BeHydro présente son moteur à hydrogène pour le transport maritime

Arnaud Marchal
Spécialiste automobile
19 septembre 2020 à 16h16
11
BeHydro 1MW

Ce nouveau moteur fonctionnera avec 85 % d’hydrogène et 15 % de gazole marin. Il développe une puissance de 1 MW et est l’œuvre de BeHydro, une co-entreprise belge créée il y a deux ans par ABC (Anglo Belgian Corporation) et CMB, un groupe maritime spécialisé dans le transport de conteneurs.

Il est la réponse à la problématique de la pollution engendrée par le transport maritime et apporte une solution viable au Green Deal de l’Union européenne qui incite l’emploi de l’hydrogène vert.

Des moteurs à hydrogène de 1 à 10 MW

Le transport maritime est un secteur qui émet beaucoup de pollution, avec ces milliers de porte-conteneurs qui sillonnent les mers du monde jour et nuit. BeHydro apporte une alternative aux moteurs diesels qui, malgré les évolutions de ces dernières années, restent de gros émetteurs de CO2.

L’accent est mis ici sur l’utilisation d’hydrogène, dont le processus de fabrication n’emploie que des énergies renouvelables. Cette technique permet de produire de l’hydrogène sans générer de nouvelles émissions de CO2.

Ce nouveau type de moteur peut également être utilisé pour alimenter des trains ou encore remplacer des générateurs. L’entreprise annonce qu’un seul moteur de 1 MW peut fournir de l’électricité à 3 000 familles (l’équivalent d’une petite ville) et serait capable de produire autant d’électricité qu’une éolienne de 3 MW ou l’équivalent de 36 000 panneaux solaires.

Avec des déclinaisons plus puissantes allant jusqu’à 10 MW, les bateaux de gros gabarits pourront réduire fortement leurs émissions de CO2 et se mettre en règle rapidement avec les directives européennes.

BeHydro 1MW

Une production possible de 100 moteurs par an

BeHydro a indiqué qu’il était en mesure de produire 100 moteurs de ce type chaque année. La société travaille également sur une autre version qui pourra fonctionner avec 100 % d’hydrogène et qui devrait être disponible dès le milieu de l’année prochaine.

Le P.-D.G. d’ABC, Tim Berckmoes, a déclaré : « BeHydro a déjà reçu sa première commande de deux moteurs bi-carburants de 2 MW qui seront installés à bord de l'HydroTug. Ce navire est le tout premier remorqueur à hydrogène au monde et sera déployé par le port d'Anvers ».

Source : Electreck

Arnaud Marchal

Spécialiste automobile

Spécialiste automobile

Passionné d'automobile depuis toujours et d'informatique depuis l'Amiga 500 jusqu'à nos jours !

Lire d'autres articles

Passionné d'automobile depuis toujours et d'informatique depuis l'Amiga 500 jusqu'à nos jours !

Lire d'autres articles
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ? Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
google-news

A découvrir en vidéo

Rejoignez la communauté Clubic S'inscrire

Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.

S'inscrire

Commentaires (11)

twenty94470
Ça a l’air de prendre la place de 5 panneaux solaires environ, plutôt que de réaliser des fermes de ce dernier autant faire des fermes de ce moteur.
Fredo7
L’hydrogène a besoin d’eau et d’électricité pour être créé, les panneaux solaires sont le meilleur moyen à faible coût pour créer de l’hydrogène et permettre à ce dernier d’être compétitif (en plus d’être plus écolo), voici un très bon podcast sur le sujet: https://open.spotify.com/episode/6bZQXKNMVCsbzFX2VFI9iP?si=ZBNeJmvOSVegO7BvbMuwSw
fioh
Je serai curieux de savoir comment et où est créée l’hydrogène qui n"’emploie que des énergies renouvelables" ? … et à quel prix
bmustang
Bravo pour l’initiative de cette boite belge… on lui souhaite beaucoup de commande pour qu’enfin la navigation devienne propre
Demongornot
Je problème c’est que on ne créer que rarement de l’hydrogène par électrolyse, même si c’est une solution simple et pas cher lors ce qu’on utilise des énergies comme le vent ou le solaire, la grande quantité est réalisé avec des procédé plus énergiquement efficace mais assez pollutant :<br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Production_d’hydrogène#Par_vaporeformage_d’hydrocarbures<br /> Le plus drôle là dedans c’est que on pourrait se servir de l’eau de mer qui est salée pour générer de l’énergie, qui à l’échelle d’un bateau serrait surement suffisant pour le propulser.<br /> C’est une méthode très peux efficace, donc j’imagine que c’est pour ça qu’on ne veux pas l’exploité, car souvent, même si ça ne coûterais quasi rien à exploiter, si ça n’as pas une efficacité maximum, malgré que ça fonctionnerais très bien, ça n’intéresse pas.<br /> ecohabitation.com<br /> Le produit du mois: la batterie à l’eau salée (sodium)<br /> Stocker de l'énergie dans une batterie exempte de métaux lourds, c'est possible! Disponibles sur le marché québécois, les piles au sodium conçues par la compagnie Aquion offrent une solution sûre, propre et écologique. Ce qui représentait autrefois...<br /> Et en utilisant magnésium et graffite, qui ont un potentiel électrique très éloigné comme on le voie ici :<br /> Donc idéaux pour faire cathode et anode, tout deux très abondant et non pollutant (bien que le Magnésium est difficilement recyclable, mais c’est faisable), on pourrait faire des bateaux utilisant la mer comme une solution électrolyte géante, parfait pour générer de l’énergie malgré que ça serrait moins efficace que d’autre méthodes.<br /> Edit, je viens de trouver exactement ce que je décrivais :<br /> MIT News | Massachusetts Institute of Technology<br /> Batteries that “drink” seawater could power long-range underwater vehicles<br /> MIT spinout Open Water Power, founded by alumni Ian McKay and Tom Milnes, has developed an aluminum-based power source that will extend the range of unpiloted underwater vehicles (UUVs) tenfold for military, research, mapping, oil drilling, and other...<br /> Je comprend pas pourquoi c’est pas plus répandu…
Karuk13
et pourquoi ne pas utiliser l’électricité produite la nuit qui ne sert à rien?
Nmut
Un bateau ne peut pas produire son propre hydrogène, les puissances sont largement au delà de ce que pourrait fournir des panneaux (pas beaucoup de surface disponible sur le bateau). Des mats éoliens ne seraient pas assez puissants non plus, et de toute façon pourquoi perdre énormément d’énergie à convertir en hydrogène (rendement ridicule) ce qu’un générateur ferait bien plus efficacement. <br /> Pour tes batteries, regarde le poids, la puissance et le rendement, ce n’est une solution que pour de petits robots sous-marins…
Demongornot
Je ne parle pas d’hydrogène, mais directement d’électricité, je ne vois pas l’intérêt de produire de l’hydrogène si on peux générer de l’électricité en premier lieux, même les bateaux et sous marins nucléaire qui ont de l’énergie à revendre utilisent directement l’électricité, surtout que l’hydrogène c’est uniquement un moyen de stockage car la propulsion restera électrique.<br /> C’est exactement ce que je disais, on se concentre trop sur ce genre de données, mais déjà sans le poids d’installation hydrogène et des batteries qui vont avec, ou que le poids colossal des moteur à combustion maritime et de leur carburant.<br /> Le poids d’un bateau n’est pas aussi critique que le poids d’un véhicule terrestre, voir même c’est une donnée qu’on pourrait presque ignorée, surtout que ce genre de batteries pourrait être intégré à l’armature et à la coque du bateau de façon ingénieuses, par exemple en combinant turbine à eau avec ces batteries pour à la fois propulser et générer, et la puissance et rendement ne sont absolument pas un problème tant que il y a assez d’énergie pour propulser le bateau et générer un petit surplus, surtout que ça serrait peux coûteux à produire et utilisant des matériaux disponible en abondance.<br /> Ça serrait comme si la mer était faite en pétrole, et qu’on pourrait simplement l’utiliser avec des moteur pas efficace (mais largement suffisant) fonctionnant au pétrole brut, mais qu’on disait que il vaux mieux utiliser du charbon car c’est «&nbsp;plus efficace&nbsp;» et qu’on charger du charbon à bord ainsi que toute la centrale à vapeur qui va avec.<br /> @natanoj<br /> J’ai pas crier au scandal, j’expliquer que ce n’est pas avec l’électrolyse qu’on produit l’hydrogène en grande quantité contrairement à ce que la plupart des gens imagine.<br /> Je suis l’un des premier à dire que justement le futur ça ne serra pas l’obsession du «&nbsp;0 émissions&nbsp;» mais plutôt de la capture du CO² et de procédé de séparation Carbone et molécule d’Oxygène pour relâcher l’O² et garder le Carbone.<br /> Carbone qui servira dans un futur ou quasi tout serra à base de carbone, car une fois la production de graphène, nanotube de carbone, fullerène et autre formes potentiellement non découvertes, en sachant que la production industrielle de graphène à débutée cette année.<br /> Et que l’on peux quasiment tout faire avec ces formes de carbones (élément structurel, textile, composants électronique, etc etc), le futur est clairement «&nbsp;on évite de polluer quand c’est pas nécessaire, et le reste on le rattrape pour en extraire notre matière première principale&nbsp;».<br /> De plus la pollution se dilue rapidement dans l’air, viser les villes n’est pas nécessaire sauf si on souhaite avoir une densité plus élevé pour produire plus rapidement, on peux très bien faire ça loins des zones habité pour un rendement tout aussi efficace.
Nmut
Désolé, je n’avais pas compris.<br /> Sinon, pour tes «&nbsp;batteries&nbsp;», attention, ce sont juste de vulgaires piles avec une puissance limitée et à changer régulièrement, pas une source d’énergie puisée de l’océan.<br /> Et encore un mot. Le poids des bateaux est très important, contrairement à ce que tu crois. Chaque kg supplémentaire est 1kg de charge utile en moins. D’ailleurs le fait que les bateaux passent à la propulsion électrique est d’abord pour le gain de poids, et après pour le petit gain en consommation et la manœuvrabilité (économie dans les ports).
Asakha1
«par exemple en combinant turbine à eau avec ces batteries pour à la fois propulser et générer, et la puissance et rendement ne sont absolument pas un problème tant que il y a assez d’énergie pour propulser le bateau et générer un petit surplus,»…<br /> Il y en a un qui ne comprend pas le premier principe de thermodynamique… On ne peut que transformer l’énergie, ni la créé ni la détruire… Si on met des générateurs à eau sur le navire, ils vont créer une résistance supplémentaire que les moteurs devront combattre pour faire avancer le bateau. Et puisqu’un rendement de 100% est impossible, il en résultera toujours une dépense finale plus grande d’énergie que si ces générateurs n’étaient pas présent. À la limite, des panneaux solaires pourraient créer plus d’énergie, mais les rendements actuels les rendraient marginaux.<br /> Un navire Panamax, qu’on pourrait recouvrir en entier, aurait plus de 5000 panneaux, pour une puissance de 1,5MW. Le moteur seul peut consommer plus de 60MW ! Mais bon, économiser 2,5% de carburant, et de pollution, ça serait déjà ça !
Demongornot
C’est qu’un exemple, d’ailleurs j’ai lu que rapidement le lien et je pensais qu’ils utilisé l’eau de mer en tant qu’électrolyte, ce qui en effet aurais permis de faire une batterie utilisant l’effet de l’eau de mer sur les anode et cathode en tant que batterie, et à part changer les tiges elles même, les batteries auraient était très durable, et oui, elles ne générerais pas énormément d’énergie, mais assez.<br /> Le poids sur un navire ca résulte juste en une ligne de flottaison plus haute, le plus gros soucis c’est l’accès au endroit peux profond en principale et la friction supplémentaire à cause du plus grand volume, mais il n’y a pas vraiment de poids limite pratique, après tout les navire sont fait en acier et énormément d’élément à bord ne prennent pas le poids en considération, rien que l’ancre elle même ainsi que sa chaîne en sont un bon exemple.<br /> Et le type de batterie que je décrivais (pas celui que j’ai linker) sont pas si lourd.<br /> Et même rien que là, le genre de batteries dont j’ai accidentellement linker en pensait que c’était ce dont je parler (alors que apparemment l’eau salée n’est pas l’électrolyte principale, enfin c’est pas clair), des batteries avec de l’eau salée sont déjà très efficace :<br /> Notre Terre<br /> Cette batterie à l’eau salée peut alimenter votre maison pendant dix ans -...<br /> Composée d'acide sulfurique et de plomb, les batteries conventionnelles sont extrêmement toxiques et peuvent prendre feu. Tout comme leurs équivalents modernes à base de lithium, qui sont chers et dépendent de ressources minières rares. Mais Aquion,...<br /> Donc avoir ce genre de batteries ou on a juste besoin de remplacer les tiges (qui je le rappel sont faite, dans mon exemple, en matériaux très abondant et non pollutant) et utiliser le remplacement fréquent de l’eau (qui dans la mer, n’est pas un gros soucis) pour renouveler le taux d’ions, surtout si on utilise quelque chose de semblable au générateur électrostatique de Lord Kelvin :<br /> Le dispositif de Kelvin1440×712 226 KB<br /> Histoire d’augmenter la concentration d’Ions négatif et positif proche de leur électrode respective pour donner un petit boost en différence de potentiel électrique, et on se retrouve avec quelque chose de finalement assez peux coûteux à créer et utiliser.<br /> @Asakha1<br /> Voila pourquoi j’écris souvent des commentaires de 3Km de long, à chaque fois que je rentre pas assez dans les détails, il faut forcément quelqu’un pour interpréter de façon totalement différente ce que j’écris.<br /> J’ai jamais dit que ça permettrait de générer une boucle fermée, au contraire je faisait référence au fait d’éviter de mettre plusieurs ouvertures supplémentaire dans la coque du bateau, d’ou l’idée de combiner turbine à eau et l’entrée d’eau pour ces batteries utilisant l’eau salée et ayant des avantages à être constamment renouveler, et de juste mettre assez de ces batteries pour générer un léger surplus d’énergie comparé à la consommation d’énergie (et non que en boucle fermée elles générerais plus d’énergie, vue que la vitesse à laquelle on remplace l’eau salée n’influence pas vraiment les performances tant qu’on le fait assez pour avoir plus de concentration d’ions dans l’électrolyte.<br /> Puis dans la nature, on a déjà fait plusieurs observation prouvant que la première loi de la thermodynamique n’est pas si valable que ça dans toutes les conditions, rien que le refroidissement par Lasers est un concept à entropie inversée où, sans transfert, on réduit la température d’un object en y injectant de l’énergie, l’accélération de l’expansion de l’univers viole encore plus cette première loi, mais c’est pas le sujet.<br /> D’autre alternative que les panneau solaire sont possible, les four solaire ou les navire tracter par cerf volant, et plus important encore le mélange de plusieurs de ces techniques, rien qu’utiliser les vagues et autre déplacement non parallel de l’eau de la même façon que les générateur utilisant les marrées, car utiliser le mouvement d’avancement d’eau bateau créera des pertes, mais utilise roulis, tangage et la variation de hauteur causée par les vagues en revanche ça ne prendrait pas d’énergie sur l’inertie du bateau, si on voulais on pourrait faire un bateau 100% green, après tout les voiliers le bon déjà.
Nmut
Effectivement, c’est long! <br /> Bon je ne connais pas le principe des autres batteries «&nbsp;à eau de mer&nbsp;», je vais regarder.<br /> Pour le «&nbsp;changement de tiges seulement&nbsp;», c’est bien ce que je dis, tu n’as QUE de vulgaires piles à usage unique, en aucun cas du stockage d’énergie, juste de la récupération de l’énergie chimique propre aux matériaux utilisés, pour moi un gâchis énorme de ressources.<br /> Sinon, je persiste à dire que le poids est important sur un bateau, non seulement pour le tirant d’eau (mais c’est un problème mineur, il suffit de jouer sur la longueur/largeur du bateau pour compenser), mais aussi car le cout est directement lié (inversement proportionnel) à la capacité de transport de ton bateau, et en plus la conso sera légèrement plus importante, même si le cout du carburant est faible par rapport à la quantité de marchandises transportées.<br /> Mais il y a un truc qui me fait tiquer dans ton texte en temps que «&nbsp;physicien&nbsp;» (ce n’est pas mon métier directement, mais je manipule toute la journée des données physiques, entre autre de calcul d’énergie), le premier principe de la thermodynamique me semble bien universel, tu as des exemples ou il ne s’appliquerait pas? Je ne suis pas un spécialiste mais il me semble que le refroidissement laser est bien compris, et il n’y a aucun problème de conservation d’énergie…
Demongornot
Entre uniquement changer des tiges de matériaux très abondant dans la nature et qui pour un des deux est recyclable facilement, et avoir le reste de la «&nbsp;pile&nbsp;» sans entretien, ou avoir une battery très peux recyclable, polluante et donc une fois utilisé un certain nombre de fois devoir être totalement jeté et remplacer.<br /> En sachant que l’alternative c’est des moteurs dont les pièce nécessitant de l’entretien régulier doivent aussi au bout d’un moment être changé, mais surtout utilisent des carburant fossile en quantité limité et qui polluent énormément, je trouve que c’est pas si mauvais comme idée.<br /> Pour la thermodynamique, je ne rentrerais pas plus dans les détails en commentaires et je veux pas un débat autour de ça non plus.
Nmut
Juste pour info, la corrosion de ta «&nbsp;tige&nbsp;» fait qu’elle a disparu donc pas de recyclage. Mais effectivement il faudrait voir le bilan. Je doute fortement que le résultat soit en faveur de ta pile, vu que le bilan était déjà en faveur des batteries ni-cd, pourtant extrêmement toxiques et polluantes à produire par rapport aux piles salines ou alcalines… Si tu as des articles plus précis (pas le charabia marketing sans queue ni tête), à ça m’intéresse.
Demongornot
La tige ne disparaît pas, elle est oxydée et mélanger avec d’autre atomes, mais on peux toujours récupérer les restes, d’ailleurs c’est même une nécessité si on veux réutiliser cette batterie en ne changeant que les électrodes.<br /> La raison pour laquelle les batteries nickel et lithium ont étaient préférais est à cause de leur très forte densité, hors je rappel, on parle là d’application où la place prise n’est pas le plus gros des soucis, on peux très bien faire que ces batteries fassent partie intégrante de la coque, permettant à un robot sous-marin autonome de faire le boulot de remplacement des tiges une fois le navire amarré.<br /> Dans un smartphone, un ordinateur portable ou autre on veux une batterie légère et petite, c’est pour ça que les voiture ressentes continuent à utilisé une batterie au plomb qui est largement suffisante alors qu’une batterie au nickel ou au lithium offrirais un gain de place et de poids, mais l’usage ne convient pas, c’est la même chose pour les bateaux.<br /> D’ailleurs c’est pareil pour les trains de livraison de marchandise, leur gros moteur diesel ne sert qu’à générer de l’énergie car le poids du carburant et du moteur rend plus pratique l’utilisation dans ce sens que d’utiliser des batteries, les navires navigant en eau salée eux sont déjà dans la partie la plus importante de la batterie (l’électrolyte) et la mer est remplie d’une énorme variété de charges électrique, c’est donc idéal, comme je l’ai dis plus haut, c’est presque comme si la mer était faite en pétrole, pourquoi ne pas en profiter plutôt que d’emmener notre propre source d’énergie ?
Voir tous les messages sur le forum
Haut de page

Sur le même sujet