Panasonic a profité du Mobile World Congress pour élargir sa gamme Toughpad... tout en la rapetissant avec des modèles pouvant servir de téléphones tout-terrain.
Descendants de la famille Toughpad, les nouveaux FZ ne sont pas présentés comme des smartphones, car ce sont des terminaux professionnels destinés à des applications métiers. Ils remplissent néanmoins sensiblement les mêmes fonctions, il est donc amusant de les confronter à des téléphones conventionnels.
Car en tant que smartphones, ces Toughpad détiennent des records de résistance : certifiés MIL-STD-810G (norme militaire) et IP68, ils résistent aux impacts, aux chutes de 3 m, sont hermétiques à la poussière et sont submersibles, c'est-à-dire qu'on peut les immerger de manière prolongée à au moins 1 m de profondeur. Il faut dire qu'ils mesurent 31 mm d'épaisseur et pèsent 430 g. Le Quechua Phone est un petit joueur en comparaison.
165 x 87 x 31 mm pour 430 g
Les deux modèles arborent un écran LCD HD (1280 x 720 pixels) de 5 pouces et abritent une puce Qualcomm à quatre cœurs, 2 Go de mémoire vive, 32 Go de mémoire interne extensible par microSD et des capteurs frontaux et dorsaux à 1,3 et 8 millions de pixels. Il disposent d'une connectivité 4G LTE avec prise en charge des appels, du Wi-Fi AC, du Bluetooth 4.0 et d'un GPS/Glonass. Ils embarquent enfin une batterie de 6200 mAh qui leur confère une autonomie généreuse de 14 h en fonctionnement continu, ou de 1000 h en veille.
Le Panasonic Toughpad FZ-X1 repose sur Android 4.2.2 tandis que le FZ-E1 repose sur Windows Embedded 8 Handheld. Le système d'exploitation est leur seul point distinctif. Les deux références seront mise en vente cet été au Japon, pour environ 130 000 yens, soit environ 1000 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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