LG : du vidéoprojecteur 3D passif au picoprojecteur autonome

13 juin 2012 à 10h43
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La division informatique de LG nous a présenté hier les nouveautés du second semestre. En plus de vidéoprojecteurs ultra-portables plutôt orientés bureautique, cette division prépare également des vidéoprojecteurs très haut de gamme réservés aux professionnels ou aux particuliers fortunés.

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LG CF3DA

LG occupe le terrain avec le renouvellement de son vidéoprojecteur 3D haut de gamme, le « CF3D ». La mise à jour anecdotique se résume effectivement au remplacement de ses deux entrées HDMI 1.3 par trois entrées HDMI 1.4a, première révision entièrement compatible avec la 3D.

Ses caractéristiques techniques n'en restent pas moins impressionnantes, deux ans plus tard, puisque c'est l'un des rares vidéoprojecteurs (notamment) destinés au grand public exploitant la 3D passive, qui plus est avec des trames Full HD pour chacun des deux yeux. Il requiert pour ce faire une toile métallisée spécifique, facturée à elle seule un millier d'euros, et abrite six panneaux SXRD, deux par couleur primaire, trois par œil. L'ensemble délivre 2500 lumens, un taux de contraste de 7000:1 et se calibre automatiquement à l'aide d'une caméra.

Le « LG CF3DA » est désormais facturé environ 7000 euros avec ses six paires de lunettes polarisées, contre 10000 pour son prédécesseur.

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LG HA84G

Le « HA84G » est quant à lui un vidéoprojecteur à focale ultra grand angle, pouvant projeter une image de 100 pouces de seulement 55 cm de distance. On sait peu de chose à son sujet, car il n'est pas attendu avant le mois de novembre ou de décembre, mais il offrira lui aussi de la 3D passive à l'aide d'un écran spécifique, et sa source hybride à LED produira 2000 lumens.

On parle d'un tarif compris entre 4000 et 6000 euros pour le vidéoprojecteur, et d'environ 3000 euros pour l'écran spécifique.

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LG PA70G et PB60G

Dans un tout autre registre, celui de la bureautique, LG lance également des vidéoprojecteurs ultra-portables, à mi-chemin entre les picoprojecteurs et les vidéoprojecteurs d'entrée de gamme.

Le « PA70G » délivre 700 lumens dans un boîtier de 230 x 170 x 44 mm pour 1350 g, le « PB60G » 500 lumens dans 158 x 103 x 33 mm pour 450 g. Ils sont en mesure de projeter une image de 40 pouces d'une distance de 1,3 m, même dans une salle éclairée.

Ils reposent tous deux sur un panneau DLP et une source lumineuse à LED, permettant un allumage et une extinction instantanés, délivrant une définition de 1280 x 800 pixels, un taux de contraste dynamique de 15 000:1 et prenant en charge la 3D active avec des lunettes optionnelles.

Munis d'une paire de haut-parleurs de 3 ou 1 W chacun et d'un port USB hôte, ils lisent eux-mêmes toutes sortes de fichiers bureautiques et multimédias, tels que les PDF, les présentations PowerPoint ou les DivX HD. Une batterie leur conférant une autonomie d'1 h 30 à 2 h, et évitant de transporter le transformateur presque aussi gros qu'eux, est proposée en option pour environ 100 euros.

Les « LG PA70G » et « PB60G » seront prochainement commercialisés pour respectivement 600 et 500 euros.

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LG HW300Y

Le « LG HW300Y » est enfin une variante destinée au divertissement des deux vidéoprojecteurs ultra-portables susmentionnés. Il s'en distingue par une luminosité ramenée à 300 lumens, en dépit de son boîtier de 160 x 119 x 54 mm pour 780 g, et par l'absence de compatibilité 3D, mais en contrepartie il prend en charge le DLNA et l'environnement Smart TV au travers d'un adaptateur Wi-Fi optionnel.

Ce modèle sera prochainement commercialisé 500 euros.

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Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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