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Après le SNE, la Société des gens de lettres s'associe à la procédure lancée par La Martinière contre Google pour atteinte au droit de propriété intellectuelle.
Dans un communiqué transmis à l'AFP, la Société des gens de lettres (SGDL) a indiqué s'associer à la procédure engagée par La Martinière contre Google 'Livres'.
La SGDL, association dédiée à la promotion du patrimoine littéraire et à la défense des intérêts des auteurs de l'écrit, n'est pas la seule à avoir fait ce choix, le Syndicat national de l'édition (SNE) s'est également rallié à cette action intitiée par le groupe La Martinière.
En juin 2006, au nom de trois de ses filiales, Seuil en France, Delachaux & Niestle en Suisse et Harry N. Abrams aux Etats-Unis, le groupe français d'édition a déposé plainte devant le TGI de Paris contre Google Inc. et sa filiale française pour "atteinte au droit de propriété intellectuelle".
La Martinière, propriétaire d'une quinzaine de maisons d'édition, affirme qu'une centaine de ses livres ont été numérisés "sans autorisation" par le spécialiste américain des technologies de recherche sur Internet.
Même son de cloche du côté de la Société des gens de lettres : "Si la SGDL affirme son attachement aux nouveaux modes de diffusion des oeuvres, elle entend toutefois qu'il ne soit pas porté atteinte aux principes intangibles du droit d'auteur", a-t-elle indiqué à l'AFP.
Google numérise les ouvrages de prestigieuses bibliothèques à travers le monde. Une fois numérisés, ces ouvrages sont mis, en fonction du copyright, partiellement ou totalement à disposition des utilisateurs de Google 'recherche de livres' (Book Search). Seul un refus argumenté d'un éditeur peut freiner le processus.
Hervé de la Martinière, fondateur du groupe du même nom, a indiqué cet été qu'il n'est pas question de rejeter en bloc la numérisation, mais de refuser "le fait accompli". L'action du groupe d'édition contre Google est la première de cette ampleur en France. Aux Etats-Unis et en Allemagne des procédures similaires sont en cours.
Dans un communiqué transmis à l'AFP, la Société des gens de lettres (SGDL) a indiqué s'associer à la procédure engagée par La Martinière contre Google 'Livres'.
La SGDL, association dédiée à la promotion du patrimoine littéraire et à la défense des intérêts des auteurs de l'écrit, n'est pas la seule à avoir fait ce choix, le Syndicat national de l'édition (SNE) s'est également rallié à cette action intitiée par le groupe La Martinière.
En juin 2006, au nom de trois de ses filiales, Seuil en France, Delachaux & Niestle en Suisse et Harry N. Abrams aux Etats-Unis, le groupe français d'édition a déposé plainte devant le TGI de Paris contre Google Inc. et sa filiale française pour "atteinte au droit de propriété intellectuelle".
La Martinière, propriétaire d'une quinzaine de maisons d'édition, affirme qu'une centaine de ses livres ont été numérisés "sans autorisation" par le spécialiste américain des technologies de recherche sur Internet.
Même son de cloche du côté de la Société des gens de lettres : "Si la SGDL affirme son attachement aux nouveaux modes de diffusion des oeuvres, elle entend toutefois qu'il ne soit pas porté atteinte aux principes intangibles du droit d'auteur", a-t-elle indiqué à l'AFP.
Google numérise les ouvrages de prestigieuses bibliothèques à travers le monde. Une fois numérisés, ces ouvrages sont mis, en fonction du copyright, partiellement ou totalement à disposition des utilisateurs de Google 'recherche de livres' (Book Search). Seul un refus argumenté d'un éditeur peut freiner le processus.
Hervé de la Martinière, fondateur du groupe du même nom, a indiqué cet été qu'il n'est pas question de rejeter en bloc la numérisation, mais de refuser "le fait accompli". L'action du groupe d'édition contre Google est la première de cette ampleur en France. Aux Etats-Unis et en Allemagne des procédures similaires sont en cours.