Netflix lance en Amérique du Nord la vidéo à la demande illimitée pour 8 dollars/mois (sondage)

25 novembre 2010 à 09h30
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Netflix a lancé lundi sa première offre de vidéo à la demande sur abonnement, incarnant désormais son premier prix à 7,99 dollars par mois. Le service de diffusion en continu « Instant Watch » était jusqu'à présent un service complémentaire à la location de DVD par la poste, mais les locations dématérialisées seront pour la première fois majoritaires ce trimestre.

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De la vidéo à la demande illimitée pour 8 dollars/mois

Si Internet n'a pas de frontière, le service de location de film reste en revanche réservé à l'Amérique du Nord (États-Unis et Canada), où la fonction « Instant Watch » est accessible depuis un grand nombre de dispositifs en tous genres : ordinateurs, téléviseurs connectés, consoles de jeu, disques durs multimédias ou encore smartphones.

Netflix « propose une large sélection de séries et de films par Internet », mais tous les titres disponibles en DVD ne sont pas disponibles en streaming. La réciproque n'est pas (encore) vraie. Le tarif des abonnements de location illimitée de DVD augmente pour l'occasion. Ceux permettant de louer un ou deux DVD simultanément augmentent ainsi d'un dollar, à 9,99 et 14,99 dollars par mois, et de jusqu'à 8 dollars pour huit DVD. La location de Blu-ray, toujours proposée pour deux dollars supplémentaires par mois, augmente donc mécaniquement.

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Netflix met donc l'accent sur la dématérialisation comme le veut la tendance. La société indique d'ailleurs qu'elle investit la majorité de son temps et de ses ressources sur la diffusion en continu. Si l'offre, légale, est alléchante pour le consommateur, reste à savoir à quelle hauteur les ayant-droits sont rémunérés...

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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