Courrier des lecteurs n°3 : comment prononce-t-on Clubic ?

29 mars 2013 à 11h02
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Voici le troisième volet du courrier des lecteurs de Clubic, après deux précédents volets que vous pourrez retrouver ici et pour vous rafraîchir la mémoire, ou tout simplement les découvrir si ce n'est pas encore le cas. Voici sans plus tarder vos questions... et nos réponses !

Au programme cette fois-ci, des questions centrées autour du fonctionnement du site, de la logithèque mais également de la rédaction. De quoi en apprendre plus sur l'équipe, mais également sur l'actualité de Clubic et son fonctionnement... vous découvrirez également que les suggestions envoyées au courrier des lecteurs peuvent déboucher sur des articles. N'oubliez pas, pour nous écrire, une seule adresse :

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Stéphane, alias GhostleBelge : Depuis des années, j'ai remarqué que lorsque vous présentez de nouveaux produits, des tests, des comparatifs et surtout des nouvelles versions de logiciels payants ou gratuits, systématiquement, lorsque je lis les commentaires des internautes, je trouve ceux qui datent de plusieurs mois voire années et qui ne concernent en rien la version proposée. Ne serait-il pas possible d'y mettre que ceux correspondants à la version proposée ? Car peut parfois induire en erreur et de fausser le jugement de certains lecteurs. N'y-a-t-il pas un travail de filtrage à effectuer et un grand ménage à faire dans les anciens commentaires ?

Ludovic : Stéphane, c'est une question intéressante à laquelle il y a en fait deux réponses. Rappelons tout d'abord que la base compte quelque 65 000 logiciels.

Il s'agit d'une question de « limites ». Il est en effet difficile de décréter pour une base entière de logiciels qu'une version majeure (de 3.0 à 4.0 par exemple) induit un changement lui aussi majeur qui rend donc les anciens commentaires obsolètes. Il y a par exemple une nouvelle version « majeure » de Firefox toutes les 6 semaines. Si le logiciel évolue, la version 19 est-elle à ce point différente que les commentaires déposés pour la version 18 ne sont plus intéressants ? Faut-il alors se baser sur la date des commentaires ? Si on prend le cas contraire : XnView était en 2009 en version 1.95, il est actuellement en version 1.99. Si lui aussi a évolué, il garde en grande partie les mêmes fonctionnalités et les commentaires « anciens » sont toujours d'actualité. En résumé, si nous voulions faire un tri automatique, ce serait valable pour certains logiciels - dans le cas où nous trouverions une limite fondée -, mais aussi au détriment de nombreuses informations apportées par les membres pour d'autres logiciels.

Le deuxième « point de vue » quant à ce sujet tient en quelques mots : nous estimons que la vie du logiciel, de sa première à sa dernière version, reste un élément intéressant pour l'utilisateur de la logithèque. Chaque avis apporte son « plus », laissons le soin à l'utilisateur de consulter ceux qui le concernent ou qui lui semblent cohérents.

Pour finir, vous aurez pu remarquer que nous sélectionnons et n'affichons désormais qu'un seul avis sur la fiche du logiciel et que les autres sont visionnables dans une page dédiée. L'avis sélectionné l'est automatiquement en fonction de sa date de création et de sa complétude. C'est donc l'avis le plus argumenté, le mieux renseigné qui doit remonter qu'il soit positif ou négatif. Pas de grand ménage donc en prévision, mais un filtrage, oui, en quelque sorte.

KooKiz "KooKiz33" 33 : Clubic se prononce t'il « Clubic » ou « Cleubic » ? Et si c'est « Cleubic », comment prononce-t-on « Cluclu » ? « Cleucleu » ? Quelle horreur ! Tant de questions angoissantes !

En effet, l'arrivée de cette question a provoqué des sueurs froides à la rédaction, très sensible et divisée sur le sujet. Voici les avis de ses membres :

Paul-Emile : Pour ma part, je ferais la même réponse qu'aux RP qui me demande d'épeler mon mail : « se prononce comme le mot club, avec ic à la fin ».

Frédéric : Pour une raison tout aussi mystérieuse que l'origine du nom Clubic, ce dernier se prononce « Cleubic ». Désolé, donc, pour le « Cleu-Cleu » !

Olivier : Je ne pense pas qu'il existe une véritable réponse à cette question. Pour ma part et par habitude j'emploie Clubic en le prononçant comme « club ». Mais certains ne connaissant que peu voire pas le site, je m'efforce de faire un effort de prononciation et emploie alors le terme « Clübic » pour qu'on puisse mieux retenir l'adresse. Alors oui, je mélange les deux mais je le vis bien.

Romain : Je le prononce « club » (comme dans club de foot) suivi de « hic ». Par contre je dis Clu-Clu !

Audrey : Pour moi c'est « Clubic », comme dans « Poney Club HIC » ! Mais je ne dis jamais Clu-Clu car je n'aime pas trop les surnoms...

Aurélien : Je dis clü - bic parce que ça fait plus « cubique » (ou Stanley Kubrick) : ça sonne mieux (que le club qui fait boîte de nuit) et comme le mot ne veut de toute façon rien dire... Mais je suis d'accord pour qu'on renomme le site !

Thomas : Je ne vois pas pourquoi on prononcerait « clUb » sachant que le mot « Clubic » n'existe pas ailleurs, et que « Club » sans le « ic » renvoie inévitablement au mot « club », que tout le monde prononce « cleub » ! De toute manière, je prononce « Clubi » sans le c, parce qu'on dit « tron(c) » et pas « tronque ». (Note d'Audrey : nous envisageons l'internement pour Thomas après avoir lu son explication.)

Alex : Epineux problème, que je résous dès que possible en prononçant « Clubic » comme un acronyme américain, ce qui donne un truc comme CiELIOUBIAÏCI. Vachement classe je trouve, un peu Miami sur les bords. Comme c'est quand même un peu long à dire, et qu'il m'arrive de rencontrer des visages ahuris lorsque je le fais, j'en reviens au quotidien à un brave vieux « Club-hic ». Pour le diminutif Clu², je reste sur des « u » et non le « eu » de club, parce que c'est effectivement sacrément moche. Mais en même temps, je l'écris nettement plus que je ne le prononce !

Julien : Clubic, dont l'origine exacte du nom s'est perdue dans les tréfonds de l'histoire du Web, se prononce évidemment « Cleubic ». Il n'y pas débat ! Et du coup on ne prononce pas « Cluclu » en abrégé c'est tout simplement trop cul-cul !

Ludovic : Je comprends ton angoisse ; ce qu'il y a de sûr c'est qu'on ne dit pas « Clubaïke » ni « Cloubique »... perso je dis « Cleubic » et il n'y a pas une personne qui rentre dans nos bureau qui le dise de la même façon. La réponse est donc... en toi !

Guillaume : Clubic je le prononce « Cleubic », par contre Cluclu ou Cleucleu.... même combat : je ne le dis pas !

Stéphane : J'aurais plutôt tendance à prononcer « cleubic » mais en fait, je crois que je dis parfois "u" en pensant à « public » et parfois "eu" en pensant à « club ». Par contre quand il m'arrive de dire « Cluclu », je ne commettrai pas l'affront de prononcer « cleucleu » !

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Baptiste : Dans le dernier courrier des lecteurs, vous évoquiez les applications mobiles iOS et Android uniquement. Qu'en est il d'une application Windows Phone 8 et Windows 8 ? Si le site mobile est bien fait, c'est moins agréable sur tablette, surtout avec des flux RSS incomplets ne permettant pas l'usage confortable d'applications type nextgen reader.

Alex : Web mobile ou applications natives ? la question n'a rien de triviale (Guillaume lui a d'ailleurs consacré plusieurs articles). En interne, on a parfois un peu de mal à la trancher, et comme développer une application a un coût... on tergiverse encore plus ! Plus sérieusement, l'expérience des applications Clubic iOS et Android nous a appris qu'il était vraiment intéressant de faire du natif dès lors qu'on parvenait à introduire, au niveau des interfaces ou des fonctionnalités, des éléments apportant une valeur ajoutée par rapport à du Web mobile standard (mise en cache des contenus, fonction dédiée à telle ou telle plateforme, etc.).

Aujourd'hui, on se rend compte qu'on n'y parvient que partiellement sur les environnements que l'on couvre déjà, alors on hésite un peu à aller en explorer d'autre. Autre point à prendre en compte : pour des raisons d'accessibilité, nous nous devons en tous les cas de maintenir une version Web mobile pour tous ceux qui ne pourraient ou ne voudraient installer une application. Dans ce contexte, ne vaudrait-il mieux pas concentrer tous nos efforts sur cette dernière ? Windows 8 ajoute quant à lui une couche de réflexion supplémentaire puisqu'il est installé sur des terminaux qui permettent d'afficher la version Web standard du site sans restriction.

Tout ce long laïus pour dire que la question suscite son lot de réflexions chez nous en ce moment. Les réponses ne sont donc pas totalement arrêtées, mais la direction vers laquelle on penche serait de remettre à plat les applications existantes pour les rendre plus simples à maintenir et à porter sur d'autres systèmes.

Stéphane : Très prochainement, Live Messenger ne sera plus. Est-ce que Clubic ou Microsoft prévoient une méthode de désinstallation complète et propre (au niveau de la base de registre) ? pour les utilisateurs lambda qui n'ont qu'un minimum de connaissance en informatique ?

Audrey : Cher Stéphane, à défaut de répondre complètement à votre question, sachez que cette dernière a inspiré à Guillaume une FAQ en 10 points concernant la fermeture de Windows Live et la fusion du service avec Skype. A priori nous ne proposerons pas de méthode visant à supprimer Live Messenger de la base de registre.

Jeanne : Je suis actuellement à l'université, en communication, et j'envisage de m'orienter vers le journaliste. Mais je ne sais pas vraiment quelle branche choisir. Comme vous êtes nombreux chez Clubic, j'aimerais avoir vos témoignages concernant la formation que les journalistes ont suivi : avez-vous tous fait une école de journaliste , ou non ? Estimez-vous que l'école est la seule voie pour faire ce métier ?

Une question intéressante s'il en est, car les journalistes de la rédaction ont tous des parcours très différents : visiblement, tous les chemins mènent à Clubic !

Romain : J'ai suivi une formation de photographe dans une école assez portée sur le reportage. Adolescent, j'ai aussi passé une bonne part de mon temps libre à écrire bénévolement pour des sites Internet comme CS Fusion ou eSports France.
Mais je crois que le plus important pour un site spécialisé comme Clubic, c'est avant tout d'être passionné et pointu sur les sujets sur lesquels on écrit, tant à titre perso qu'à titre pro.

Alex : Je crois qu'on peut se targuer chez Clubic d'afficher une belle variété pour ce qui est des profils et n'en déplaise à nos détracteurs, il me semble que c'est une vraie force. Mon parcours se résume de la sorte : prépa scientifique, maîtrises lettres modernes et sciences du langage, master Web éditorial, presse généraliste, presse spécialisée, Clubic !

S'il est difficile de percer dans la noble presse d'information générale sans sortir de l'une des fameuses « treize écoles reconnues par la profession », la presse spécialisée se montre fort heureusement plus flexible : la personne qui prouve qu'elle sait écrire et raisonner, qu'elle connait son domaine et surtout qu'elle lui voue une vraie passion, a dans l'absolu toujours une chance de percer. Dans la pratique, des études un tant soit peu tournées vers l'éditorial, l'information et la communication sont un plus indéniable.

Frédéric : Pour ma part, je n'ai pas fait d'école de journalisme, mais une formation tout à fait autre, puisque j'ai une master 2 de Physique des Atomes et des particules. J'ai acquis la plupart de mes compétences pour Clubic sur le tas. En conclure que l'école n'est pas la seule voie pour accéder à ce métier est toutefois trop rapide. Tout dépend de l'entreprise, de son contexte, de son avenir... Et du support, évidemment. Le Web me semble une meilleure opportunité pour ce genre de trajectoire. Mais si la plupart des journalistes de Clubic n'ont pas fait d'études... de journalisme, je ne suis pas sûr que nous soyons un exemple représentatif. Pour info, une récente étude montre en effet que plus de 30% des 377 journalistes interrogés ont fait des études d' Information-Communication , et presque 20% sont passés par un cursus de Sciences Politiques. Ça fait près de 50% des journalistes. La proportion est bien différente à la rédaction...

Paul-Emile : Pour ma part, pas de formation de journalisme. Dans les domaines spécialisés (high tech, automobile, maison, etc.), on croise fréquemment des confrères qui n'ont pas eu de formation initiale de journaliste. Dans ce cas, si les bases rédactionnelles sont au rendez-vous, la passion et l'expérience constitueront des atouts de choix.

Olivier : Il n'y a pas de « voie royale » pour exercer cette profession. Ici, à la rédaction, comme dans de nombreuses autres d'ailleurs, les profils et les parcours sont différents. Certains n'ont pas fait d'école, d'autres si. Pour ma part, j'ai étudié le Droit et les Sciences politiques, domaine a priori loin du High-Tech, avant de rejoindre une école de journalisme.

Mon seul conseil est de te faire la main dès à présent sur le support de ton souhait, sur les sujets qui te passionnent. Tu sauras ainsi écrire régulièrement (quotidiennement) et cela te servira d'expérience par la suite. Sache que c'est ce dernier élément qui te différenciera peut-être des autres, à diplôme ou formation équivalente.

Je pourrais écrire pendant des heures sur le sujet mais certaines formations sont surreprésentées dans le milieu, un profil « atypique » aura donc, à mon sens, plus de chances d'être retenu.

Audrey : J'ai toujours voulu écrire, mais je ne savais pas trop comment, où et dans quel domaine : j'ai donc suivi une licence de Culture et Communication à Nancy II, plutôt généraliste, avant de m'orienter sur un master de théories du cinéma - toujours à Nancy, à l'IECA - l'une de mes grandes passions. J'ai passé mes années de fac à rédiger des piges pour des magazines et à écrire des scénarios de court-métrages d'horreur... on entend souvent que le réseau est important dans le milieu, et il faut avouer que c'est en effet bien utile pour avancer. Cependant, je suis arrivée chez Clubic en passant par la traditionnelle case CV+entretien d'embauche. Mon conseil : commencer à étoffer son expérience le plus tôt possible, même bénévolement, car c'est en forgeant qu'on devient forgeron !

Thomas : J'ai fait une école de journalisme, celle de Bordeaux (Ijba). Mais le taux d'admission est bas (4%), et c'est le cas pour les douze autres écoles reconnues. Pour me préparer à y entrer, j'ai suivi le cursus Connaissance des métiers de l'informations à la fac de lettres de Nancy, qui place beaucoup d'étudiants en écoles. Mais attention, après le diplôme, pas facile de trouver un job (vraiment). Mon seul conseil : être très motivé.

Julien : Je suis venu au journalisme non par formation mais par passion et j'ose tout de même le croire avec une certaine aisance rédactionnelle et une grande curiosité. J'ai le souvenir, lointain, d'études portant sur l'informatique et la gestion avec au milieu de sombres histoires de comptabilité et de comptes de résultat. Et c'est bien la passion pour les logiciels qui m'a poussée à écrire avant que la passion du hardware ne me dévore et me fasse finalement entrer chez Clubic. Donc non l'école n'est clairement pas la seule voie pour faire ce métier. Néanmoins, ce qui a été possible pour quelques passionnés à l'époque de la naissance du Web ne l'est peut-être plus aujourd'hui et la poursuite d'études de journalisme est à mon sens largement conseillée.

Ludovic : Si je suis administrateur systèmes (et sécurité des réseaux) de formation, mes longues années de geekitude et chacune de mes missions professionnelles m'ont portées à connaitre et à utiliser un nombre croissant de logiciels. Au bout de 3-4 ans, n'en pouvant plus d'être « informaticien », j'ai toqué à la porte de Clubic et il s'est trouvé que les cordes de mon arc concordaient avec les flèches à décocher par ici! Conclusion... un parcours atypique et une belle dose de hasard (mais pas seulement) !

Guillaume : Je n'ai pas fais d'étude de journalisme. J'ai une formation littéraire et une licence d'anglais. J'ai travaillé en freelance en tant que pigiste pour divers magazines web et papier spécialisés dans les nouvelles technologies avant d'intégrer Clubic.

Stéphane : J'ai fait un bac L, puis après un détour par un DEUG d'anglais, je me suis réorienté vers un IUP Metiers de l'Information et de la Communication, avec spécialisation communication multimédia en maîtrise. Je ne me destinais pas particulièrement au journalisme, même si ça faisait partie de la formation, mais j'ai toujours eu une envie d'écrire, notamment sur l'informatique quand je dévorais les magazines de l'époque, et j'ai saisi l'occasion quand elle s'est présentée !

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Régis : Une question simple pour le prochain courrier des lecteurs : où est passé le Debug ? Ça donne l'impression que comme pour 56K le programme a disparu des pages sans que les
lecteur le sache. J'espère que cette fois nous aurons une réponse !


Alex : Voilà une question qui fait plaisir : il se trouve qu'on aime bien le Debug au sein de la rédaction (tout comme on se régalait à faire 56K d'ailleurs), puisque c'est le seul format qu'on a trouvé qui nous permettait de tous intervenir (ou presque) sur un même sujet. Maintenant, le rythme qu'on s'était fixé (un numéro par semaine) s'est assez vite révélé contraignant à deux niveaux : le premier, c'est celui de la disponibilité des gens qui nous aident sur la vidéo (Clément, David et Julien principalement). Le second, c'est celui des sujets : on s'est en effet rendu compte qu'on faisait certaines semaines des Debugs qui ne nous passionnaient pas franchement, parce qu'aucune actualité à la fois polémique et susceptible d'impliquer une bonne partie de la rédaction ne se présentait.

On a donc décidé de se réserver la possibilité de tourner un Debug évènementiel (un peu comme celui qui avait accompagné l'arrivée de Windows 8) lorsqu'un sujet nous interpelle assez. Le temps dégagé nous permet de tester d'autres choses, comme le débat plateau « à chaud » fait au lendemain de l'annonce du Galaxy S4, ainsi que d'autres formats qui devraient voir le jour prochainement ! J'espère en tout cas, et je pense ne pas être le seul au sein de la rédac', qu'on se mobilisera bientôt pour un nouveau Debug.


Ainsi s'achève ce troisième numéro du Courrier des lecteurs, nous attendons vos questions à l'adresse
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pour la prochaine édition !

Audrey Oeillet

Journaliste mais geekette avant tout, je m'intéresse aussi bien à la dernière tablette innovante qu'aux réseaux sociaux, aux offres mobiles, aux périphériques gamers ou encore aux livres électroniques...

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Journaliste mais geekette avant tout, je m'intéresse aussi bien à la dernière tablette innovante qu'aux réseaux sociaux, aux offres mobiles, aux périphériques gamers ou encore aux livres électroniques, sans oublier les gadgets et autres actualités insolites liées à l'univers du hi-tech. Et comme il n'y a pas que les z'Internets dans la vie, j'aime aussi les jeux vidéo, les comics, la littérature SF, les séries télé et les chats. Et les poneys, évidemment.

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