Encore très discrète sur les écrans des petits périphériques mobiles, voilà la technologie Oled (Organic Light Emitting Diode) - réputée pour restituer des couleurs plus denses et plus contrastées, pour être plus durable et pour consommer moins d'énergie que les autres écrans -, qui s'invite sur un cadre photo de marque Kodak.
Les compacts de la série G sont surveillés de près par les photographes avertis qui voient en eux le compagnon idéal lorsqu'il s'agit de photographier léger. Ces compacts se signalent en effet par leurs caractéristiques avancées qui leur confèrent un caractère presque « pro ». Le nouveau G10 bénéficie ainsi des modes manuel et priorité, de l'enregistrement en Raw, d'une qualité de construction certaine, de nombreuses commandes externes et d'un grand confort de prise en main conforté ici par un grip redessiné.
Aucune nouveauté bridge n'avait été annoncée par Canon depuis la sortie du S5 IS, ce qui pouvait laisser penser que le constructeur abandonnait en douceur le secteur pour éviter la trop forte concurrence entre ces appareils et les reflex entrée de gamme. Il n'en est rien finalement comme en témoigne la sortie de non pas un mais deux nouveaux modèles, les PowerShot SX10 IS et SX1 IS.
En janvier dernier, Casio a créé la surprise en lançant l'EX-F1, un bridge étonnant capable d'enregistrer des vidéos Full HD et d'atteindre la cadence de 1 200 images par seconde (voir notre test). A l'heure de la rentrée et à la veille de l'ouverture de la Photokina, le voilà qui annonce son deuxième modèle de bridge « haute vitesse » en la matière de l'Exilim FH-20.
Il n'aura fallu patienter qu'un mois après l'annonce technologique du Micro 4/3 pour voir apparaitre le premier bridge numérique à objectif interchangeable. Dévoilée conjointement par Olympus et Panasonic, partenaires d'assez longue date pour ce qui est de la conception de reflex, cette technologie se concrétise aujourd'hui sous la forme du Lumix DMC-G1.
Après les accessoires et les téléphones mobiles, Sony Ericsson s'attaque aux cadres photo numérique ! En effet la marque a annoncé l'arrivée du IDP-100 un cadre photo numérique qui se veut simple et esthétique. Les images peuvent être lues et transférés via Bluetooth, clé USB, carte M2, carte Micro SD, SD ou MS Duo. Doté d'une diagonale de 7 pouces, il peut être accroché au mur ou poser sur une table pour afficher des clichés en mode portrait ou paysage (4:3 ou 16:9).
Ca y est ! De longs mois après avoir fait son apparition sous la forme d'une maquette en bois dans des vitrines, le nouveau (et premier du genre) reflex numérique plein format de Sony vient enfin de laisser apparaitre son vrai visage. Baptisé Alpha 900, ce reflex embarque donc un capteur des dimensions de la pellicule 24 x 36 mm (qui continue à tenir lieu de référence dans le monde de la photo) et dont la résolution atteint les 24 millions de pixels. Il s'agit donc bien du capteur CMOS dont les spécifications avaient filtré en début d'année (voir cette brève). Et pour ce qui est de la résolution, on note que l'Alpha 900 se rapproche plus du Canon 1Ds Mark III que du D700 de Nikon, autre nouveauté en matière de plein format.
Depuis qu'il a commencé à goûter aux joies du cadre photo numérique en ce début d'année, Kodak ne se lasse pas d'en proposer de nouveaux modèles, les plus récents ayant tous en commun d'intégrer une interface tactile.
Plutôt confidentiels jusqu'il y a peu, les compacts à écran tactile se généralisent en douceur à mesure que l'on avance dans l'année. Dans la lignée des Panasonic FX500, Nikon Coolpix S60, voici donc un nouveau modèle tactile signé Sony : le Cyber-shot DSC-T500. Cette fonction tactile servira à naviguer dans les réglages mais aussi à faire la netteté sur un point précis ou encore à activer la sélection des visages, simplement en pointant un visage du doigt. L'écran se signale ensuite par ses dimensions supérieures à la moyenne et par son format panoramique (16:9).
Déjà en son temps, le D80 disposait d'une fiche technique intéressante pour un appareil de catégorie amateur grâce à ses nombreux emprunts aux modèles de gamme supérieure (viseur large et lumineux, processeur puissant...). Son successeur, enfin annoncé et qui porte sans surprise le nom de D90, aurait pu se contente d'une simple mise à jour des principales caractéristiques. Or il n'en est rien, et contrairement à Canon qui a dévoilé hier un modèle en continuité avec l'existant (voir l'annonce de l'EOS 50D), Nikon a pour sa part aujourd'hui joué la carte de la rupture.
En marge de l'EOS 50D présenté hier, Canon a également lancé dans le cadre de sa collection automne 2008 quatre nouveaux compacts numériques. Les PowerShot A1000 IS, A2000 IS et SX110 IS remplacent respectivement les PowerShot A580, A720 IS et SX100 IS, tandis que le PowerShot E1 inaugure la série E.
S'inscrivant dans une nouvelle stratégie visant à étendre sa gamme, Canon dévoile aujourd'hui l'EOS 50D, un nouveau reflex numérique expert qui vient en complément et non en remplacement de son ainé l'EOS 40D, annoncé il y a tout juste un an. Ce nouveau boîtier n'est pas une révolution et bien qu'il améliore les caractéristiques brutes du 40D avec un capteur CMOS de 15,1 millions de pixels et le nouveau processeur DIGIC 4, il conserve la plupart des caractéristiques de son prédécesseur comme le live view sur un écran de 3 pouces, l'anti poussière, une cadence d'environ 6,5 images par seconde et un système autofocus à 9 collimateurs en croix.
Avec ces multifonctions entrée de gamme, on perd logiquement en fonctionnalités par rapport aux modèles milieu et haut de gamme, ce qui s'explique par la recherche du meilleur rapport qualité / prix. Les PIXMA MP190, MP240 et MP260 impriment ainsi à partir de deux cartouches seulement (dont une trois couleurs) contre cinq à six réservoirs séparés pour les modèles plus haut de gamme. Toutes projettent des gouttelettes de 2 picolitres, moins fines que celles des autres modèles déjà évoquées mais d'un niveau de précision encore très élevé pour des machines de cette catégorie de prix. En descendant en gamme, on note que Canon renonce logiquement au recto verso automatique, à la double alimentation papier ainsi qu'à l'écran couleur.
Les imprimantes et multifonctions sont les périphériques emblématiques de la rentrée des classes, et c'est donc sans surprises que les constructeurs renouvellent largement leurs gammes à cette période de l'année. Canon ne fait pas défaut à ce principe en présentant pas moins de sept nouveaux modèles : trois entrée de gamme, deux milieu de gamme et enfin deux haut de gamme, les PIXMA MP630 et MP980 auxquels nous nous intéressons ici.
Suite des nouveautés de rentrée d'Olympus avec le Mju 1040, un compact pour les baroudeurs doté d'une interface innovante, et le Mju 1040, un ultra-compact stylé et simple d'utilisation.
En cette veille de rentrée, Olympus propose une version légèrement revue de son SP-570 UZ, une version non pas tirée vers le haut mais légèrement « diminuée » au contraire. Le SP-565 UZ reprend ainsi les caractéristiques majeures du SP-570 UZ - notamment le capteur 10 millions de pixels, le zoom optique x 20 qui débute à 26 mm, le stabilisateur mécanique et le mode macro à 1 cm -, tout en se contentant d'un écran de 2,5 pouces contre 2,7 pouces pour son prédécesseur, ce qui suffit à faire de lui un appareil à la fois un peu plus léger et un peu plus compact.
Casio prépare sa rentrée avec trois nouveautés qui viendront renouveler sa gamme de compacts Exilim : les EX-Z300, EX-Z250 et EX-Z85. Si tous trois sont des appareils simples d'utilisation qui font largement appel aux automatismes et aux modes scène, deux d'entre eux se signalent par leurs caractéristiques photo capables de retenir l'attention des utilisateurs avertis.
En même temps que le Mju 1060, Olympus annonce deux nouveaux compacts - les FE-370 et FE-360 -, appartenant à la série FE qui regroupe des modèles accessibles et simples d'utilisation. Témoignent de cette dernière caractéristique leur construction sur le principe « un bouton, une fonction » ainsi que la fonction d'aide dont ils disposent. On retrouve ensuite sur ces deux modèles la possibilité d'enregistrer les images sur carte Micro SD, ce qui confirme qu'Olympus essaie de sortir de la suprématie du tout xD.
En ce début de période de rentrée toujours riche en nouveautés, Olympus nous présente le Mju 1060 qui succède aux Mju 1010 et Mju 1020 annoncés ce début d'année. Ce nouveau modèle se place toujours sur le créneau des compacts simples et stylés comme en témoigne son boîtier métallisé décliné en de nombreux coloris.
C'est selon un rythme bien huilé, de six mois en six mois, que Ricoh donne un successeur à ses compacts numériques. Après le Caplio R7 et le R8, place au... R10 ! Le saut d'une référence n'est ici pas synonyme d'évolution majeure.
« Où cette photo a-t-elle été prise ? ». Cette question que l'on se pose souvent devant une image qui nous plait est longtemps restée lettre morte. La bonne nouvelle, c'est que de plus en plus de dispositifs GPS sont aujourd'hui développés pour permettre de garder en mémoire le lieu du déclenchement. Du côté des appareils photo, ce sont les récepteurs externes, à accrocher à son sac à dos lors des balades, qui se généralisent. Et côté des téléphones portables, de plus en plus nombreux sont aujourd'hui ceux qui intègrent en natif un dispositif GPS.
« Où cette photo a-t-elle été prise? ». Cette question que l'on se pose souvent devant une image qui nous plait est longtemps restée lettre morte. La bonne nouvelle, c'est que de plus en plus de dispositifs GPS sont aujourd'hui développés pour permettre de garder en mémoire le lieu du déclenchement. Du côté des appareils photo, ce sont les récepteurs externes, à accrocher à son sac à dos lors des balades, qui se généralisent. Et côté des téléphones portables, de plus en plus nombreux sont aujourd'hui ceux qui intègrent en natif un dispositif GPS. Aux classiques informations de date, heure et référence de l'appareil enregistrées dans l'image numérique viennent donc progressivement s'ajouter celles de latitude et longitude qui permettent de relier une photo à son lieu de prise de vue. Une fois cette information de lieu connue, il devient possible de localiser l'image sur une carte, en local voire en ligne. Intéressant pour disposer de photos bien ancrées dans leur contexte et faciles à partager !
Les renouvellements de gamme des constructeurs comportent toujours quelques modèles ambitieux (les FujiFilm FinePix S2000HD et F60fd dans le cas qui nous intéresse) et de nombreux autres beaucoup plus communs et avant tout destinés à remplir les segments prix / performances du marché. C'est le cas de cette série J signée FujiFilm et qui comprend quatre nouveaux modèles qui se différencient uniquement par leur plage focale (le zoom débute à 28 mm ou plus banalement à 35 mm) et par les dimensions de leur écran (2,7 ou 3 pouces). Des différences globalement peu significatives qui risquent, à force de segmentation, de compliquer exagérément la tâche des acheteurs potentiels...
Le nouveau F60df est présenté par FujiFilm comme le digne successeur des F40fd et F50fd, autres compacts de la série F qui se sont avant lui illustrés par leurs réglages avancés (présence des modes priorité), mais surtout par leur étonnante qualité d'image aux plus hautes sensibilités. Un petit exploit dont Fuji est devenu familier et qui est rendu possible par les technologies maison que sont le capteur Super CCD HR et le processeur Image réelle.
Alors que FujiFilm sait faire des bridges ambitieux (on pense notamment au récent S100Fs doté d'un capteur Super CCD HR, d'une bague de zoom manuelle et d'un écran orientable, le nouveau modèle annoncé à l'occasion de la rentrée joue pour sa part plutôt dans la catégorie des bridges classiques.
En même temps que le P6000 équipé d'un récepteur GPS et que le S610c pourvu d'un module Wi-Fi, voici Nikon qui lance trois autres compacts numériques, les Coolpix S60, S560 et S710.
Nikon s'est attaché depuis quelques années à agrémenter sa gamme de compacts numériques de quelques modèles Wi-Fi. C'est ainsi sans surprise que l'on découvre un nouveau modèle doté de cette fonctionnalité parmi les nouveautés de la rentrée.
Petit vent de nouveauté dans la gamme de compacts Sony avec les Cyber-shot DSC-T700 et DSC-T77 qui remplacent respectivement les DSC-T70 et T300 de l'an passé (voir cette brève). Pour ces deux nouveaux ultra-compacts stylés, Sony reste fidèle au principe de l'écran tactile qui permet de sélectionner le sujet sur lequel on souhaite faire la mise au point ou encore zoomer en mode lecture.
Depuis quelques temps, Nikon revient sur le segment des compacts avancés. Après les Coolpix P5100 et P50 annoncés il y a un an, le voici qui récidive avec un modèle encore plus intéressant puisqu'aux modes et réglages avancés il ajoute la très précieuse fonction de GPS : le Coolpix P6000.
