Après avoir renouvelé en deux temps la totalité de son offre grand public (ici et là), Bouygues Telecom annonce aujourd'hui la refonte totale de la gamme « Neo Pro 24/24 ». La nouvelle gamme compte désormais trois forfaits mettant plus ou moins l'accent sur l'international.
Les trois forfaits continuent pour commencer à partager le même tronc commun en incluant les appels et les SMS illimités vers et depuis la France, ainsi qu'Internet en 3G+, jusqu'à au moins 2 Go, avec voix sur IP autorisée, ou en Wi-Fi, en illimité avec le réseau communautaire maison.
Des prestations vers et depuis l'international peuvent donc s'ajouter en fonction du forfait retenu :
Le forfait « Référence » s'en tient à un « tarif préférentiel » de 0,30 euros HT/min vers et depuis l'international. Il est facturé à partir de 95 euros HT/mois.
Le forfait « Intégral » étend quant à lui l'illimité des appels émis depuis la France à l'international, et inclut en plus 1 heure de communication depuis l'international. Le client bénéficie en outre d'un mobile offert par an, à hauteur de 250 euros. La facture grimpe à 120 euros HT/mois.
La refonte inaugure enfin le forfait « Platinium », qui ajoute les SMS à l'illimité depuis la France vers l'international, inclut 10 petits Mo de connexion depuis l'international, porte le temps de communication depuis l'international à 3 h, et le quota au-delà duquel la connexion est bridée depuis la France à 3 Go, tout en autorisant l'utilisation du mode modem. Ce forfait culmine à 140 euros HT/mois.
Ce que Bouygues Telecom appelle l'international comprend l'Europe, les USA, le Canada et les DOM. Chacun de ces forfaits est décliné en version éco, ne donnant droit à aucun téléphone portable, et le tarif diminue de 20 euros/mois à partir de deux forfaits souscrits par la même personne morale.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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