Bang & Olufsen complète aujourd'hui sa luxueuse gamme d'équipement Hi-Fi d'un récepteur audio sans fil relativement économique, le « Playmaker », avec lequel il concurrence frontalement Sonos.
Commercialisé au prix public de 380 euros, le « Playmaker » est l'un des équipements Hi-Fi les plus abordables du fabricant danois. Il offre une alternative économique au seul lecteur multimédia du fabricant existant jusqu'à présent, facturé près de 3000 euros, et est même moins onéreux que certains accessoires comme la télécommande tactile facturée près de 450 euros.
Il reste cher pour le commun des mortels mais il l'est à peine plus que le modèle comparable de Sonos, le Connect, tout en étant plus interopérable et quasiment sans équivalent sur le marché.
AirPlay et DLNA : interopérabilité totale
Le « Playmaker » est effectivement l'un des rares récepteurs audio prenant en charge à la fois la technologie AirPlay d'Apple et la technologie DLNA, ce standard trop rarement exploité pour la musique mais pris en charge par d'innombrables appareils.
Équipé d'une connectivité Wi-Fi N et Ethernet, il peut donc recevoir de la musique depuis un iPhone, iPad ou iPod Touch, depuis un ordinateur exécutant iTunes, mais aussi et surtout depuis n'importe quel serveur ou source DLNA, tel qu'un NAS ou un smartphone/une tablette Android. Il décode le MP3, le WMA, l'AAC et le FLAC.
Compatible multimarques ?
Comme souvent chez Bang & Olufsen, le secret entoure ses caractéristiques techniques mais, s'il se destine à être connecté aux couteuses enceintes amplifiées du fabricant, il dispose de deux sorties pour haut-parleurs au format RJ45 que les plus téméraires pourront sans doute transformer en sorties ligne standards. Une entrée ligne permet également de le connecter à n'importe quelle source.
Le « Bang & Olufsen Playmaker » sera commercialisé en France à partir de la mi-juillet, au prix public conseille de 380 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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