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Après IPVSET, c'est au tour d'Opalyse de dévoiler son offre d'accès internet par fibre optique, en FTTH pour les particuliers et FTTO pour les entreprises
La concurrence s'organise pour le Pau Broadband County. Après IPVSET, c'est au tour d'Opalyse de dévoiler son offre d'accès internet par fibre optique, en FTTH (Fiber to the Home) pour les particuliers et FTTO (Fiber to the Office) pour les entreprises.
Les offres principales offrent des débits allant jusqu'à 20 Mb/s "IP" mais Opalyse indique être en mesure de proposer des débits allant "jusqu'à 100 Mbits avec régulation de débit crête et jusqu'à 70 Mbits sans régulation de débit crête."
"Peu de gens à ce jour sont conscients du plus de la Fibre face à l'ADSL. Nous sommes persuadés que la FTTO reste la solution ultime à ce jour pour répondre de manière optimale aux besoins en très haut débit des entreprises." explique un représentant de la société
Très en vogue au Japon, la fibre optique semble par contre éprouver quelques difficultés à convaincre les collectivités locales françaises, qui misent sur l'ADSL et demain sur le VDSL ou le WiMax, pour satisfaire les besoins en très haut débit des particuliers et des entreprises.
La concurrence s'organise pour le Pau Broadband County. Après IPVSET, c'est au tour d'Opalyse de dévoiler son offre d'accès internet par fibre optique, en FTTH (Fiber to the Home) pour les particuliers et FTTO (Fiber to the Office) pour les entreprises.
Les offres principales offrent des débits allant jusqu'à 20 Mb/s "IP" mais Opalyse indique être en mesure de proposer des débits allant "jusqu'à 100 Mbits avec régulation de débit crête et jusqu'à 70 Mbits sans régulation de débit crête."
"Peu de gens à ce jour sont conscients du plus de la Fibre face à l'ADSL. Nous sommes persuadés que la FTTO reste la solution ultime à ce jour pour répondre de manière optimale aux besoins en très haut débit des entreprises." explique un représentant de la société
Très en vogue au Japon, la fibre optique semble par contre éprouver quelques difficultés à convaincre les collectivités locales françaises, qui misent sur l'ADSL et demain sur le VDSL ou le WiMax, pour satisfaire les besoins en très haut débit des particuliers et des entreprises.
