Si le domaine de la téléphonie mobile évolue à grande vitesse, celui de la téléphonie résidentielle stagne depuis des années, en dépit de la récente démocratisation de l'illimité dans les offres triple play, qui aurait pu révolutionner l'usage du téléphone. Gigaset lance finalement aujourd'hui un produit approprié : le « clip mains-libres DECT Gigaset L410 ».
La téléphonie illimité est propice aux longues conversations et, à domicile plus qu'ailleurs, à l'exécution d'autres tâches en simultanée. Une étude menée par le fabricant montrerait à ce titre que 79 % des sondés font autre chose en téléphonant, dont 27 % consultent leur ordinateur.
Contrairement à une oreillette mains-libres conventionnelle qu'on porte à l'oreille, le « Gigaset L410 » se clippe aux vêtements et repose sur un haut-parleur et un microphone pour permettre de téléphoner les mains libres. Il embarque une batterie lui conférant une autonomie de 5 heures en conversation et 120 heures en veille et n'est muni que d'un gros bouton de prise d'appel et de deux touches de réglage du volume.
Le « Gigaset L410 » peut donc répondre à un appel mais ne peut pas en émettre de manière autonome. Il faut pour ce faire lancer l'appel depuis un autre combiné relié à la même base DECT et le transférer sur celui-ci. Notons qu'il ne requière pas nécessairement une base de marque Gigaset et peut s'appairer avec n'importe quelle base répondant à la norme DECT, telle que celle intégrée à la Freebox et qui sera prochainement mise en service.
Gigaset démontre enfin aujourd'hui qu'on peut encore innover dans le domaine de la téléphonie résidentielle, toutes proportions gardées. Il est commercialisé dès à présent en France au prix public de 50 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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