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Le conseil de surveillance et le directoire de Vivendi ont rejeté une offre de rachat de 40 milliards d'euros du fonds d'investissement Sebastian Holdings
L'ère Jean-Maris MESSIER n'est pas encore tournée. A l'occasion de l'assemblée générale annuelle, le conseil de surveillance et le directoire du groupe Vivendi ont indiqué avoir rejeté une offre informelle de rachat de 40 milliards d'euros soit 33.5 euros par action émanant du fonds d'investissement Sebastian Holdings, par ailleurs actionnaire du groupe avec environ 4% de son capital.
Selon un article à paraître vendredi dans le magazine Challenge, le fonds d'investissement cherche à démanteler le groupe en trois entités, l'une consacrée à la musique (Universal), la seconde à la téléphonie (SFR) et la troisième à la télévision (Canal+).
Évoqué lors de la crise de 2001/2002, le démantèlement n'est toujours plus la priorité des dirigeants du groupe, qui misent au contraire sur des synergies entre des activités tournées vers les loisirs numériques et reposant essentiellement sur une logique l'abonnement (téléphonie, internet, télévision et désormais le jeu ou la musique).
Le groupe en a d'ailleurs profité pour faire état d'un redressement de l'ensemble de ses activités et afficher un résultat annuel net ajusté à 2,4 milliards, en hausse de 16%, et un résultat net trimestriel de 707 millions d'euros. Jeudi matin, le cours de l'action était en légère hausse sur EuroNext Paris.
L'ère Jean-Maris MESSIER n'est pas encore tournée. A l'occasion de l'assemblée générale annuelle, le conseil de surveillance et le directoire du groupe Vivendi ont indiqué avoir rejeté une offre informelle de rachat de 40 milliards d'euros soit 33.5 euros par action émanant du fonds d'investissement Sebastian Holdings, par ailleurs actionnaire du groupe avec environ 4% de son capital.
Selon un article à paraître vendredi dans le magazine Challenge, le fonds d'investissement cherche à démanteler le groupe en trois entités, l'une consacrée à la musique (Universal), la seconde à la téléphonie (SFR) et la troisième à la télévision (Canal+).
Évoqué lors de la crise de 2001/2002, le démantèlement n'est toujours plus la priorité des dirigeants du groupe, qui misent au contraire sur des synergies entre des activités tournées vers les loisirs numériques et reposant essentiellement sur une logique l'abonnement (téléphonie, internet, télévision et désormais le jeu ou la musique).
Le groupe en a d'ailleurs profité pour faire état d'un redressement de l'ensemble de ses activités et afficher un résultat annuel net ajusté à 2,4 milliards, en hausse de 16%, et un résultat net trimestriel de 707 millions d'euros. Jeudi matin, le cours de l'action était en légère hausse sur EuroNext Paris.