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Une équipe internationale de chercheurs (Chine, Allemagne, USA) a mis au point une méthode pour rendre les piles au zinc rechargeables. Dans leur article publié sur Science, ils disent avoir développé un processus beaucoup plus fonctionnel et réversible que les conceptions actuelles, en utilisant un électrolyte non alcalin.
C’est maintenant 2021, en espérant de tout cœur que cette année soit plus joyeuse et plaisante que la précédente. Le coronavirus ayant évidemment occupé nos esprits et notre attention, bien des sujets brûlants ou importants ont pu passer sous le radar et vous échapper, en particulier dans le domaine du climat ou des innovations écologiques…
Il est difficile de déterminer et de résumer en un chiffre le statut de toutes les formes de vie sur Terre, qui plus est de manière suffisamment « attractive » pour intéresser les médias et alerter sur le déclin de la biodiversité. C'est pourtant ce que le Living Planet Index s’attache à faire, estimant que la population des animaux vertébrés est en déclin à hauteur de 68 % depuis les années 1970.
La mission PACE (Plankton, Aerosol, Cloud, Ocean Ecosystem) a l’objectif d’étudier les couleurs des océans et de l’atmosphère, plus précisément les longueurs d’ondes visibles, pour fournir une multitude de nouvelles données concernant notre planète.
Des chercheurs de l’Université de Stanford ont inventé un dispositif de dessalement, qui pourrait, à terme, rendre la conversion de l'eau de mer en eau douce rentable et bénigne pour l'environnement, grâce à la valorisation de la saumure.
En réalisant une modification génétique, des chercheurs sont parvenus à donner à l’Arabette de Thalius (plante à fleurs d’origine européenne) des qualités similaires à celles des plantes succulentes désertiques : elle est ainsi capable de stocker plus d’eau et donc de survivre à des conditions arides. Les scientifiques espèrent étendre cette innovation aux cultures agricoles.
Sur Terre, en mer, les coraux se développent en symbiose avec les algues qu’ils hébergent, dans des eaux peu profondes illuminées par le soleil. Lors d’épisodes de canicules marines, cette relation animal-végétal est compromise voire détruite, provoquant le « blanchiment » des récifs et le déclin de la biodiversité locale.
CRT Riviera Côte d'Azur - Georges Veran
Pixabay Selon une étude de scientifiques de l'Université de Cardiff et de l'Université d'Exeter, une espèce d'oiseau de rivière (Cinclus Cinclus) engloutit chaque jour des centaines de microparticules de plastique via ses insectes proies. Les parents transmettent ensuite une part de ces microplastiques à leurs poussins, au cours de leur développement.
Une compilation de centaines d'études internationales confirme que la population des insectes terrestres est en déclin, avec une diminution de biomasse de l'ordre de 24 % au cours des trente dernières années. Toutefois, dans le même laps de temps, le nombre d'insectes vivant sous l'eau (au moins en partie) a augmenté de 36 %.