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Dans un entretien publié dans La Libre Belgique, le Président du groupe Belgcam s'est dit "intéressé" par le dossier de l'opérateur français Neuf Cegetel
Après une première vague dans les années 2000, la concentration reprend dans les télécoms européennes. Dans un entretien publié dans le quotidien La Libre Belgique, le Président du groupe Belgacom, Didier Bellens, s'est dit "intéressé" par le dossier de l'opérateur français Neuf Cegetel bien que la priorité de l'opérateur français soit de s'introduire en bourse.
Actionnaire historique, Belgacom détient actuellement 5% de Neuf Cegetel contre 28% pour le groupe de Robert LOUS-DREYFUS et 28% pour Vivendi Universal, également actionnaire de référence de SFR.
Malgré le rachat de Telindus, Belgacom disposerait d'un trésor de guerre de 4 à 5 milliards d'euros et pourrait donc peser sur l'avenir de l'opérateur français. Reste à savoir si Vivendi Universal, qui continue de qualifier Neuf Cegetel d'actif stratégique, renoncera à l'idée de créer un opérateur intégré, présent dans le fixe et le mobile, à l'image du groupe .
Après une première vague dans les années 2000, la concentration reprend dans les télécoms européennes. Dans un entretien publié dans le quotidien La Libre Belgique, le Président du groupe Belgacom, Didier Bellens, s'est dit "intéressé" par le dossier de l'opérateur français Neuf Cegetel bien que la priorité de l'opérateur français soit de s'introduire en bourse.
Actionnaire historique, Belgacom détient actuellement 5% de Neuf Cegetel contre 28% pour le groupe de Robert LOUS-DREYFUS et 28% pour Vivendi Universal, également actionnaire de référence de SFR.
Malgré le rachat de Telindus, Belgacom disposerait d'un trésor de guerre de 4 à 5 milliards d'euros et pourrait donc peser sur l'avenir de l'opérateur français. Reste à savoir si Vivendi Universal, qui continue de qualifier Neuf Cegetel d'actif stratégique, renoncera à l'idée de créer un opérateur intégré, présent dans le fixe et le mobile, à l'image du groupe .
