En plus du Mi Note, son alternative à l'iPhone 6, Xiaomi a présenté la semaine dernière la Mi Box mini. Après Amazon, avec sa gamme Fire TV, c'est effectivement au tour de Xiaomi de proposer une alternative au Chromecast de Google.
La Mi Box mini de Xiaomi présente la particularité de prendre la forme, et la compacité, d'un chargeur USB mural. Mais au lieu de disposer d'un port USB, il offre une sortie HDMI, permettant de le relier à un téléviseur. Et c'est tout !
Contrairement au Chromecast, ce n'est pas qu'un récepteur de contenus issus d'autres terminaux, il dispose d'une interface maison reposant sur Android 4.4, qu'on contrôle au moyen d'une télécommande Bluetooth fournie. Celle-ci est d'ailleurs ouvertement inspirée de celle de l'Amazon Fire TV, le microphone et la reconnaissance vocale en moins.
L'appareil repose sur une modeste puce à quatre cœurs ARM Cortex-A7 cadencés à 1,3 GHz et à quatre plus deux unités ARM Mali-450, associée à 1 Go de mémoire vive et à 4 Go de mémoire interne. Contrairement à la Mi Box, le modèle pleine taille, cette variante mini ne prend pas en charge l'Ultra HD 4K, elle s'en tient à la Full HD 1080p, au mieux en 3D (sortie HDMI 1.4). En termes d'entrées/sorties, on trouve par ailleurs du Bluetooth 4.0 et du Wi-Fi 802.11n double bande, ce qui n'est pas un luxe puisque c'est la seule connectivité réseau (pas de port Ethernet). La plateforme décode enfin le HEVC, le Dolby Digital et le DTS en standard, ce qui est assez rare pour être signalé.
Cette Xiaomi Mi Box mini sera mise en vente en Chine le 20 janvier pour la modique somme de de 200 yuans, l'équivalent de 30 euros. Le produit n'est pour l'heure pas attendu dans le reste du monde.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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