Nokia E6 : le smartphone professionnel est enfin à la page

12 avril 2011 à 11h45
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Nokia a aujourd'hui annoncé le lancement en Europe de deux nouveaux smartphones aux cibles distinctes. Le Nokia X7 met l'accent sur le divertissement, tandis que le nouveau « Nokia E6 » succède aux E71 et E72 au rang du modèle professionnel. Il en reprend les principaux atouts tout en adoptant les dernières innovations du marché.

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Le « Nokia E6 » bénéficie effectivement pour commencer d'un écran tactile, sans pour autant tirer un trait sur l'écran en verre et le boitier compact partiellement en acier de ses prédécesseurs. L'écran LCD affiche d'ailleurs enfin une définition décente : une définition VGA (640 x 480 pixels), soit une résolution élevée compte-tenu de sa diagonale de 6,25 cm (2,46 pouces), équivalente à celle de l'iPhone 4.

L'« E6 » met l'accent sur la productivité en revendiquant une longue autonomie, d'environ un mois en veille et de 15 heures en communication, et en prenant en charge d'origine Microsoft Exchange, Microsoft Communicator et Microsoft SharePoint, et en intégrant des applications métiers telles que QuickOffice ou World Traveler.

Le divertissement n'est toutefois pas en reste puisqu'il embarque un capteur dorsal épaulé par deux LED photographiant à 8 millions de pixels et filmant en HD 720p. Il dispose de 256 Mo de mémoire vive, de 1 Go de ROM, de 8 Go de mémoire interne et d'un emplacement pour carte microSDHC de jusqu'à 32 Go. GPS, HSDPA/HSUPA, Wi-Fi N et Bluetooth 3.0 en constituent enfin la connectique.

Le « Nokia E6 » sera commercialisé en France et dans le reste de l'Europe à partir du 3e trimestre au prix public de 430 euros. Il sera le premier à fonctionner d'origine avec la dernière version du système d'exploitation Symbian nom de code Anna.

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Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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