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Selon l'indicateur Chausson Finance, près de 383 millions d'euros ont été investis dans les start-up par le secteur du capital risque au second semestre 2005
L'argent revient pour les jeunes pousses. Selon l'indicateur Chausson Finance, près de 383 millions d'euros ont été investis dans les start-up par le secteur du capital risque au second semestre 2005 soit une hausse de plus de 28% par rapport au premier semestre 2005.
En matière d'investissement, les biotechnologies dominent (121 M€) mais Chausson Finance souligne le retour de l'internet (68M€), qui talonne désormais celui des logiciels (71 M€), essentiellement grâce à une seconde génération de start-up, crées par les entreprenautes de la première heure.
"Après le retour des fonds de capital-risque, celui des introductions en bourse, celui des business-angels, c'est maintenant le tour des entrepreneurs. Le phénomène nouveau et intéressant c'est qu'une grande part d'entre eux sont des "serial" entrepreneurs ou "repeat" entrepreneurs, qui avaient fait leurs premiers pas à la fin des années 90 ; Ce qui est nouveau, c'est qu'à la différence des Etats-Unis , la France souffrait jusqu'à aujourd'hui de ne pas avoir un tel vivier de serial entrepreneurs. Ce profil d'entrepreneurs est très recherché par les fonds de capital-risque. Ils valorisent fortement leur meilleure capacité d'exécution d'une nouvelle idée." explique Christophe CHAUSSON sur son blog.
Les fonds de capital risque ont de l'argent, les entreprenautes reviennent, la vague web 2.0 pousse à la création de nouvelles sociétés. Reste à espérer qu'aucune bulle ne viendra désormais briser cette "nouvelle" nouvelle économie.
L'argent revient pour les jeunes pousses. Selon l'indicateur Chausson Finance, près de 383 millions d'euros ont été investis dans les start-up par le secteur du capital risque au second semestre 2005 soit une hausse de plus de 28% par rapport au premier semestre 2005.
En matière d'investissement, les biotechnologies dominent (121 M€) mais Chausson Finance souligne le retour de l'internet (68M€), qui talonne désormais celui des logiciels (71 M€), essentiellement grâce à une seconde génération de start-up, crées par les entreprenautes de la première heure.
"Après le retour des fonds de capital-risque, celui des introductions en bourse, celui des business-angels, c'est maintenant le tour des entrepreneurs. Le phénomène nouveau et intéressant c'est qu'une grande part d'entre eux sont des "serial" entrepreneurs ou "repeat" entrepreneurs, qui avaient fait leurs premiers pas à la fin des années 90 ; Ce qui est nouveau, c'est qu'à la différence des Etats-Unis , la France souffrait jusqu'à aujourd'hui de ne pas avoir un tel vivier de serial entrepreneurs. Ce profil d'entrepreneurs est très recherché par les fonds de capital-risque. Ils valorisent fortement leur meilleure capacité d'exécution d'une nouvelle idée." explique Christophe CHAUSSON sur son blog.
Les fonds de capital risque ont de l'argent, les entreprenautes reviennent, la vague web 2.0 pousse à la création de nouvelles sociétés. Reste à espérer qu'aucune bulle ne viendra désormais briser cette "nouvelle" nouvelle économie.
