Acer lance à son tour une Chromebox, malheureusement quasi identique à celles de ses concurrents. Les consommateurs ont une option supplémentaire... en termes de design.
Après Asus et HP, entre autres, c'est maintenant au tour d'Acer de lancer une Chromebox. Malheureusement le fabricant ne se distingue presque pas de ses concurrents, mais il semblait naturel qu'il propose une alternative fixe aux populaires Chromebooks de sa série C720.
En comparant la face arrière de cette nouvelle Acer Chromebox CXI à celle des modèles d'Asus et de HP, on comprend aussitôt que toutes les marques ont recours au même fournisseur (OEM). On retrouve donc la même carte mère, un processeur Intel Celeron 2957U à deux cœurs à 1,4 GHz, strictement identique au 2955U des concurrents, les mêmes 2 Go de mémoire vive, le même SSD de 16 Go, et la même connectique comprenant quatre ports USB 3.0, une sortie HDMI et une sortie DisplayPort.
À ce niveau le diable se cache dans les détails et il n'y a que le boîtier plus allongé pour distinguer le modèle d'Acer, ce qui rend le lecteur de cartes SD plus accessible, à la rigueur. Le fabricant aurait pourtant pu se démarquer en proposant un Core i3, comme il l'a fait sur un Chromebook, ou même intégrant l'alimentation au boîtier, au lieu d'avoir recours à un encombrant adaptateur secteur.
L'Acer Chromebox CXI sera quoi qu'il en soit mis en vente à la fin du mois aux États-Unis, au prix « unique » de 180 dollars HT. Il sera probablement commercialisé en France, où ses concurrents sont vendus 200 euros TTC. Pour ce prix on dispose pour rappel d'un ordinateur d'appoint reposant sur Chrome OS et permettant d'utiliser des services en ligne.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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