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Pour sa treizième édition, Capital-IT accueille 47 jeunes pousses dont une grande majorité issues du multimedia et de l'internet
Les "Entreprenautes" sont de retour. Pour sa treizième édition en huit ans d'existence, la conférence Capital-IT accueille 47 jeunes pousses dont une grande majorité issues de secteurs comme la mobilité, le multimedia et de l'internet.
Ces 47 Best Innov sont les suivants : ActivNetworks, Aduno, Agematis, Biotom, B-Process, CodaSystem, Criteo, Cythos, Deverywhare, Djingle, E-Box, Fashion & Luxe, Friday Ingenierie, Group Reflect, Headvox, I-maginer, Intradot Labs, JobMeeters, Kadrige, Kamayo, Kartoo, Lexifi, Livo, Maxicours, Merim, Mobile Signal, Mobitype, NavX, Neolane, Nexint, Ninsight, Normind, Peer2phone, R-Interface, Robosoft, Sinequa, Sollan, Speechi, Talend, Terra Nova, Voluntis, Vpod.tv, Wanimo, Wavestorm, xWiki.com et Zlio.com.
"L'internet, y compris le web 2.0, est à nouveau à l'honneur cette année puisqu'il concerne 40% des sociétés retenues avec des applications très originales. Le secteur de la mobilité concerne 13% de la sélection quand aux logiciels d'entreprise, le comité a privilégié les dossiers qui avaient un retour sur investissement expressément démontrable" explique Emmanuel LIBAUDIERE, directeur de Capital-IT.
Pour sa première journée, la conférence a accueilli François Loos, Ministre de l'industrie. Tout en se félicitant de l'adoption de l'internet en France (50% des français sont internautes, 50% des foyers sont équipés d'un ordinateur), le Ministre a rappelé que l'usage des NTIC en France était 40% inférieur aux Etats-Unis et que la recherche des entreprises ne pesait que 0,8 % du PIB contre 2,2 au Japon. François Loos a donc rappelé l'importance de la création de pôles de compétitivité régionaux et de l'agence de l'innovation industrielle, chargée de soutenir des projets comme Quaero ou TVMSL dans le domaine des technologies de l'information.
La conférence a également accueilli Jean-François "Jeff" Clavier, fondateur de SoftTech basé dans la Silicon Valley, venu expliquer le concept du web 2.0. Selon lui, le concept n'est pas né lors de la conférence du même nom en septembre 2004 mais trois mois auparavant, en juin 2004, au moment du rachat de hotspot par , la société à l'origine de son nouveau webmail en AJAX. Jeff Clavier a également insisté sur l'importance de principes comme l'ouverture (utilisation de logiciels libres, d'API prexistantes, de mashups..), la compétitivité (une start-up web 2.0 coûte moins cher à lancer) et bien sûr cette logique "sociale" et communautaire. Interrogé sur les nombreux rachats de jeunes pousses 2.0 qui, à l'image de Skype, ont préféré un gros chèque à la poursuite de leur expansion, Jeff Clavier estime que ce mouvement donnera les moyens financiers et la liberté à ces entrepreneurs de créer, dans quelques mois ou quelques années, une nouvelle génération de start-up "3.0" qui pourront véritablement bousculer les champions actuels du web.
En attendant un web 3.0, les 47 jeunes pousses seront présentées durant ces deux jours en espérant décrocher le grand prix et ainsi briller auprès des investisseurs.
Les "Entreprenautes" sont de retour. Pour sa treizième édition en huit ans d'existence, la conférence Capital-IT accueille 47 jeunes pousses dont une grande majorité issues de secteurs comme la mobilité, le multimedia et de l'internet.
Ces 47 Best Innov sont les suivants : ActivNetworks, Aduno, Agematis, Biotom, B-Process, CodaSystem, Criteo, Cythos, Deverywhare, Djingle, E-Box, Fashion & Luxe, Friday Ingenierie, Group Reflect, Headvox, I-maginer, Intradot Labs, JobMeeters, Kadrige, Kamayo, Kartoo, Lexifi, Livo, Maxicours, Merim, Mobile Signal, Mobitype, NavX, Neolane, Nexint, Ninsight, Normind, Peer2phone, R-Interface, Robosoft, Sinequa, Sollan, Speechi, Talend, Terra Nova, Voluntis, Vpod.tv, Wanimo, Wavestorm, xWiki.com et Zlio.com.
"L'internet, y compris le web 2.0, est à nouveau à l'honneur cette année puisqu'il concerne 40% des sociétés retenues avec des applications très originales. Le secteur de la mobilité concerne 13% de la sélection quand aux logiciels d'entreprise, le comité a privilégié les dossiers qui avaient un retour sur investissement expressément démontrable" explique Emmanuel LIBAUDIERE, directeur de Capital-IT.
Pour sa première journée, la conférence a accueilli François Loos, Ministre de l'industrie. Tout en se félicitant de l'adoption de l'internet en France (50% des français sont internautes, 50% des foyers sont équipés d'un ordinateur), le Ministre a rappelé que l'usage des NTIC en France était 40% inférieur aux Etats-Unis et que la recherche des entreprises ne pesait que 0,8 % du PIB contre 2,2 au Japon. François Loos a donc rappelé l'importance de la création de pôles de compétitivité régionaux et de l'agence de l'innovation industrielle, chargée de soutenir des projets comme Quaero ou TVMSL dans le domaine des technologies de l'information.
La conférence a également accueilli Jean-François "Jeff" Clavier, fondateur de SoftTech basé dans la Silicon Valley, venu expliquer le concept du web 2.0. Selon lui, le concept n'est pas né lors de la conférence du même nom en septembre 2004 mais trois mois auparavant, en juin 2004, au moment du rachat de hotspot par , la société à l'origine de son nouveau webmail en AJAX. Jeff Clavier a également insisté sur l'importance de principes comme l'ouverture (utilisation de logiciels libres, d'API prexistantes, de mashups..), la compétitivité (une start-up web 2.0 coûte moins cher à lancer) et bien sûr cette logique "sociale" et communautaire. Interrogé sur les nombreux rachats de jeunes pousses 2.0 qui, à l'image de Skype, ont préféré un gros chèque à la poursuite de leur expansion, Jeff Clavier estime que ce mouvement donnera les moyens financiers et la liberté à ces entrepreneurs de créer, dans quelques mois ou quelques années, une nouvelle génération de start-up "3.0" qui pourront véritablement bousculer les champions actuels du web.
En attendant un web 3.0, les 47 jeunes pousses seront présentées durant ces deux jours en espérant décrocher le grand prix et ainsi briller auprès des investisseurs.