Un second logo Ultra HD a fait son apparition cette semaine, deux semaines seulement après la présentation d'un premier. On pourrait craindre une confusion, mais l'explication est simple : faisons le point.
Les deux logos ci-contre sont ceux qui seront désormais apposés sur les téléviseurs et les équipements délivrant de l'ultra haute définition. Pourquoi deux logos ? Ils émanent simplement de deux groupements d'intérêt locaux différents et sont destinés à deux zones géographiques différentes.
Le logo « Ultra HD » tout court officialisé à l'IFA 2014 émane de l'association DigitalEurope et est en vigueur en Europe. Le logo « 4K Ultra HD » dévoilé hier, quant à lui, émane de la Consumer Electronics Association (CEA) et s'adresse au marché nord américain.
Bien qu'on regrette qu'il n'y ait pas eu d'entente internationale, il n'y a pas vraiment d'inquiétude à avoir, les deux logos sont interchangeables dans la quasi-totalité des cas. Contacté par nos soins, un expert chez DigitalEurope indique que « les deux labels ont des exigences similaires en termes d'affichage et de connectivité ». Il assure en outre qu'il n'y a « ni chevauchement ni confusion pour l'utilisateur final ».
Concrètement, un produit présenté dans une région et arborant un logo sera compatible avec un autre produit commercialisé dans l'autre région et arborant l'autre logo. Il faudra seulement se méfier de fabricants qui pourraient apposer leur propre logo 4K, n'offrant aucune garantie, sur toutes leurs références mondiales.
Le détail des exigences des deux labels est disponible aux adresses suivantes :
Une variante pour les téléviseurs connectés, détaillée dans l'article ci-dessus
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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