Vimeo s'ouvre au bitrate adaptatif et par la même occasion au streaming en Ultra HD 4K.
Vimeo a commencé le déploiement d'une modernisation bienvenue de sa plateforme de diffusion. Des années après YouTube, Dailymotion ou Netflix, la plateforme de vidéo à la demande se met finalement à l'adaptive bitrate streaming, la technologie avec laquelle la qualité de l'image et du son s'adapte automatiquement aux capacités de la connexion à internet de l'utilisateur.
Le bitrate adaptatif permet de multiplier les paliers de qualité. Jusqu'à présent, le service n'en proposait que trois : 270p à 450 kb/s, 360p à 800 kb/s ou 720p à 2700 kb/s. Et il fallait activer la haute définition soi-même, à chaque vidéo consultée, en cliquant sur le bouton « HD » du lecteur.
Vimeo en profite surtout pour passer à l'Ultra HD et à la 4K (autrement dit au 2160p), directement, sans même passer dans un premier temps par la case 1080p. Le débit d'encodage, avec lequel la qualité peut varier du tout au tout, n'est malheureusement pas communiqué. YouTube et Netflix diffusent à environ 15 Mb/s, ce qui semble être un minimum au regard des défauts constatés sur leurs flux (macroblocks etc.).
Le service propose bien de l'Ultra HD depuis un an, mais ce n'était jusqu'alors disponible qu'en téléchargement. Avantage : on pouvait (le pourra-t-on encore ?) profiter de l'UHD avec une connexion à moins haut débit, et on disposait d'une plus grande souplesse pour lire le fichier sur un téléviseur UHD. Inconvénient : il fallait patienter et il fallait transférer le fichier sur le support et/ou sur le lecteur approprié.
Quoi qu'il en soit, l'Ultra HD est d'autant plus bienvenue sur Vimeo que la plateforme s'est concentrée sur des productions de qualité. Elle sera progressivement mise à disposition de l'ensemble des internautes tout au long du premier trimestre 2016.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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