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Directeur exécutif de ! Search Marketing, Bertrand JONQUOIS évoque la nouvelle politique commerciale de la régie et ses futurs développements techniques
JB - Bertrand Jonquois, bonjour. Comment se porte Yahoo! Search Marketing sur le marché français ?
BJ - Bonjour. Je ne peux pas vous donner de chiffre pour Yahoo! mais je peux vous indiquer que, selon la dernière étude Forrester, le marché global des liens sponsorisés devrait passer de 270 millions d'euros en 2005 à plus de 440 millions d'euros en 2006. La France est désormais le deuxième marché européen, derrière la Grande-Bretagne mais devant l'Allemagne.
JB - Après Google, Yahoo a décidé de changer sa politique tarifaire pour les agences, est-ce conforme à la loi Sapin ?
BJ - En concertation avec les annonceurs et les agences, nous avons effectivement décidé de modifier à partir du 1er octobre les Conditions Générales des Annonceurs de YSM. Cette modification est tout à fait conforme à la loi sapin et offre une transparence totale, tant pour les annonceurs qui peuvent connaître le niveau des commissions, que pour les agences qui peuvent anticiper leurs revenus.
Nous abandonnons la politique du remise unique de 15% pour appliquer désormais trois paliers : 4% de remise pour les agences générant moins de 100 000 € de CA, 8% pour celles générant de 100 à 750 000 € et 12% pour celles générant plus de 750 000 €uros.
JB - Les agences ne risquent-elles pas de répercuter sur les annonceurs leurs marges perdues ?
BJ - Non car les discounts ne s'appliquent pas aussi strictement que pour des campagnes plus classiques. Dans les liens sponsorisés, il faut également prendre en compte les enchères sur les prix ou le retour sur investissement de l'annonceur.
JB - L'application de cette nouvelle politique tarifaire se fera t'elle en même temps que l'arrivée de "panama", votre nouvelle technologie de liens sponsorisés ?
BJ - La nouvelle interface de gestion publicitaire des liens sponsorisés a surtout été annoncée pour le marché américain et aucun lancement n'est prévu en France en 2006. Nous souhaitons développer une plate-forme de qualité et nous continuons les tests avec les annonceurs pour leur proposer un outil vraiment performant.
JB - Pouvez vous indiquer quelles seront les grandes nouveautés de cette plate-forme ?
BJ - Nous avons beaucoup travaillé sur son ergonomie, ses interfaces, afin de pouvoir gérer des campagnes de plus en plus complexes, un volume de plus en plus important de mots-clef. Nous avons également travaillé sur un Quality Score, qui permet de prendre en compte le taux de clic, au même titre que le prix, dans la procédure d'enchères des mots-clef. Enfin, la plate-forme pourra gérer d'autres formes de publicités comme les bannières.
JB - Google vient d'annoncer qu'il proposerait à ses clients annonceurs de connaître le niveau de fraude au clic. Envisagez vous quelque chose de similaire pour votre plate-forme ?
BJ - C'est une bonne question qui me permet de rappeler que Yahoo! n'a jamais facturé les clics frauduleux à ses clients. Dès la création d'Overture, nous avons toujours su filtrer ce qu'on appelle le "clic spam" et nous fournissons l'information si elle est réclamée par l'annonceur.
JB - Bertrand Jonquois, je vous remercie.
JB - Bertrand Jonquois, bonjour. Comment se porte Yahoo! Search Marketing sur le marché français ?
BJ - Bonjour. Je ne peux pas vous donner de chiffre pour Yahoo! mais je peux vous indiquer que, selon la dernière étude Forrester, le marché global des liens sponsorisés devrait passer de 270 millions d'euros en 2005 à plus de 440 millions d'euros en 2006. La France est désormais le deuxième marché européen, derrière la Grande-Bretagne mais devant l'Allemagne.
JB - Après Google, Yahoo a décidé de changer sa politique tarifaire pour les agences, est-ce conforme à la loi Sapin ?
BJ - En concertation avec les annonceurs et les agences, nous avons effectivement décidé de modifier à partir du 1er octobre les Conditions Générales des Annonceurs de YSM. Cette modification est tout à fait conforme à la loi sapin et offre une transparence totale, tant pour les annonceurs qui peuvent connaître le niveau des commissions, que pour les agences qui peuvent anticiper leurs revenus.
Nous abandonnons la politique du remise unique de 15% pour appliquer désormais trois paliers : 4% de remise pour les agences générant moins de 100 000 € de CA, 8% pour celles générant de 100 à 750 000 € et 12% pour celles générant plus de 750 000 €uros.
JB - Les agences ne risquent-elles pas de répercuter sur les annonceurs leurs marges perdues ?
BJ - Non car les discounts ne s'appliquent pas aussi strictement que pour des campagnes plus classiques. Dans les liens sponsorisés, il faut également prendre en compte les enchères sur les prix ou le retour sur investissement de l'annonceur.
JB - L'application de cette nouvelle politique tarifaire se fera t'elle en même temps que l'arrivée de "panama", votre nouvelle technologie de liens sponsorisés ?
BJ - La nouvelle interface de gestion publicitaire des liens sponsorisés a surtout été annoncée pour le marché américain et aucun lancement n'est prévu en France en 2006. Nous souhaitons développer une plate-forme de qualité et nous continuons les tests avec les annonceurs pour leur proposer un outil vraiment performant.
JB - Pouvez vous indiquer quelles seront les grandes nouveautés de cette plate-forme ?
BJ - Nous avons beaucoup travaillé sur son ergonomie, ses interfaces, afin de pouvoir gérer des campagnes de plus en plus complexes, un volume de plus en plus important de mots-clef. Nous avons également travaillé sur un Quality Score, qui permet de prendre en compte le taux de clic, au même titre que le prix, dans la procédure d'enchères des mots-clef. Enfin, la plate-forme pourra gérer d'autres formes de publicités comme les bannières.
JB - Google vient d'annoncer qu'il proposerait à ses clients annonceurs de connaître le niveau de fraude au clic. Envisagez vous quelque chose de similaire pour votre plate-forme ?
BJ - C'est une bonne question qui me permet de rappeler que Yahoo! n'a jamais facturé les clics frauduleux à ses clients. Dès la création d'Overture, nous avons toujours su filtrer ce qu'on appelle le "clic spam" et nous fournissons l'information si elle est réclamée par l'annonceur.
JB - Bertrand Jonquois, je vous remercie.
