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Face à la montée en puissance des opérateurs "intégrés", une rumeur évoque l'intérêt de Deutsch Telekom pour Bouygues Telecom. Le groupe français dément.
Le paysage français des télécoms est en pleine transformation. Après une année de consolidation dans la téléphonie fixe qui aura vu le rachat de Tiscali par Alice, la fusion ou encore la disparition de la marque "Wanadoo" au profit de la marque unique Orange, l'heure des grandes manœuvres est peut-être revenue dans la téléphonie cellulaire.
Longtemps limité au téléphone mobile, SFR est devenu ces derniers mois le premier actionnaire du groupe Neuf Cegetel et a également fait part de son intention de racheter les activités françaises de Télé 2, afin de devenir un opérateur "intégré", présent dans la téléphonie mobile, fixe et l'internet, sur le modèle de son grand rival : le groupe / Orange.
Pour Bouygues Telecom, la situation est plus floue. Malgré sa participation au lancement de 9 telecom dans les années 90, le groupe ne jure désormais plus que par son réseau cellulaire. Lors de sa dernière assemblée générale, l'opérateur a même ressorti de ses cartons un vieux projet consistant à proposer internet et téléphonie domestique en passant par son réseau GSM, un projet qui irait à l'opposé du marché, qui mise désormais sur l'apparition de réseaux sans-fil wifi, générés à partir des neufbox et autres freebox des opérateurs ADSL...
Bouygues dit-il toute la vérité à ses actionnaires ? Depuis quelques jours en effet, une rumeur affirme que le groupe dirigé par Martin Bouygues aurait entamé des discussions exclusives avec le puissant Deutsch Telekom, présent en France au travers de ses filiales T-systems et surtout T-Online, plus connue sous la marque Club-Internet. "Cette rumeur est absolument sans aucun fondement" affirment pourtant les représentant du groupe Bouygues, maison mère de Bouygues Telecom.
Longtemps dans l'ombre de SFR et Orange, Bouygues Telecom semble en tout soigner son image et n'hésite pas à sacrifier sa marge pour conquérir de nouveaux clients avec ses forfaits Neo. "La mariée veut se faire belle" persiflent les mauvaises langues, qui s'attendent à voir prochainement apparaître un troisième opérateur intégré dans l'hexagone.. sous contrôle allemand.
Le paysage français des télécoms est en pleine transformation. Après une année de consolidation dans la téléphonie fixe qui aura vu le rachat de Tiscali par Alice, la fusion ou encore la disparition de la marque "Wanadoo" au profit de la marque unique Orange, l'heure des grandes manœuvres est peut-être revenue dans la téléphonie cellulaire.
Longtemps limité au téléphone mobile, SFR est devenu ces derniers mois le premier actionnaire du groupe Neuf Cegetel et a également fait part de son intention de racheter les activités françaises de Télé 2, afin de devenir un opérateur "intégré", présent dans la téléphonie mobile, fixe et l'internet, sur le modèle de son grand rival : le groupe / Orange.
Pour Bouygues Telecom, la situation est plus floue. Malgré sa participation au lancement de 9 telecom dans les années 90, le groupe ne jure désormais plus que par son réseau cellulaire. Lors de sa dernière assemblée générale, l'opérateur a même ressorti de ses cartons un vieux projet consistant à proposer internet et téléphonie domestique en passant par son réseau GSM, un projet qui irait à l'opposé du marché, qui mise désormais sur l'apparition de réseaux sans-fil wifi, générés à partir des neufbox et autres freebox des opérateurs ADSL...
Bouygues dit-il toute la vérité à ses actionnaires ? Depuis quelques jours en effet, une rumeur affirme que le groupe dirigé par Martin Bouygues aurait entamé des discussions exclusives avec le puissant Deutsch Telekom, présent en France au travers de ses filiales T-systems et surtout T-Online, plus connue sous la marque Club-Internet. "Cette rumeur est absolument sans aucun fondement" affirment pourtant les représentant du groupe Bouygues, maison mère de Bouygues Telecom.
Longtemps dans l'ombre de SFR et Orange, Bouygues Telecom semble en tout soigner son image et n'hésite pas à sacrifier sa marge pour conquérir de nouveaux clients avec ses forfaits Neo. "La mariée veut se faire belle" persiflent les mauvaises langues, qui s'attendent à voir prochainement apparaître un troisième opérateur intégré dans l'hexagone.. sous contrôle allemand.
