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Prixtel a présenté la semaine dernière la refonte de son forfait ajustable, sa marque de fabrique. Le nouveau forfait Modulo n'est plus qu'à moitié ajustable, puisqu'il est désormais séparé en deux échelles de paliers distinctes, l'une destinée aux faibles usages, l'autre aux utilisateurs connectés.
Le Modulo Mini démarre à 2 euros/mois pour 2 h d'appels et 100 messages et plafonne à 9 euros/mois pour 5 h, des messages illimités et 250 Mo d'internet. Le Modulo Maxi reprend pour ainsi dire là où le Modulo Mini s'arrête, et atteint 25 euros avec des appels internationaux illimités, des messages illimités et 10 Go d'internet.
Deux tableaux valent mieux qu'un long discours :
Moins d'amplitude mais des paliers intéressants
En somme, alors que les forfaits ajustables dispensaient à la fois les consommateurs de payer du hors forfait et de payer un forfait surdimensionné, cette promesse s'envole. Le forfait Modulo ne convient plus vraiment à des consommateurs aux usages très variables, tels que des expatriés qui ont ponctuellement des pics de consommation et souhaitent seulement conserver leur numéro de téléphone le reste du temps. Tout porte à croire que Prixtel ne veut plus de ces abonnés, qui n'étaient peut-être pas rentables.Comparé au forfait Modulo Mini, le mètre étalon du low cost, le forfait Free à 2 euros, est plus intéressant sur les trois premiers paliers. Il n'y a qu'avec le dernier palier qu'il l'est moins, puisque Free facture les mêmes prestations 21 euros.
À l'inverse, le forfait Modulo Maxi propose des combinaisons intéressantes, plutôt plus généreuses en internet que la concurrence, sur les premiers paliers.
Quoi qu'il en soit ces nouveaux forfaits ajustables Prixtel Modulo sont disponibles dès à présent pour les nouveaux abonnés, ainsi que pour les clients existants qui en font la demande.
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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