Mieux vaut tard que jamais ! Nokia a finalement publié mardi la mise à jour vers « Nokia Belle » pour quelques uns de ses smartphones existants, près de 6 mois après l'avoir annoncé.
Nokia Belle livré d'origine sur le Nokia 700
Six mois plus tard et avec la tournure qu'a pris le marché, la nouveauté la plus marquante de « Nokia Belle » pourrait bien être devenue son nom.
Effectivement, « Symbian Belle » est entre temps devenu « Nokia Belle », et est ainsi le premier d'une longue lignée à ne plus porter le nom « Symbian », tout un symbole ! Il pourrait bien être le dernier, car Nokia a désormais de grandes chances de s'en tenir à Windows Phone pour ses smartphones, et à S40, qui n'a rien de Symbian et n'a jamais porté son nom, pour ses téléphones d'entrée de gamme. Il faut dire que Symbian, bien plus vieux qu'Android ou qu'iOS (et même qu'iPhone iOS), trainait une image un peu vieillie.
Concrètement, « Nokia Belle » s'inspire d'ailleurs de certaines fonctionnalités d'Android, dont pour rappel :
Six écrans d'accueils (contre 3 pour Symbian Anna)
De nouveaux widgets multi-formats qu'on gère par pression prolongée et par glisser-déposer
Une zone de notifications déroulante qu'on affiche d'un glissé du doigt du haut de l'écran vers le bas
Une prise en charge améliorée pour le navigateur Internet mais aussi pour le NFC
Nokia Belle apporte donc une « nouvelle expérience » aux Nokia N8, Nokia X7, Nokia C7, Nokia E7, Nokia E6, Nokia C6-01 et Nokia Oro, tous ceux lancés depuis étant livrés avec la dernière version. La mise à jour est d'ores et déjà disponible via Nokia Suite 3.3 pour les téléphones nus, et le sera « d'ici quelques jours » pour ceux vendus en pack Orange ou Bouygues Telecom. SFR a quant à lui fait le choix de ne pas mettre à jour ceux de ses clients.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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