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Le secrétaire d'Etat à l'Industrie souhaite que France Télécom accélère le processus de dégroupage et révise ses tarifs ADSL à la baisse.
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie Christian PIERRET a appelé mardi France Télécom à accélérer le dégroupage, alors que les opérateurs privés accusent l'opérateur historique de bloquer le processus.
Dans son discours prononcé à la Semaine des télécoms et des réseaux 2001 à Paris, le secrétaire d'Etat a rappelé que l'ouverture rapide à la concurrence du réseau local de France Télécom est nécessaire.
"Il me semble important que France Télécom voit les avantages du dégroupage d'une part en termes de valorisation de sa ressource et d'autre part en termes de croissance du marché", a-t-il notamment déclaré.
Le secrétaire d'Etat reconnaît le soutien de l'opérateur au développement de l'accès à Internet haut débit en France, mais regrette que "les tarifs actuels" pratiqués par France Télécom, 45,7 euros mensuels pour une ligne ADSL standard, restent "encore trop élevés pour en faire un produit de masse".
Christian PIERRET a rappelé que pour faire baisser ces tarifs "il faut de la concurrence et pour cela, il est nécessaire que le dégroupage soit effectif et opérationnel."
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie a également ajouté "l'ADSL ne sera pas un produit grand public à 300 francs par mois. Il doit s'établir à un niveau de l'ordre de 200 francs (30,4 euros) comme en Allemagne où, après une forte baisse des tarifs, le marché de l'ADSL a littéralement décollé, avec 1 million d'abonnés."
Pour conclure, M.PIERRET a réitéré sa confiance en l'ART (Autorité de régulation des télécommunications) : "Je lui fais confiance pour que les conditions tarifaires et techniques du dégroupage permettent rapidement l'établissement d'une concurrence réelle sur le haut débit."
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie Christian PIERRET a appelé mardi France Télécom à accélérer le dégroupage, alors que les opérateurs privés accusent l'opérateur historique de bloquer le processus.
Dans son discours prononcé à la Semaine des télécoms et des réseaux 2001 à Paris, le secrétaire d'Etat a rappelé que l'ouverture rapide à la concurrence du réseau local de France Télécom est nécessaire.
"Il me semble important que France Télécom voit les avantages du dégroupage d'une part en termes de valorisation de sa ressource et d'autre part en termes de croissance du marché", a-t-il notamment déclaré.
Le secrétaire d'Etat reconnaît le soutien de l'opérateur au développement de l'accès à Internet haut débit en France, mais regrette que "les tarifs actuels" pratiqués par France Télécom, 45,7 euros mensuels pour une ligne ADSL standard, restent "encore trop élevés pour en faire un produit de masse".
Christian PIERRET a rappelé que pour faire baisser ces tarifs "il faut de la concurrence et pour cela, il est nécessaire que le dégroupage soit effectif et opérationnel."
Le secrétaire d'Etat à l'Industrie a également ajouté "l'ADSL ne sera pas un produit grand public à 300 francs par mois. Il doit s'établir à un niveau de l'ordre de 200 francs (30,4 euros) comme en Allemagne où, après une forte baisse des tarifs, le marché de l'ADSL a littéralement décollé, avec 1 million d'abonnés."
Pour conclure, M.PIERRET a réitéré sa confiance en l'ART (Autorité de régulation des télécommunications) : "Je lui fais confiance pour que les conditions tarifaires et techniques du dégroupage permettent rapidement l'établissement d'une concurrence réelle sur le haut débit."
