Synology a lancé hier le « DiskStation DS211+ », une variante comme son nom l'indique du « DS211 ». Par rapport à son prédécesseur, le nouveau modèle bénéficie comme à l'accoutumée d'une petite amélioration de performance mais aussi et surtout d'une « nouvelle conception matérielle plus silencieuse ».
Pour ce faire, le « DS211+ » abandonne le ventilateur de 70 mm de diamètre de son aîné au profit d'un modèle de 92 mm. Associé à « un système de débit d'air efficace », il promet ainsi une température inférieure, en dépit d'une vitesse de rotation et donc d'un niveau sonore inférieur. La face avant amovible du serveur, donnant accès aux deux baies extractibles à chaud, absorbe quant à elle les vibrations.
On retrouve par ailleurs le même processeur cadencé à 1,6 GHz, mais la quantité de mémoire vive a été portée à 512 Mo, le double du modèle précédent. En terme de connectivité, il offre désormais un lecteur de carte mémoire SD en plus des trois ports USB 2.0, du port eSATA et du port Ethernet Gigabit. Au bout du compte, il offre des taux de transferts de 108 Mo/s en lecture et de 55 Mo/s en écriture.
Il offre enfin le même éventail pléthorique de fonctionnalités que les autres serveurs de stockage en réseau de la famille « DiskStation », au travers du micrologiciel unifié « DiskStation Manager 3.0 ».
Le « Synology DiskStation DS211+ » est commercialisé dès à présent en France. Il y est vendu nu 330 euros, auxquels s'ajoute le coût des disques durs, qui ne seront dans ce cas pas soumis à la taxe pour copie privée.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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