Test du Nuraphone : vous allez en prendre plein les oreilles !

Marc Mitrani
Expert Smartphone
26 octobre 2019 à 08h01
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Dire que Nuraphone n'est pas un casque audio comme les autres tient de l'euphémisme. Unique en son genre, il a été conçu par Dragan Petrović et Luke Campbell. Les deux amis partagent un amour inconditionnel de la musique et titulaires de diplômes prestigieux (PhD d'ingénierie électrique pour Dragan, PhD en science de l'audition et en chirurgie auditive pour Luke). Pour le concevoir, ils ont eu l'idée géniale d'adapter la restitution audio d'un casque à l'audition de son utilisateur en exploitant l'otoémission acoustique.

L'otoémission, au coeur de Nuraphone

Afin d'être perçus et interprétés par le cerveau humain, les sons doivent être transformés en impulsions électriques. Pour cela, l'oreille met en oeuvre un ensemble de mécanismes très sophistiqués, que nous ne détaillerons pas ici. Après avoir franchi le tympan, l'onde sonore passe par la cochlée, sorte d'amplificateur de signal où se trouvent les cellules ciliées. Celles-ci sont stimulées par l'onde et la transforment en un signal électrique qui sera interprétable par le cerveau.

courant électrique oreille / son
L'oreille humaine transforme les ondes sonores en courants électriques interprétables par le cerveau.

Les cellules ciliées émettent en retour un son très faible, en fait une sorte d'écho 10 000 fois moins puissant que l'onde d'origine. Ce « signal retour » n'est pas exactement une copie miniature de l'original, mais une signature de ce qui a été perçu par l'appareil auditif. Elle est différente pour chaque humain et varie en fonction de son âge, de l'état du système auditif et d'un tas d'autres critères qu'on ne détaillera pas ici. C'est ce phénomène que l'on appelle otoémission.

Si un dispositif envoie dans les oreilles d'un individu un ensemble de fréquences calibrées, puis récupère pour chacune l'écho retourné par les cellules ciliées, il devient possible de dresser un profil très précis de sa perception sonore. C'est par exemple ce que font les médecins ORL désirant mesurer avec précision l'état du système auditif d'un patient. On parle alors d'otoscopie. Même si cette technique est exploitable au niveau médical (où le prix de l'équipement et son encombrement ne sont pas nécessairement des critères primordiaux), il en va tout autrement pour un produit destiné au grand public.

Nuraphone9.jpg

Comment miniaturiser toute l'électronique nécessaire ? Comment capter le retour otoacoustique avec fiabilité sans passer par un équipement coûtant une fortune ? Et surtout, comment rendre son utilisation assez simple pour le commun des mortels ? C'est en se triturant la cervelle pendant de longs mois que Dragan et Luke ont réussi à résoudre ces problèmes. Aidés par un financement participatif qui rencontra un vif succès, ils ont fondé Nura, start-up australienne dont le premier produit est donc le Nuraphone.

Design et ergonomie : presque sans faute

Produit haut de gamme, Nuraphone est constitué de matériaux soigneusement sélectionnés. Il est ainsi fait d'un acier japonais réputé pour sa solidité et sa souplesse et de silicone hypoallergénique. Le casque n'est pas pliant : si vous cherchez un produit compact, passez votre chemin ! Son encombrement n'est toutefois pas rédhibitoire puisqu'il se rapproche de celui d'un casque traditionnel (190 x 170 x 88 mm pour 329 g). Le mécanisme de réglage des oreillettes inspire confiance : souple, mais résistant, il autorise un ajustement précis des coussinets.

Nuraphone_Person1.jpg

Pas la peine de chercher des boutons ou commandes mécaniques sur Nuraphone : il n'y en a pas. Exit aussi l'habituel commutateur de mise sous tension, le casque se réveillant dès qu'il est mis sur les oreilles. Les platines métalliques situées sur chaque écouteur font office de commandes tactiles dont on pourra personnaliser l'usage à l'aide de l'app compagnon (Nous y reviendrons plus loin).


Intra et Circum dans le même casque

Avant de tester Nuraphone, nous connaissions trois types de casques audio : intra-auriculaire (logé à l'entrée du conduit auditif), supra-aural (posé sur les oreilles) ou circum-aural (recouvre complètement les oreilles). S'il est doté de coussinets, un casque peut être de conception fermée (l'air extérieur ne filtre pas du coussinet), ouverte (une grille d'aération sur la face externe du coussinet autorise la libre circulation de l'air) ou semi-ouverte (compromis entre les deux). Nuraphone est à notre connaissance le premier - sinon le seul - casque à être à la fois circum-aural fermé ET intra-auriculaire.

Nuraphone3.jpg

Chaque coussinet recouvre donc l'oreille, mais est doté en son centre d'une excroissance intra-auriculaire. La partie circum-aurale embarque un driver restituant essentiellement les basses tandis que l'excroissance intra-auriculaire comporte un haut-parleur et le fameux micro ultra-sensible servant à détecter le retour sonore des cellules ciliées. D'après Dragan Petrović, cette paire de micros (un par oreillette) est de loin l'élément le plus onéreux de Nuraphone, sa mise au point ayant demandé des trésors d'ingénierie.

Cette conception à double entrée des oreillettes n'a pas que des avantages. En premier lieu, il faudra accepter d'avoir à la fois des embouts en silicone posés à l'entrée du conduit auditif et des coussinets à mémoire de forme recouvrant les pavillons. L'impression est étrange au début, mais nous avons réussi à nous y faire sans trop de mal. Cela n'a pas été le cas de certaines personnes à qui nous avons prêté le casque.

Autre problème, la sensation d'échauffement des oreilles due aux oreillettes. Dans notre cas, nous avons ressenti le besoin de faire une pause d'une petite minute à peu près toutes les heures d'utilisation continue. Là aussi, tout le monde ne s'y fait pas : si vous ne supportez pas un casque circum-aural traditionnel, vous risquez d'être à la peine avec Nuraphone.


Un câble de charge, sinon rien !

La charge de la batterie s'effectue par un câble propriétaire à connecter sur un port USB ou sur le bloc secteur d'un smartphone. Nuraphone indique que l'autonomie atteint une vingtaine d'heures. Dans les faits, nous l'évaluons à 18 heures en écoute Bluetooth. Malgré la fourniture d'un cordon jack audio 3,5 mm (USB-C, Lightning et micro USB optionnels), Nuraphone a été conçu pour fonctionner en Bluetooth. A en croire ses concepteurs, c'est avec la connexion sans fil que l'on obtiendra les meilleurs résultats grâce à la présence d'un DAC maison optimisé... quitte à faire hurler les puristes !


Une app, trois profils, un max de possibilités

Utiliser Nuraphone nécessite impérativement d'installer l'app compagnon sur son smartphone (iOS ou Android). C'est elle qui gérera le casque et qui servira à créer un profil personnalisé. Elle prend en charge jusqu'à trois utilisateurs, chacun devant passer quelques minutes avec le casque sur les oreilles afin de l'adapter à son audition.

L'application, sobrement baptisée Nuraphone, autorise aussi la programmation des deux touches tactiles situées sur les oreillettes. Chacune pourra mémoriser jusqu'à deux commandes (une ou deux pressions), soit au total quatre fonctions. On devra choisir entre la lecture/pause, piste précédente, suivante, augmenter le volume, le baisser, activer/désactiver l'immersion et enfin activer/désactiver le mode social.

Les deux touches tactiles peuvent être entièrement paramétrées.
Les deux touches tactiles peuvent être entièrement paramétrées.

Pourquoi ne pas avoir autorisé la mémorisation de trois actions par touche, comme le font les écouteurs true wireless les plus évolués ? Cela aurait évité d'avoir à effectuer un choix difficile parmi les sept commandes. Espérons qu'une mise à jour logicielle vienne corriger cela.

Les étapes de la création d'un profil sont prises en charge par un assistant bien pensé et parlant français. Il vous invitera en premier lieu à vérifier que les écouteurs sont bien positionnés sur les oreilles. En cas de problème, n'hésitez pas à changer les embouts en silicone selon le diamètre de votre conduit auditif (3 tailles fournies). Cette étape est primordiale afin d'effectuer la mesure précise du retour otoacoustique. Vient ensuite l'évaluation proprement dite, réalisée en deux étapes ne prenant pas plus de 90 secondes. Enfin, les données collectées sont envoyées sur les serveurs de Nura afin de générer le profil d'audition.

Le profil est généré sur les serveurs de Nura
Le profil est généré sur les serveurs de Nura

Pourquoi ne pas le faire en local ? D'après Nura, les smartphones n'ont tout simplement pas la capacité de traiter ces infos afin de générer le profil rapidement. Le processus, plutôt complexe, est traité en quelques secondes sur les serveurs de la start-up avant d'être rapatrié sur le smartphone. Nura a eu l'idée amusante d'associer aux profil un diagramme pour le moins abstrait, mais dont les couleurs et la forme sont générées en fonction des résultats. Le résultat est plutôt joli, mais ne sert à rien, si ce n'est à le partager sur les réseaux sociaux... Précisons au passage que le profil actif est sauvegardé dans le casque, permettant ainsi de le connecter à n'importe quelle source audio. Jusqu'à trois profils peuvent être créés afin de partager le casque avec ses proches.

Préparez-vous à une grosse claque sonore !

Et la qualité audio, dans tout cela ? Afin de démontrer les performances du casque, l'application propose une écoute sans activer le profil, puis en l'activant. Dans le premier cas, le son est plat et assourdi, à la limite de la caricature. Mais en activant la personnalisation... le son prend toute son ampleur. En jouant avec le paramètre d'immersion de l'app, on a l'impression d'être assis au milieu des musiciens.

Pour tout dire, on ne s'attendait pas à prendre une telle claque avant de commencer ce test ! Ce ressenti reste vrai quel que soit le type de musique écouté, même si le rock et le RnB sont parmi les plus spectaculaires. Lors de nos tests, nous avons quasiment eu l'impression d'être assis sur les genoux de Woodkid lorsqu'il interprète The Golden Age ou de sentir le souffle de Mike Jagger dans You Can't Always Get What You Want ! Plus sérieusement, nous n'avons pas constaté de distorsion gênante à haut volume. Si les basses sont présentes, elles ne sont pas écrasantes et laissent les médiums, haut-médiums ainsi que les aigus s'exprimer correctement. Précisons aussi que le codec aptX HD est supporté par le casque.

Lors de nos tests, nous avons parfois noté une infime latence lors de la lecture de vidéos (notamment sur les smartphones Android). Celle-ci ne pose pas de réel problème en utilisation quotidienne, mais pourra agacer les puristes.

Le niveau d'immersion et le mode social sont indispensables.
Le niveau d'immersion et le mode social sont indispensables.


Une bulle de tranquillité

Effet bénéfique de la construction hybride circum-aural/intra-auriculaire, Nuraphone dispose d'une isolation phonique passive satisfaisante. Elle est renforcée par une d'annulation de bruit active dont on peut dire sans exagérer qu'elle enferme l'utilisateur dans une bulle de tranquillité. En environnement bruyant (mesuré entre 60 et 65 dB au niveau des oreilles de l'utilisateur), nous avons par exemple pu écouter une sonate de Mozart au casque à 60 % du volume maxi sans percevoir les bruits ambiants. Pas mal, non ? Un mode « social » autorise une transmission de l'audio externe en superposition de la source musicale. On pourra ainsi percevoir temporairement ce qui se passe autour de soi sans avoir à retirer le casque.


Nuraphone : l'avis de Clubic

À n'en pas douter, Nuraphone ne ressemble à aucun casque auparavant passé sur nos oreilles. En adaptant le son produit aux caractéristiques du système auditif de l'utilisateur, il autorise une restitution d'une excellente qualité. Autre point remarquable, la sensation d'immersion procurée par l'utilisation d'écouteurs hybrides intra-auriculaire + circum-aural. Ajoutez à cela une application compagnon bien pensée, une très bonne autonomie ainsi qu'une construction irréprochable et vous comprendrez notre enthousiasme. À peine entachée par quelques petits détails. Certains trouveront inconfortable la présence d'un intra dans le coussinet ou trouveront que les oreilles chauffent rapidement. On pourra aussi regretter que le casque ne soit pas pliable afin de faciliter son transport.

Vendu 399 €, Nuraphone est un produit cher. Afin de le rendre plus abordable, la start-up a mis en place NuraNow. Ce système de location n'est pour pour l'instant disponible qu'en Australie, aux USA ainsi qu'au Royaume-Uni (10 à 18 AU$ par mois, soit 6 à 11 €). Sans engagement ni frais de résiliation, NuraNow autorise un changement du produit contre un neuf tous les 24 mois. Dommage qu'il ne soit pas disponible en France...

Nuraphone

9

Les plus

  • Son produit
  • Immersion
  • Qualité de fabrication
  • Autonomie

Les moins

  • Touches tactiles sous-exploitées
  • Echauffement des oreilles

Qualité audio10

Annulation de bruit9

Ergonomie8

Construction9


Marc Mitrani

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Journaliste, fondu de photographie, de technologie et de chocolat.

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Commentaires (23)

nicgrover
L’Irlande compte pour l’UK ? Pas pour l’Irlande malheureusement.<br /> Les tarifs sur leur site diffèrent de ceux de l’article. Abonnement 24,99 $ USD par mois soit 22,55 €.
Bwaaazaaah
Il a l’air très intéressant et prometteur ce casque mais ça doit faire bizarre d’avoir des intras dans un casque mais pourquoi pas, le petit détail qui me gêne c’est la possibilité d’avoir 3 profils… alors que pour moi surtout pour les intras ça doit rester personnel question d’hygiène.
Nerva
Tempête dans un verre d’eau. Vous voulez vraiment en prendre plein les oreilles ?<br /> alteraudio.fr<br /> Stax - Alter Audio<br /> Retrouvez ici tous les produits Stax 2014. La société japonaise Stax est connue dans le monde entier pour ses casques audio dotés de transducteurs électrostatiques et ses amplificateurs dédiés.<br />
yalefeu
Ce serait plus interessant que vous nous donniez votre avis sur le Nuraphone que vous avez essayé.
Nerva
Avant de clamer qu’un casque n’est pas comme les autres, il vaudrait mieux essayer un modèle audiophile de référence sur une installation audiophile avec des morceaux de musique non rippés et non compressés. Là on prend une claque…
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> Tout d’abord, merci d’avoir pris le temps de lire mon test <br /> Les prix sur le site sont indiqués en dollars australiens, comme indiqué sur la page d’abonnement.<br /> Capture d’écran 2019-10-27 à 13.52.17.png1192×288 16.2 KB<br />
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> Du calme <br /> Avez-vous pris la peine de lire le test avant de commenter ou vous êtes-vous contenté de lire le chapeau et les inters ?<br /> Quand j’écris que ce casque n’est pas comme les autres, cela veut dire qu’il est basé sur un concept différent de tout ce qui existe actuellement puisqu’il n’existe (à ma connaissance) aucun casque grand public exploitant l’otoemission comme le fait Nuraphone.<br /> Dès lors, je ne comprends pas votre digression sur ce que je “clame”…
Marc.Mitrani
Haaa ok. Il est vrai que nous sommes ici dans la même gamme de prix et le même usage…
nicgrover
Nous n’avons pas du voir le même site<br /> chrome_2019-10-27_17-06-17.png371×688 62.2 KB<br /> Je réside en Irlande (à côté des anglais) et même pas accès au produit que j’aurais bien voulu tester. Avec une surdité à + de 50%…
Marc.Mitrani
Si vous allez plus bas dans la page, vous trouverez la mention stipulant que les prix sont en dollars australiens. Le site est effectivement mal foutu pour cela en entretenant une ambiguïté entre US$ et AU$.<br /> Connaissez-vous les produits de Nuheara et plus précisément le iQbuds Boost ? (https://www.nuheara.com/iqbuds-boost/) ? je ne me suis pas encore penché sur eux, mais il semblerait qu’ils soient assez bien foutus, notamment en cas de surdité partielle.
nicgrover
Marc.Mitrani:<br /> https://www.nuheara.com/iqbuds-boost/<br /> Merci de ces infos et effectivement c’est un peu mal foutu.<br /> Mais surtout un grand merci pour le lien. Je suis appareillé depuis 7 ans maintenant en Phonak et j’appréhende que mes aides ne me lâchent. En tant qu’ancien prof, le Rectorat avait pris en charge les deux appareils soit près de 4 000 € (un prof qui ne comprend plus ce que disent ses élèves, c’est problématique) mais ma retraite actuelle ne me permettra pas de les changer. Aussi, au vu des tarifs du site cela donne à réfléchir et je l’ai mis en favori pour plus tard.
juju251
Nerva:<br /> Avant de clamer qu’un casque n’est pas comme les autres, il vaudrait mieux essayer un modèle audiophile de référence sur une installation audiophile avec des morceaux de musique non rippés et non compressés. Là on prend une claque…<br /> Le prix des casques électrostatiques ( + ampli dédié) fait que ces deux types de produits ne jouent absolument pas dans la même catégorie.<br /> Mais bon, pas grave, on balance des trucs qui n’ont rien à voir juste pour (essayer de) basher …
Nerva
Ah mais justement si, ça a à voir au niveau de la qualité sonore, puisqu’il s’agit de son. Et il n’y a pas de bon son ou de mauvais son dans une gamme de prix, et de bon son ou de mauvais son dans une autre gamme : le son atteint des sommets ou ne les atteint pas, sans qu’on ait à faire des comparatifs tarifaires. Mais il est vrai que je suis las de toutes ces pseudo-révolutions issues d’Internet en matière de technologie, essentiellement son et image, qui ne font fantasmer que ceux qui n’ont jamais connu autre chose…
Marc.Mitrani
Et que savez-vous de la qualité sonore produite par ce casque ? L’avez-vous essayé?<br /> Si c’est le cas, alors merci de développer votre argumentaire.<br /> Mais si vous ne l’avez pas essayé, merci de ne pas juger ce que vous ne connaissez pas
Marc.Mitrani
Bonjour,<br /> Cela fait un peu court pour un comparatif… ou même un test (c’est Noël aussi pour les journalistes du site!)<br /> Personnellement, j’aime bien l’Aeropex d’aftershokz meme s’il reste toujours bien en-dessous de la qualité sonore produite par un casque conventionnel.
Marc.Mitrani
En fait, il vous faudra attendre beaucoup plus longtemps si nous décidons de réaliser un tel comparatif <br /> Dans le meilleur des cas, sa réalisation prend un bon mois. Il faut contacter les services de presse des constructeurs afin de demander le prêt d’un exemplaire de test. Ensuite le recevoir, puis le tester, ce qui prend du temps. Puis il faut écrire les articles, réaliser des photos et faire passer le test par le secrétariat de rédaction (relecture afin de corriger les éventuelles fautes de grammaire/orthographe).<br /> Tout cela prend du temps. Beaucoup de temps. Et quand je dis qu’il faut un mois pour le réaliser, c’est vraiment un minimum!
Marc.Mitrani
Seriez-vous par hasard en train d’essayer de nous expliquer ce que nous devons faire, quand nous devons le faire et comment nous devons le faire?
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