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Ancien artilleur pour le regretté Jeuxvideo.fr resté en embuscade ces cinq dernières années, je reprends du service pour Clubic qui a eu la drôle d'idée de m'accueillir au sein de son équipe. Je pense qu'ils ne réalisent pas encore tout à fait ce qu'ils viennent de faire. Promis, j'essaierai de rester sage.
À une époque où le jeu vidéo tentait laborieusement de faire sa mue vers la 3D, la véritable révolution vint de Nintendo. Avec Super Mario 64, le géant japonais donna une leçon dont on se souvient encore avec émoi. Cette semaine, votre chronique NEO·Classics rembobine jusqu'à ce 23 juin 1996 où le célèbre plombier moustachu fit entrer le jeu vidéo dans une nouvelle ère.
Un titre tout feu tout flamme, techniquement à la pointe pour son époque, mais qui ne rencontra malheureusement pas le succès mérité, c'est le destin maudit d'Axelay. Rendons lui la place qu'il mérite le temps de votre chronique vidéoludique hebdomadaire.
Le genre roi du début des années 90 était incontestablement le jeu de combat et son empereur Street Fighter II. Tout le monde en conviendra. Mais, parce qu'il y a un mais, on a trop tendance à oublier certains autres représentants du genre et les nouvelles idées qu'ils portaient. Parmi eux, Art of Fighting de SNK, un titre qui eut le culot de contester la suprématie du phénomène Street Fighter II et qui, comme nous allons le voir, ne manquait pas de propositions audacieuses pour un titre du genre.
Cette semaine, nous vous proposons de découvrir ou redécouvrir l'un des titres les plus sombres et ensorcelant de la première PlayStation de Sony, l'inoubliable Blood Omen : Legacy of Kain de Silicon Knights et Crystal Dynamics. Un chef d'oeuvre qu'aucune de ses suites n'a jamais égalé. Pas même Soul Reaver !
Comme chaque année à la même époque, la plateforme Steam assassine les prix d'un vaste catalogue de jeux horrifiques pour célébrer Halloween. Et il y a de quoi pousser de grands cris paniqués pour un bon moment !
Cette semaine nous vous proposons de redécouvrir l'une des licences du jeu de frappe en 3D les plus originales et attachantes que Capcom ait jamais pondu : Rival Schools. Malgré seulement deux opus sortis entre 1996 et 2000, celle-ci demeure parmi les plus populaires du catalogue de l'éditeur et l'espoir de la voir reprendre le chemin des classes est toujours vivace chez les aficionados du genre.
Qui aurait pu imaginer qu'un jeu adapté d'une licence de jouets se propulserait parmi les tous meilleurs jeux multijoueurs de l'ère des 16-bits ? Pas grand monde, soyons honnêtes. Et pourtant Micro Machines 2 Turbo Tournament l'a fait et demeure encore aujourd'hui une cartouche culte sur Megadrive.
Au début des années 90, les gamins en bombers et Rebook Pump ou Atemi que nous étions étaient biberonnées à Street Fighter II. Capcom avait inventé un genre et semblait alors inattaquable sur son terrain. Mais dans l'atmosphère bruyante et ténébreuse des salles d'arcade un challenger commençait à sérieusement disputer la suprématie du ténor du genre : SNK.
Cette semaine votre chronique NEO•Classics replonge dans l'atmosphère enfumée des salles d'arcade des années 90, lorsqu'un nouveau phénomène éclipsa les bornes à succès de l'époque. Son nom : Killer Instinct, improbable rejeton né de l'association entre Rare et Nintendo, deux sociétés à l'époque pas franchement connues pour leurs mauvaises manières…
Vous vous souvenez de l'année 1996 ? Moi oui, c'est celle où j'ai enfin pu déballer ma PlayStation à noël et découvrir qu'un jeu vidéo pouvait faire peur, très peur même. C'est l'histoire d'un gars, d'une fille et d'un manoir….