SFR a annoncé hier qu'il commercialiserait bientôt le « Nexus S ». Le « nouveau téléphone Android de Google » sera effectivement commercialisé à partir du 18 février sur la boutique en ligne de l'opérateur, puis dans les espaces SFR à partir du 1er mars.
Il sera commercialisé à partir de 99 euros, en fait 149 euros moins 50 euros d'offre de remboursement, dans le cadre de la souscription d'un nouveau forfait Illimythics 5+ webphone de 2 heures ou plus, facturé à partir de 49,70 euros/mois.
Avec la déclinaison 1 h du même forfait, il sera alors commercialisé 199,90 euros, donnant droit à l'offre de remboursement de 50 euros. Associé au forfait bloqué MTV spécial Web d'1 h, il passe alors à 299,90 euros, sans remboursement possible.
Le Google Nexus S sera enfin vendu 509,90 euros hors abonnement.
Débloqué d'origine
La fabrication du « Google Nexus S » a cette fois été confiée à Samsung, et non à HTC. Vendu directement sous la marque Google, il incarne donc le smartphone Android 2.3 de référence, et il est d'ailleurs à ce jour le seul smartphone Gingerbread du marché. Il est à ce titre débloqué et livré sans aucune personnalisation opérateur. Annoncé début décembre, il n'était jusqu'à présent disponible qu'aux États-Unis et au Royaume-Uni, ou bien auprès d'importateurs.
Virgin Mobile a aujourd'hui annoncé qu'il commercialiserait à son tour le « Google Nexus S ». Il sera disponible sur le site internet de l'opérateur et dans les Virgin Mégastores à partir de la mi-mars. Il sera alors facturé 149 euros pour la souscription d'un forfait E-Divine 4 h, facturé à partir de 37,90 euros/mois. Un engagement de 24 mois donnera de nouveau droit à une offre de remboursement différé de 50 euros, abaissant donc le prix final à 99 euros.
Article initialement publié le 09/02/2011 14 h 51.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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