Il y a moins d'un an, Panasonic avait créé la surprise en annonçant le Lumix LX1, le premier compact doté d'un capteur au ratio 16:9, contre 4:3 pour les autres compacts. Cet appareil permettait de prendre de photos panoramiques en 3 840 x 2 160 pixels à la résolution maximale de 8 millions de pixels, mais également de photographier plus classiquemnet en 4:3 ou 3:2, simplement en sélectionnant le ratio souhaité sur le fût de l'objectif. La prise de vue se faisait alors à une résolution inférieure - l'image produite consistant en un recadrage par rapport aux 8 millions de pixels du capteur -, mais encore très confortable. Ce capteur panoramique n'est pas l'unique atout des compacts de la série LX. Ces appareils se font également remarquer par un objectif grand-angle débutant à 28 mm, un zoom optique 4x et des modes avancés. Ils se distinguent de ceux de la série FX qui jouent la carte du « tout automatique », en proposant plus de réglages ainsi que les modes manuels et priorité ouverture et vitesse. Les LX sont capables de produire des Raw, des fichiers bruts qui se prêtent à toutes les retouches. Panasonic fournit le logiciel SILKYPIX Developer Studio 2.0SE pour leur retouche et leur développement.
Il y a eu le FZ10, le FZ20, le FZ30, il y a maintenant le Lumix FZ50. Panasonic décline saison après saison les ingrédients qui ont fait le succès de ses bridges avancés, et ils auraient tort de se priver ! Cette série possède effectivement de sérieux atouts, à savoir un écran de deux pouces qui s'incline sur 180°, un zoom puissant avec bagues de mise au point et de zoom manuelles, et deux molettes pour le réglage de la vitesse et de l'ouverture. On dispose également sur ces appareils de la stabilisation MEGA OIS et ses deux modes destinés à compenser les bougés de l'appareil et limiter ainsi le nombre de photos floues (Fonction dont Panasonic équipe tous ses modèles). On trouve enfin une fonction d'extension du zoom optique dite « Extra Optical Zoom » qui permet augmenter la plage focale couverte lorsque l'on opte pour une résolution inférieure à celle du capteur (Zoom jusqu'à 21x en 3 millions de pixels).
Quelques rares appareils photo compacts bénéficient d'un boîtier étanche, et peuvent être emmenés sans précaution particulière sous l'eau. C'est notamment le cas des Olympus Mju 720 SW et Pentax Optio W10 testés ici. Pour les autres, les joies de la photo sous-marine et dans les vagues n'est accessible qu'après l'achat d'un caisson étanche.
À côté de son nouveau bridge, le FinePix S6500fd (voir cette brève), FujiFilm annonce le F20, un compact conçu comme le petit frère du F30 (voir cette brève et cet article).
Un an après avoir annoncé coup sur coup deux bridges en juillet dernier - les FinePix S9500 et S5600 -, FujiFilm se fend à nouveau d'un communiqué pour faire part d'un nouvel appareil avancé : le FinePix S6500fd.
Fujitsu débutera au 1er août prochain la commercialisation de deux nouveaux capteurs, les MB91683 et MB91686 (voir ce communiqué). Ces nouveaux capteurs sont de type CMOS et destinés aux appareils de type compact et aux photophones.
Dix millions de pixels sur un compact, il semblerait que ce n'est plus tant que ça un « exploit ». Alors que Casio paraissait seul avoir oublié que la course aux pixels avait été abandonnée lorsqu'il a sorti son EX-Z1000 en juin dernier (voir cet article), il a depuis été suivi par Samsung avec le NV10 (voir cette brève), et à présent par Hewlett-Packard qui nous présente à son tour un modèle équipé d'un capteur de dix millions de pixels : le Photosmart R967.
Samsung vient d'inaugurer une nouvelle gamme de compacts dite « New Vision », dont le NV7 OPS avec son zoom 7x et son système de stabilisation ASR est en quelque sorte le fer de lance (voir cette brève). En même temps que ce compact, Samsung annonce deux autres appareils, les NV3 et NV10.
Samsung vient d'inaugurer une nouvelle série de compacts, baptisée NV pour « New Vision ». Trois appareils ont été annoncés d'entrée de jeu, les NV3, NV10 et NV7 OPS. Tous se signalent par un design inhabituel : les trois boîtiers sont noirs et portent un anneau bleu évoquant le logo de Samsung. Deux d'entre eux, les NV10 et NV7 OPS, se distinguent également par une interface appelée « Smart Touch », conçue pour être plus intuitive et permettre d'accéder aux menus d'un simple mouvement du bout des doigts sur un bouton.
Le FinePix F30 fait partie de ces appareils « entrés dans la légende » avant même leur commercialisation. Pourquoi ce compact, ni spécialement fin ou fashion, a t'il peut-être empêché de dormir des utilisateurs impatients de le tenir entre leurs mains depuis son annonce en février dernier (voir cette brève) ? Et pourquoi est-il ainsi attendu par les utilisateurs avancés, ceux dont l'équipement photo atteint deux, trois fois et plus le prix du F30 ? Parce que tout petit qu'il est, le F30 n'hésite pas à jouer dans la cour des grands en allant jusqu'à faire mieux que certains sur un point qui est normalement la chasse gardée des reflex : la montée en sensibilité jusqu'à des niveaux élevés, sans dégradation de l'image.
Le FinePix F30, ce grand sensible Il arrive qu'un appareil déchaîne les passions dès les premières annonces ou rumeurs mentionnant son existence. Aussi bien des compacts, que des bridges ou des reflex ont empêché de dormir des utilisateurs impatients de les tenir entre leurs mains. Ainsi, le FinePix F30 fait partie de ces appareils « entrés dans la légende » avant même leur commercialisation. Pourquoi ce compact, ni spécialement fin ou fashion, est-il ainsi attendu ? Et seconde question - qui est loin d'être anecdotique -, par qui ?
Ricoh vient d'annoncer un nouveau compact simple et bon marché, le RR660. Cet appareil s'inscrit dans la lignée du RR630 annoncé en février et conçu pour les utilisateurs débutants (voir cette brève). Bien que plus compact que son prédecesseur, il trouve comme lui le moyen d'intégrer un logement pour deux Batteries alcalines de type AA. Beaucoup regarderont cette caractéristique d'un bon œil, en raison de la facilité à s'en procurer. L'écran s'élargit pour s'approcher des standards actuels (2,4 pouces contre 2 pouces pour le RR630). C'est un appareil qui embarque uniquement les modes les plus utiles pour faire face aux conditions de prise de vue courantes : automatique, programme, portrait, paysage, sport et nuit.
Sony vient d'annoncer un nouveau compact, le Cyber-shot DSC-S500. Cet appareil appartient à la catégorie des appareils entrée de gamme, simples et destinés aux débutants. En plus de son mode automatique qui convient à la plupart des prises de vue, il propose quelques modes scène conçus pour des conditions plus spécifiques comme : crépuscule, portrait au crépuscule, paysage, plage, etc.
Le dernier joujou de Casio est un ultra-compact doté d'un mode vidéo DivX. Cette caractéristique du mode vidéo est la principale originalité de cet appareil, l'Exilim EX-S600D reprenant par ailleurs les grandes lignes d'un précédent modèle, l'EX-S600. Les Exilim de la série S sont les plus stylés et compacts des appareils du constructeur. Ainsi, l'EX-S600D ne mesure que 90 x 59 x 16,1 mm pour 115 grammes sans batterie.
Acer n'en est pas à son coup d'essai en matière de compacts dotés d'un capteur de huit millions de pixels. Sa gamme comporte ainsi déjà trois modèles, les CR-8530, CI-8330 et CP-8531. Toutefois, le CP-8660 qu'il vient tout juste d'annoncer parvient à se hisser au-dessus de ses prédecesseurs, en misant sur un zoom 6 x et un écran de 2,8 pouces en lieu et place des classiques zoom 3 x et écran 2,5 pouces.
Casio vient d'annoncer un nouvel appareil photo qui prend place dans sa gamme d'Exilim Z. Cette série regroupe des ultra-compacts stylés (moins toutefois que les ceux de la série S) aux caractéristiques choisies pour répondre aux besoins les plus courants. Comme le EX-Z5 annoncé en mai dernier, ce nouveau modèle peut être qualifié d'appareil « dans la norme », avec son classique 3 x et son non moins classique écran 2,5 pouces (voir cette brève).
Fin février 2006, Panasonic décidait d'abattre son jeu en dévoilant son premier reflex numérique, le Lumix DMC-L1. Malheureusement, cette première présentation laissait un peu le public sur sa faim, avec peu de spécifications dévoilées (voir cette brève). On apprenait principalement que, inspiré du récent E330 d'Olympus, ce reflex disposait comme lui d'un système de visée par l'écran (voir cette brève). Autres caractéristiques empruntées par Panasonic à son associé Olympus, le dispositif anti-poussière qui évite leur déposition et sur le capteur, et le capteur au format 4:3 (contre 3:2 pour les reflex des autres constructeurs).
Ca bouge dans le haut de gamme des appareils photo numérique Kodak ! Après les P850 et P880 sortis en septembre dernier (voir cette brève), le constructeur annonce le P712, un bridge qui vient donc élargir son offre d'appareils avancés (le « P » de P712 signifie « Performance » ). Avant d'aborder les caractéristiques du P712, rappelons que la principale différence entre les deux bridges « cuvée 2005 » tient à la portée du zoom :
Fin avril, Casio créait la surprise en relançant une course aux pixels que l'on croyait épuisée à son propre jeu. En effet, alors que les capteurs les plus ambitieux de ces derniers mois atteignaient au mieux huit millions de pixels - la norme étant de plutôt à six millions de pixels -, l'EX-Z1000 se fait remarquer avec ses dix millions de pixels, un « record » sur un appareil de type compact. Pourquoi avoir relancé la course aux pixels ? Et à quoi bon une telle résolution ? Cet article se propose, en s'intéressant également à l'EX-Z1000 du point de vue de l'ergonomie et des fonctionnalités, de répondre à ces différentes questions.
Introduction Fin avril, Casio créait la surprise, en relançant une course aux pixels que l'on croyait épuisée. En effet, alors que les capteurs les plus ambitieux de ces derniers mois atteignaient au mieux huit millions pixels - la norme étant plutôt de six millions de pixels -, l'EX-Z1000 se fait remarquer avec ses dix millions de pixels, un « record » sur un appareil de type compact.
L'institut GfK confirme la cannibalisation du marché des appareils photo par les photophones et recommande de nouvelles alliances dans cette industrie.Tandis que le magazine Stuff s'interroge ce mois ci sur la montée en puissance des téléphones MP3, c'est un analyste de l'institut d'études de marché GkF qui confirme pour part la cannibalisation du marché des appareils photo par celui des les photophones.
Il y a plusieurs mois, Konica Minolta, inventeur de l'autofocus entre autre, surprenait son monde en annonçant son retrait total du monde de la photographie avec la session de ses brevets et autres technologies au nippon Sony. Plus récemment nous apprenions que Sony devait lancer son premier boîtier réflex dès le mois de juillet de cette année alors que celui-ci sera compatible avec l'ensemble des optiques Minolta (Dynax, Maxxum, Alpha) existantes et sera lancé conjointement avec plus d'une vingtaine de nouvelles optiques différentes (voir Sony annonce plus de 20 objectifs pour ses reflex).
Un appareil que l'on emporte sans crainte à la plage, qui nous accompagne dans l'eau le temps d'une baignade et que l'on n'a pas à craindre de « malmener » un peu, ça pourrait presque sembler un rêve. Alors que le matériel high-tech se fait le plus souvent remarquer par une certaine fragilité, l'Olympus mju 720 SW et le Pentax Optio W10 s'imposent par leur robustesse. Et alors qu'il faut parfois de longues heures de recherches (trop souvent infructueuses) pour mettre la main sur un caisson étanche proposé à un prix prohibitif, tous deux se laissent immerger de 30 mn à 1 heure, et jusqu'à 3 mètres pour le plus endurant.
Deux ultra compacts taillés pour la baignade Un appareil que l'on emporte sans crainte à la plage, qui nous accompagne dans l'eau le temps d'une baignade et que l'on n'a pas à craindre de « malmener » un peu, ça pourrait presque sembler un rêve. Alors que le matériel high-tech se fait le plus souvent remarquer par une certaine fragilité, le mju 720 SW et l'Optio W10 s'imposent quant à eux par leur robustesse. Et alors qu'il faut parfois de longues heures de recherches (trop souvent infructueuses) pour mettre la main sur un caisson étanche proposé à un prix prohibitif, ils se laissent, pour moins de 350 euros, immerger de trente minutes à une heure, jusqu'à 1,5 mètre de profondeur pour l'Optio W10 voire jusqu'à 3 mètres pour le mju 720 SW.
Il y a environ un an et demi, Nikon annonçait le D2X, un reflex professionnel construit autour d'un boitier magnésium, qui se distinguait (et se distingue toujours) par la résolution élevée de son capteur - 12,4 millions de pixels -, la rapidité de son autofocus et sa vélocité (5 images par seconde à pleine résolution, jusqu'à 21 fichiers Jpeg et 15 fichiers Raw). Le D2X a également la particularité de pouvoir transmettre rapidement des images à distance au moyen du transmetteur Wi-Fi 802.11 b/g. C'est un reflex prisé par les photographes du sport, et un concurrent des Canon EOS 1 D.
Le FinePix Z3 est un appareil qui consiste en une légère évolution du Z2 qui l'a précédé. Il s'agit d'un ultra-compact stylé qui reprend les principales caractéristiques du genre : zoom périscopique qui se déploie à l'intérieur pour conserver au boîtier ses dimensions réduites, et grand écran de 2,5 pouces pour la visée. C'est un appareil simple avec lequel on photographie en sélectionnant le mode scène adapté aux conditions de prise de vue : nuit, portrait, paysage...
Même s'il faut attendre encore quelques mois que l'appareil soit sorti des chaines de production, on peut dores et déjà dire que Konica Minolta / Sony n'est plus seul à proposer des reflex stabilisés. Jusqu'à présent, les Dynax de Konica Minolta étaient effectivement les seuls reflex à bénéficier d'un système de stabilisation intégré au boîtier. L'avantage d'un tel système est de stabiliser à moindre coût toutes les optiques montées sur le boîtier, alors que de leur côté les utilisateurs qui s'équipent chez Nikon, Canon, Olympus, etc., doivent se tourner vers des optiques stabilisées... fort onéreuses ! Pentax est donc à son tour parvenu à intégrer la stabilisation aux boîtiers de ses reflex, ce qui n'est toutefois qu'une demie surprise lorsque l'on sait qu'il en a fait autant il y a quelques mois sur ses compacts (voir cette brève).
Quelques mois après avoir annoncé son compact phare, le R3, Ricoh commercialisait un « petit frère » qui reprenait, tout en les tirant lègerement vers le bas, ses principales caractéristiques. Le R30 était la version abordable du R3. Aujourd'hui, Ricoh renouvèle cette opération en annonçant le R40, le petit frère du R4 présenté ici.
