Google+ continue de s'inspirer ouvertement de Facebook. Les dernières annonces relatives aux pages de profil succèdent effectivement à des annonces similaires du rival, ou comblent les rares différences qui subsistaient.
Les utilisateurs du réseau social ne seraient pas étrangers à toutes ces analogies, si l'on en croit Sara McKinley, chef produit de Google+, qui affirme que l'une des deux nouveautés du jour répond à une demande des utilisateurs. Il faut dire que la majorité des utilisateurs utilisent Google+ parallèlement à Facebook, sur lequel ils ont pris des habitudes.
La page du propre profil de l'utilisateur accueille donc la « sharebox », le même formulaire de partage qu'on trouve au-dessus du flux d'activité de la page d'accueil. Il faut dire qu'il parait naturel de pouvoir partager du contenu sur son propre profil de la page qui permet de le consulter. Mais ce formulaire n'est visible que par l'utilisateur sur son propre profil, Google+ ne permet toujours pas de publier du contenu sur le profil d'un autre utilisateur.
Google+ a également revu la gestion de la photo de couverture. L'utilisateur peut enfin transmettre une photo plus large que la couverture, elle sera automatiquement redimensionnée pour s'y adapter et l'utilisateur n'aura plus qu'à la cadrer sur l'axe vertical. En outre, les précédentes photos de couverture seront désormais sauvegardées dans un album « Cover Photos », exactement comme sur Facebook. Google+ inaugure enfin une galerie de photos de couvertures prédéfinies.
Ces nouveautés sont encore en cours de déploiement et tous les utilisateurs n'en bénéficient pas encore à ce stade. Elles montrent une fois encore que Google suit Facebook, en ne le devançant que trop rarement.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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