C'était hier au tour de Gigaset, l'un des grands absents de ce marché florissant, de lancer un smartphone résidentiel. Il a effectivement annoncé le SL930A, avec le A d'Android.
Grand nom de la téléphonie fixe, Gigaset disposait bien d'un téléphone sans fil à grand écran tactile, le SL910, mais il reposait sur un système d'exploitation propriétaire. Le nouveau SL930A embarque quant à lui Android et donne accès aux applications Google (Gmail, etc.) ainsi qu'au Play Store.
Tout comme les modèles concurrents lancés récemment, le Gigaset SL930A a tout d'un smartphone conventionnel, si ce n'est qu'au lieu de se connecter au réseau mobile via GSM, il se connecte au réseau fixe via DECT, à l'aide d'une base fournie ou même directement au travers de certaines box comme la Freebox Révolution.
Plus approprié qu'un smartphone dans un logement moderne
Peu de caractéristiques techniques sont communiquées, mais la définition modeste de son écran LCD HVGA (480 x 320 pixels) de 3,2 pouces et sa vieillissante version 4.0 d'Android révèlent qu'il équivaut un smartphone d'entrée de gamme.
Pour autant, doté d'une connectivité Wi-Fi, un smartphone résidentiel comme celui-ci a tout son sens chez ceux qui disposent d'équipements télécommandables par smartphone, tel qu'une installation domotique ou un lecteur de musique en réseau. Un téléphone résidentiel partagé par le foyer est dans ce cas plus approprié qu'un ou plusieurs smartphones personnels.
Le Gigaset SL930A et les combinés supplémentaires SL930H sont disponibles dès à présent en France au prix public de 200 euros, c'est donc le plus cher de la catégorie.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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