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Malgré l'abandon de sa formule gratuite d'accès à internet, Oreka affirme avoir conservé plus de 400.000 abonnés soit près de 75% de son parc initial.
Y'aurait-il une vie après le gratuit ? Malgré l'abandon de sa formule gratuite d'accès à internet (téléphone + internet), le FAI Oreka affirme avoir conservé plus de 400.000 abonnés soit près de 75% de son parc initial de 550.000 abonnés.
Ayant initialement basé sa croissance sur des offres limitées de quelques heures totalement gratuites, mais conditionnées à l'affichage d'une bannière publicitaire sur le PC de l'internaute, Oreka avait été douloureusement touché par la chute du marché publicitaire et par le retard sur le dégroupage de la boucle locale, qui ne permettait pas au jeune fournisseur d'accès, de rentabiliser son offre.
Afin de sortir de cette impasse, David BITTON, directeur d'Oreka, avait donc décidé de passer à une formule mixte, d'accès payant mais permettant de gagner des heures gratuites. Bien que moins attrayante, cette offre serait donc acceptée par 75% des 550.000 abonnés du fournisseur d'accès. Oreka compterait ainsi 400.000 abonnés "payants", lui permettant au passage d'améliorer ses infrastructures.
« Afin de garantir une qualité de service sans faille, nous avons largement augmenté la capacité de notre plate-forme d'accès pour que nos abonnés, accèdent à Internet le plus rapidement et le plus facilement possible» explique David Bitton , Président d'Oreka.
Ayant beaucoup misé sur la pédagogie et l'information de ses abonnés lors du passage au payant, Oreka semble donc démontrer qu'il est possible de revenir vers des services payants. Une expérience menée récemment par l'hébergeur Nexen.net ou encore par pour ses enchères.
Y'aurait-il une vie après le gratuit ? Malgré l'abandon de sa formule gratuite d'accès à internet (téléphone + internet), le FAI Oreka affirme avoir conservé plus de 400.000 abonnés soit près de 75% de son parc initial de 550.000 abonnés.
Ayant initialement basé sa croissance sur des offres limitées de quelques heures totalement gratuites, mais conditionnées à l'affichage d'une bannière publicitaire sur le PC de l'internaute, Oreka avait été douloureusement touché par la chute du marché publicitaire et par le retard sur le dégroupage de la boucle locale, qui ne permettait pas au jeune fournisseur d'accès, de rentabiliser son offre.
Afin de sortir de cette impasse, David BITTON, directeur d'Oreka, avait donc décidé de passer à une formule mixte, d'accès payant mais permettant de gagner des heures gratuites. Bien que moins attrayante, cette offre serait donc acceptée par 75% des 550.000 abonnés du fournisseur d'accès. Oreka compterait ainsi 400.000 abonnés "payants", lui permettant au passage d'améliorer ses infrastructures.
« Afin de garantir une qualité de service sans faille, nous avons largement augmenté la capacité de notre plate-forme d'accès pour que nos abonnés, accèdent à Internet le plus rapidement et le plus facilement possible» explique David Bitton , Président d'Oreka.
Ayant beaucoup misé sur la pédagogie et l'information de ses abonnés lors du passage au payant, Oreka semble donc démontrer qu'il est possible de revenir vers des services payants. Une expérience menée récemment par l'hébergeur Nexen.net ou encore par pour ses enchères.
