Alors que plusieurs fabricants d'informatique ont annoncé leurs moniteurs tactiles autour du lancement de Windows 8, c'est finalement au tour de Samsung de s'y mettre, deux mois et demi plus tard.
Samsung a effectivement dévoilé sur son propre blog, en prévision du CES 2013 qui s'ouvrira la semaine prochaine, le moniteur « Series 7 Touch », répondant également à la référence « SC770 ».
Contrairement à celui de LG mais comme ceux d'Acer et de Dell, l'écran tactile de Samsung présente l'intérêt de pouvoir se coucher partiellement le long du bureau. Son pied et son support offrent effectivement une amplitude de 60° sur l'axe vertical. De quoi l'utiliser plus longtemps et l'ouvrir à plus d'usages, par rapport à un écran à la verticale utilisé à bout de bras et réservé à des actions ponctuelles.
Il abrite quoi qu'il en soit une dalle MVA de 24 pouces affichant une définition Full HD (1920 x 1080 pixels), une luminosité maximale de 250 cd/m², un taux de contraste irréaliste de 5000:1 et un temps de réponse de 5 ms. Il dispose seulement d'une entrée HDMI pour l'affichage et le son, d'un port USB esclave assurant le fonctionnement de sa couche tactile capacitive prenant en compte jusqu'à 10 points de contacts. Il embarque également une paire de haut-parleurs de 3 W chacun.
Et un écran design
Samsung lance également un autre écran « Series 7 » répondant cette fois à la référence « SC750 ». Cet écran plus conventionnel mise sur son esthétique épurée, avec un pied en aluminium et un cadre noir laqué aux bordures relativement fines.
Il repose lui aussi sur une dalle MVA d'une diagonale de 27 pouces affichant une définition Full HD (1920 x 1080 pixels), et non WQHD (2560 x 1440 pixels), une luminosité maximale de 300 cd/m², un taux de contraste de 5000:1 et un temps de réponse de 5 ms. Sobriété oblige, il se contente d'une entrée HDMI.
Le prix et la date de mise en vente de ces moniteurs n'ont pas encore été révélés. Ils le seront peut-être la semaine prochaine lorsque le CES aura réellement ouvert ses portes.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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