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La vidéo à la demande, ou VOD, finira-t-elle par entrer dans les moeurs ? Elle semble en tout cas faire son chemin dans l'esprit des consommateurs français, et plus particulièrement dans celui des abonnés aux offres ADSL Triple Play, qui réunissent accès à Internet, téléphonie fixe et télévision sur IP. Relayée par l'agence AFP, la dernière publication de « l'Observatoire de la VOD » indique en effet que 35% des internautes français déclarent aujourd'hui connaitre la vidéo à la demande, ne serait-ce que de nom. Parmi les internautes adeptes du triple play, cette proportion monte à 59%. 11% d'entre eux indiquent avoir déjà utilisé un service de VOD.
Elaborée par le CSA et NPA Conseil, cette étude indique par ailleurs que les internautes en tendance à considérer la vidéo à la demande « comme un vidéo club virtuel payant centré sur les films de cinéma plutôt que comme un point de vente de biens culturels dématérialisés », même si certains semblent confondre le concept de VOD et celui de « catch-up TV » qui permet de visionner à la demande un programme de télévision dans les heures ou les jours qui suivent sa diffusion sur les ondes.
Une autre étude, publiée par le cabinet Adams Media Research, prévoit par ailleurs l'explosion de la vidéo à la demande aux Etats-Unis en 2011. Ce marché ayant généré 111 millions de dollars en 2006 pourrait dégager jusqu'à 4 milliards de recettes en 2011, estime Adams Media Research.
Elaborée par le CSA et NPA Conseil, cette étude indique par ailleurs que les internautes en tendance à considérer la vidéo à la demande « comme un vidéo club virtuel payant centré sur les films de cinéma plutôt que comme un point de vente de biens culturels dématérialisés », même si certains semblent confondre le concept de VOD et celui de « catch-up TV » qui permet de visionner à la demande un programme de télévision dans les heures ou les jours qui suivent sa diffusion sur les ondes.
Une autre étude, publiée par le cabinet Adams Media Research, prévoit par ailleurs l'explosion de la vidéo à la demande aux Etats-Unis en 2011. Ce marché ayant généré 111 millions de dollars en 2006 pourrait dégager jusqu'à 4 milliards de recettes en 2011, estime Adams Media Research.
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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