Après Virgin Mobile la semaine dernière, c'est au tour de M6 Mobile de disparaitre. Orange et M6 ont annoncé lundi qu'ils mettaient fin à leur partenariat, initié en 2005, il y a un peu plus de dix ans.
Il ne sera plus possible de souscrire une offre M6 Mobile à partir du 11 juillet. Au-delà, les clients existants continueront à profiter de leur forfait et des « bons plans » régulièrement renouvelés qu'ils incluent. Mais ils seront invités à migrer sur une offre Orange équivalente, au plus tard le 30 juin 2019, date à laquelle le partenariat prendra fin définitivement.
Comme son nom l'indique, M6 Mobile by Orange n'était pas un opérateur virtuel à part entière. C'était ce qu'on appelle une licence de marque. Moyennant finance, le groupe M6 (maison mère de Clubic) prêtait à Orange son image de marque et l'associait à une communication spécifique pour permettre à l'opérateur de séduire d'autres clients.
En proposant des combinaisons inédites à des tarifs compétitifs, et en incluant divers « Avantages M6 Mobile » à ses forfaits - donnant droit à des offres promotionnelles et donnant accès à certains services (tantôt aux réseaux sociaux, tantôt à 6play) sans décompte du forfait internet - l'offre a séduit jusqu'à 3 millions de clients. Elle en totalise encore 2,6 millions aujourd'hui.
On ne sait pas encore si Orange compensera les services inclus en illimité de ceux qui migreront, mais on sait que tous les clients bénéficient dès à présent du « Service 24h garanti », avec lequel Orange promet une solution en moins de 24 heures en cas de panne, de casse ou de vol du mobile.
L'opérateur souhaite se concentrer sur ses deux marques : Orange, avec laquelle il mise sur son service client et sur son vaste réseau de distribution, et Sosh, destinée à une clientèle plus connectée. M6 précise quant à lui se recentrer sur ses activités média.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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