Creative a profité hier du lancement de ses tablettes pour annoncer un nouveau baladeur connecté. Le fabricant asiatique cuisine à son tour Android à toutes les sauces, succédant ainsi à Archos. Le « Zen Touch 2 » est effectivement une déclinaison de poche des tablettes, dont il hérite de l'essentiel de la fiche technique, et de la plateforme Android 2.1 offrant un accès à l'environnement Google et à l'Android Market.
120 x 60 x 13 mm pour 122 g
Le baladeur connecté s'articule autour d'un écran HVGA (320 x 480 pixels) d'une diagonale de 8,1 cm (3,2 pouces) exploitant le procédé tactile résistif. Les premiers retours font d'ailleurs part d'un fonctionnement erratique.
Un faux air de smartphone
Il emprunte la connectivité et le panel de capteurs au domaine de la téléphonie plutôt qu'à celui du baladeur courant. À l'exception du GSM et de la 3G, on retrouve donc du Wi-Fi N, du Bluetooth 2.1, un haut parleur et un accéléromètre. Une variante « améliorée » du baladeur embarque même un GPS, un compas électronique et un récepteur FM.
Sur le plan multimédia, dont c'est la spécialité, le « Zen Touch » de seconde génération embarque un capteur capable de photographier à 2 millions de pixels, mais pas de filmer, tout du moins pas en haute définition. Une sortie vidéo analogique composite permet de le connecter à un téléviseur. On retrouve enfin certaines spécificités maison telle que l'intégration du codec apt-X améliorant la liaison stéréo Bluetooth avec un dispositif compatible.
Le « Creative Zen Touch 2 » sera prochainement commercialisé en France. Le modèle standard se décline en capacité de 8 et 16 Go pour respectivement 190 et 210 euros. Le modèle muni d'un GPS, bien qu'il ne prenne tout son sens qu'avec une cartographie embarquée, n'est proposé qu'en capacité de 8 Go pour 200 euros. Un emplacement microSD permet fort heureusement d'étendre cette capacité.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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