractéristiques que son aînée. Elle arbore donc un écran LCD de 9,7 pouces, affichant un ratio 4:3 et une définition modeste de 1024 x 768 pixels. Elle dispose d'une puce Qualcomm Snapdragon 410 à quatre cœurs ARM Cortex-A53 à 1,2 GHz, de 2 Go de mémoire vive, de 16 Go de mémoire interne, extensible par le biais d'un emplacement microSDXC, de capteurs frontaux et dorsaux de 2 et 5 millions de pixels, et d'une connectivité micro-USB, Wi-Fi 802.11n et Bluetooth 4.1. Elle repose sur Android 5.0 Lollipop et embarque une batterie de 6000 mAh.
Cette Samsung Galaxy Tab A avec S Pen est disponible dès à présent en France au prix public de 400 euros. Mais elle se négocie moins de 350 euros chez certains revendeurs.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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