Tout comme d'autres constructeurs, le département recherche et développement de Volvo ne s'en tient pas strictement au secteur de l'automobile et explore d'autres horizons. En collaboration avec deux universités suédoises et une américaine, la marque expérimente ainsi une solution de collecte de poubelles, reposant sur un robot ainsi que sur un drone.
Le projet ROAR, pour traitement autonome des ordures à base de robot, est récemment passé à l'état de prototype. Il vise à démontrer comment plusieurs appareils peuvent travailler en équipe. La solution est ainsi constituée d'un camion à ordures, d'un robot et d'un quadricoptère interconnectés.
Le concept initial se passait de quadricoptère. Le robot comptait ainsi sur une cartographie prédéfinie pour repérer les poubelles, puis sur la panoplie habituelle de capteurs (GPS, Lidar, ultrasons) pour éviter les obstacles. Mais en pratique les poubelles ne sont pas toujours sorties ou pas toujours strictement au même endroit. Les étudiants ont donc ajouté un drone, qui décolle du toit du camion et offre une vue aérienne permettant de cartographier la position effective des poubelles en temps réel.
Développé en seulement quatre mois par des étudiants, le projet ROAR de Volvo n'est qu'une exploration, qui n'a pas vocation à se concrétiser rapidement. Il témoigne néanmoins de cette tendance à l'automatisation, avec laquelle certains métiers seront confiés à des robots.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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